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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 07:03

 

La France, les États-Unis et la Russie ont vendu les équipements qui ont permis de réprimer les populations arabes, révèle Amnesty International.

L'Occident arme les dictatures du Printemps arabe

La France aurait livré des armes à la Libye, à Bahreïn et à la Syrie, jusqu'à 2009 au moins, révèle un rapport d'Amnesty International

 

On peut saluer le Printemps arabe tout en armant les dictatures qu'il combat. Voici le triste constat effectué par Amnesty International. L'organisation révèle que les États-Unis, la Russie et plusieurs pays européens, dont la France, ont fourni de très nombreuses armes à des gouvernements répressifs au Moyen-Orient et en Afrique du Nord avant les soulèvements de cette année, tout en sachant qu'il existait un risque considérable que ces armes soient utilisées pour commettre de graves violations des droits humains.

 

Dans le rapport intitulé Transfert d'armes vers le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord, les leçons pour un traité efficace sur le commerce des armes, l'ONG se penche sur les transferts d'armes effectués vers cinq pays arabes depuis 2005 : Bahreïn, l'Égypte, la Libye, la Syrie et le Yémen. Ses sources, des rapports nationaux sur les exportations de 35 pays, dont les 18 États de l'UE, ainsi que la base de données de l'ONU sur le commerce extérieur de ses membres jusqu'en 2009. D'après Aymeric Elluin, chargé de campagne "armes et impunité" chez Amnesty, le rapport s'arrête à cette date, car les informations publiques et disponibles en la matière ne dépassent pas 2009. "Mais cela ne signifie pas que les exportations d'armes se sont interrompues depuis lors." Amnesty International reconnaît toutefois que la communauté internationale a pris "quelques mesures cette année afin de limiter les transferts internationaux d'armes" vers les cinq pays étudiés.

 

La France : quatrième vendeur d'armes mondial

Quatrième exportateur d'armes mondial avec 8,16 milliards d'euros de prises de commandes en 2009 (et 16,39 milliards de dollars entre 2000 et 2009), la France figure en bonne position de ce rapport. D'après celui-ci, Paris aurait livré une "certaine quantité d'armes à Bahrein", où la minorité sunnite au pouvoir a maté en mars la rébellion chiite populaire grâce notamment à l'intervention de l'armée saoudienne. En Libye, Paris a autorisé de 2005 à 2009 la vente d'armements, de munitions et d'équipement militaire au régime de Kadhafi, qui les a utilisées pour commettre des "crimes contre l'humanité" contre les populations civiles et rebelles. Mais les forces anti-kadhafi ont également été armées cette année par la France, en violation de la résolution 73 de l'ONU, qui ne prévoit pourtant que la "protection des populations civiles en Libye".

 

Après avoir accueilli, fin 2007, la tente du Guide libyen dans la cour de l'Élysée, la France a invité l'année suivante sur les Champs-Élysées le président syrien Bachar el-Assad pour assister au défilé du 14 Juillet. Selon le rapport, Paris a vendu de 2005 à 2009 près d'un million de dollars de munitions au régime syrien. "Ce n'est pas la quantité d'armes vendues qui importe, insiste Aymeric Elluin. Une telle vente pose problème dès lors qu'elle alimente des dictatures dont on sait qu'elles violent depuis des décennies les droits humains."

 

Utilisation illicite et illégale

Or cette somme n'est rien en comparaison de la Russie, deuxième exportateur d'armes au monde et principale alliée de Damas. Moscou rejette pour l'instant toute résolution onusienne condamnant la violence en Syrie. Il se trouve que la Syrie représente 10 % des exportations d'armes russes. Mais le champion toutes catégories reste les États-Unis, premier exportateur d'armes au monde avec 64,89 milliards de dollars de ventes de 2000 à 2009 (et 52,4 % du total mondial entre 2004 et 2008). Principaux fournisseurs de l'Égypte de Hosni Moubarak, avec 1,3 milliard de dollars de contrat d'armes par an, les Américains auraient repris les livraisons après la chute du dictateur, et cela, alors que l'armée est toujours au pouvoir et que les violences ont repris.

 

"Sur les cinq pays arabes étudiés par le rapport, aucun ne présente aujourd'hui les garanties nécessaires pour s'assurer que les armes exportées ne seront pas utilisées à des fins illicites et illégales", relève le chargé de campagne d'Amnesty International. Aymeric Elluin ne remet pas pour autant en cause le droit des États à s'armer, au nom du "principe de légitime défense individuelle et collective" garantie par la charte des Nations unies. Mais, selon l'organisation, le principal problème réside dans le manque de transparence de ces ventes. En France, il n'existe aucune base de données publique ni aucun chiffre précis, hormis un maigre rapport remis chaque année à l'Assemblée par le ministère de la Défense. "Ce document n'est pas publiquement débattu à l'Assemblée, déplore Aymeric Elluin. Or c'est le seul moyen de se conformer au droit international."

 

D'après Amnesty International, la solution serait de réglementer au niveau mondial le commerce des armes dites "classiques", dans le cadre d'un traité international que l'ONG souhaiterait négocier en juillet 2012 à l'ONU. "Il s'agirait d'adopter une règle d'or : une évaluation au cas par cas de chaque transfert d'armes envisagé, de sorte que, s'il existe un risque important que les armes en question soient utilisées pour commettre ou faciliter des violations graves des droits humains, le gouvernement concerné soit tenu de mettre le holà", indique Helen Hughes, experte du commerce des armes ayant contribué au rapport d'Amnesty International. Et la spécialiste de prévenir : "Les embargos sur les armes arrivent généralement trop tard, une fois que les crises des droits humains sont là."

source le point

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 04:15

 

Claude Guéant a lancé une nouvelle charge contre François Hollande vendredi. Le ministre de l'Intérieur a déclaré que le candidat socialiste pour les prochaines élections présidentielles, n'avait «pas la carrure» pour occuper le poste.

Guéant ferait bien de la fermer.Le roi de de  l'insécurité qui a échoué partout ferait mieux de se recycler comme cireur de godasses, au lieu de baver sur les autres.Pour la valeur sûre, ça fait rire tout le monde 
ci dessous l'article du parisien
Claude Guéant a lancé une nouvelle charge contre François Hollande vendredi. Le ministre de l'Intérieur a déclaré que le candidat socialiste pour les prochaines élections présidentielles, n'avait «pas la carrure» pour occuper le poste. | Philippe Merle

 

Pas un jour sans une attaque en règle. La majorité présidentielle tire à boulets rouges sur François Hollande, fraichement désigné candidat socialiste à la présidentielle. Aux assauts «groupés» de mardi et mercredi, succède l'attaque en «solitaire».  Dans une interview au Figaro à paraître ce samedi, porte l'estocade, estimant que le vainqueur de la primaire PS n'a tout simplement «pas la carrure» pour être président.

 

 

Désormais «les Français vont pouvoir comparer le candidat socialiste François Hollande et le presque candidat Nicolas Sarkozy», tranche le ministre de l'Intérieur reprenant une à une les petites phrases échangées pendant la campagne par les candidats à la primaire socialiste : «Martine Aubry a dit qu'il n'avait pas d'épine dorsale. Ségolène Royal, qui le connaît bien, a critiqué son indécision. Laurent Fabius a lancé: «François Hollande président? On rêve».

«Il ne suffit pas d'avoir les mêmes mimiques que François Mitterrand pour être François Mitterrand».

«François Hollande se targue d'avoir été le collaborateur de François Mitterrand et de Lionel Jospin, poursuit l'ancien secrétaire général de l'Elysée. Mais aucun d'entre eux ne l'a nommé ministre! Il ne suffit pas d'avoir les mêmes mimiques que François Mitterrand pour être François Mitterrand. Il ne suffit pas d'être élu de Corrèze pour avoir la stature de Jacques Chirac».

Nicolas Sarkozy, «une valeur sûre»

A l'inverse, Claude Guéant vante, bien entendu, les mérites de Nicolas Sarkozy, décrit comme «une valeur sûre». «Il aura été président en période de crise. Il a modernisé la France, préservé nos grands acquis sociaux et tenu ses engagements de campagne en matière de justice sociale, et a imposé ses vues pour la création du G20 et pour une gouvernance de la zone euro», assure Guéant qui fait même porter au PS la responsabilité des menaces de dégradation de la note AAA de la France, estimant que «les promesses folles du PS ont une influence sur la façon dont les agences de notation regardent la France».

source le parisien

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 04:10

bon samedi

gif Bon Samedi

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 18:09

bonne soiree

Bonne soirée

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 16:36
Policiers et patrons, les étonnants visiteurs de DSK aux Etats-Unis

La veille de son arrestation à New York, le patron du FMI était avec des Lillois.

 

 d’avion. Des billets de train. Des réservations d’hôtel et des notes de restaurant. Voilà ce que recherchent les enquêteurs chargés du dossier lillois. Ils veulent comprendre pourquoi Jean-Christophe Lagarde, commissaire divisionnaire placé en garde à vue hier, est allé rendre visite à deux reprises à Dominique Strauss-Kahn alors patron du Fonds monétaire internationall (FMI) à Washington. Et pourquoi Jean-Claude Ménault, directeur départemental de la Sécurité publique du Nord, y est allé une fois en même temps que Lagarde. «Les deux voyages se sont déroulés en février 2011 puis du 11 au 13 mai 2011», indique une source proche du dossier.

Aéroport. David Roquet ne le nie pas. Ce patron d’une filiale d’Eiffage, mis en examen pour proxénétisme aggravé, a fourni quelques explications lors de sa garde à vue la semaine dernière : «Oui, je suis allé à Washington en février 2011 avec Fabrice [un chef d’entreprise de la région, ndlr], Jean-Christophe [Lagarde]et Jean-Claude Ménault.» Pourquoi, demandent en substance les enquêteurs ? «Nous avons été invités par DSK.» David Roquet se dit également «fasciné par DSK».

 

Mais les policiers insistent. Ils veulent savoir qui a payé les billets d’avion. «C’est moi, avec l’aval de mon patron. Cela m’a coûté entre 3 000 et 4 000 euros», répond le chef d’entreprise. Sans préciser si le patron en question est sa maison mère, le groupe Eiffage.

 

David Roquet a également été interrogé sur le deuxième voyage à Washington, en mai. Un séjour qui intrigue d’autant plus les enquêteurs qu’il s’est déroulé à la veille de l’arrestation de Dominique Strauss-Kahn le samedi 14 mai à l’aéroport JFK. Le chef d’entreprise a expliqué que le petit groupe était allé «visiter le FMI».

«Avec qui Dominique Strauss-Kahn se trouvait le 13 mai 2011 quand vous l’avez quitté ? demandent les policiers.

- Avec une jeune fille américaine qu’il connaissait, mais qui parlait français pour avoir étudié à Bruxelles. Je ne me rappelle plus de son prénom.»

 

Ces deux voyages ont par ailleurs été confirmés par les nombreuses écoutes effectuées par les enquêteurs. René Kojfer, directeur des relations publiques du Carlton de Lille, qui était au courant de ces escapades, en avait également parlé à ses interlocuteurs. Et les policiers savaient déjà que la petite entreprise de Roquet finançait des soirées spéciales.

 

Autre élément troublant attestant des liens qu’auraient entretenus David Roquet et Dominique Strauss-Kahn : derrière les notes de frais du chef d’entreprise, les policiers ont trouvé à de nombreuses reprises la mention «DSK».

Sollicité, hier, par Libération, le groupe Eiffage, numéro 3 français du BTP et maison mère de l’entreprise de David Roquet, n’a pas souhaité réagir.

 

A Lille, la rumeur parle à la place de ceux qui se taisent. «Eiffage a remporté le marché de construction du grand stade de Lille, explique un fin connaisseur du dossier. Ça crée des fantasmes…»

Interrogé encore sur les véritables raisons pour lesquelles les deux hauts policiers lillois sont allés au Etats-Unis voir Dominique Strauss-Kahn, David Roquet ne répond pas. «C’est en tout cas gênant pour les policiers, s’ils se sont fait payer des billets d’avion par une entreprise de la région», constate une source proche du dossier.

 

Mais d’autres voyages intéressent. A Paris cette fois. A trois reprises, confie David Roquet aux enquêteurs, il s’est rendu dans la capitale avec des filles de «Dodo la Saumure», ce proxénète écroué en Belgique au début du mois. A au moins une reprise, Roquet a retrouvé l’ancien patron du FMI dans une suite duplex avec piscine d’un grand hôtel. Mounia, une prostituée Lilloise venue à Paris avec le chef d’entreprise, a tout confirmé sur procès-verbal. Béatrice, la compagne de Dodo la Saumure, était également de la partie. De nombreuses écoutes le prouvent.

 

Contreparties. Mais ce qui intéresse la justice, c’est qui a organisé ces soirées. Et là c’est René Kojfer qui a fourni des détails. «Ceux qui ont servi d’intermédiaire entre Dominique Strauss-Kahn et Béatrice, c’est David Roquet et Jean-Christophe Lagarde, le patron de la Sûreté départementale», affirme-t-il sur PV. Là encore, les raisons et les éventuelles contreparties restent à élucider.

 

Les policiers cherchent enfin à savoir si des filles de Dodo la Saumure ou d’autres prostituées lilloises n’auraient pas fait le voyage à Washington comme elles l’ont fait à Paris. «Ça me paraît totalement surréaliste, réagit un ancien grand flic lillois aujourd’hui à la retraite. Mais on a quand même l’impression, en regardant le dossier de loin, que tous ceux qui se rendaient à Paris voir DSK agissaient comme s’ils se sentaient protégés. En toute impunité.»

 

Contacté part Libération, Jean-Claude Ménault n’a pas donné suite à notre appel. Me Olivier Bluche, l’avocat de Jean-Christophe Lagarde, n’a pas souhaité s’exprimer. Mais il affirmait, il y a quelques jours que Jean-Christophe Lagarde contestait «avoir commis une quelconque infraction pénale». Enfin, les avocats de DSK n’ont pas voulu faire de commentaires.

source: Libération

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 16:22

Une biographie dévoile qu’elle a connu une “amourette” avec Laurent Fabius

PARIS On s’est souvent demandé comment Anne Sinclair a pu admettre toutes les infidélités de son mari et rester à ses côtés dans l’affaire du Sofitel, malgré l’humiliation publique.

Dans Anne Sinclair, femme de tête, dame de cœur, une biographie qui sort cette semaine en librairie, les deux auteurs, Alain Hertoghe et Marc Tronchot, livrent leur vision de l’ex-animatrice de Sept sur sept, qui se rêvait Première Dame de France. Un livre qui est le fruit de deux ans de travail et de nombreuses interviews, d’Anne Sinclair elle-même et de ses proches (plus de 70 témoignages au total !).

Très vite, on se rend compte que ses amours avec des politiques ne se sont pas limitées à Dominique Strauss-Kahn. Ainsi, les auteurs révèlent qu’elle a eu une liaison avec Jacques Attali, conseiller de François Mitterrand. “Leur relation résiste aux désaccords… mais pèche cependant par trop d’insuffisances”, écrivent les auteurs. “Pas assez passionnelle, trop “plan-plan”. En fait, le problème de base apparaît plus simple. Jacques n’est pas assez amoureux d’elle.”

La journaliste se consolera alors dans les bras… de Laurent Fabius, Premier ministre de Mitterrand, avec qui elle vivra une amourette de quelques mois. Une liaison qu’Anne Sinclair confirme elle-même : “Laurent Fabius était un copain de Sciences-Po… Quand il a été nommé à Matignon en 1984, il m’a demandé de venir le voir. Il voulait me proposer de m’occuper de son service de presse.” Où quand on se rend compte que ses accointances avec la gauche étaient là bien avant sa rencontre avec DSK…

Dominique Strauss-Kahn. L’homme de sa vie, qu’elle épouse en 1991. Anne Sinclair revient sur l’aventure de son mari avec une haute responsable hongroise du FMI en 2008. “Il était tellement malheureux du mal qu’il avait fait, à moi et aux enfants, qu’il s’est puni tout seul. Là, j’ai eu l’évidence d’une infidélité. Mais je savais que je n’étais pas exempte moi-même de reproches : il y avait eu la période de froid, en 2002-2003, entre Dominique et moi. Je me suis donc dit qu’il se passait des choses dans la vie des couples, qui ne regardaient qu’eux, et j’allais surmonter cette épreuve.”

La dernière rencontre entre les auteurs et la journaliste remontent à juillet 2011. On peut lire qu’à la vue du visage de son mari à la télé, son corps se raidit, comme si elle était en plein cauchemar. Puis elle répond : “On ne connaît pas ses propres limites, on ne sait pas ce qu’on est capable d’endurer. Je n’ai pas de recette. On réagit avec son instinct et ses tripes. Dans l’adversité, je me répète la devise de ma grand-mère paternelle : On serre les dents, on serre les poings. Et j’ajoute : Après, si besoin, on en use !”

Une réponse qui résume sans doute toute la personnalité de l’ex-journaliste star de TF1...

source :Info le monde

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 16:17
DSK mis en cause dans l’affaire du Carlton de Lille 
DSK avait aussi sa copine » DSK mis en cause dans l’affaire du Carlton de Lille
  • DSK mis en cause dans l’affaire du Carlton de Lille
  • DSK mis en cause dans l’affaire du Carlton de Lille
  • DSK mis en cause dans l’affaire du Carlton de Lille

Depuis la semaine dernière, son nom était mêlé à l’affaire de proxénétisme au Carlton de Lille. Cette fois, DSK a été clairement mis en cause par l’un des protagonistes.

Dominique Strauss-Kahn voulait être entendu dans l’affaire du Carlton de Lille pour faire taire ce qu’il qualifié d’ « insinuations malveillantes ». Au vu des dernières révélations du Figaro.fr, son témoignage est plus que jamais attendu : l’ex-directeur du FMI aurait eu des relations sexuelles avec des prostituées à Paris et à Washington.

 

>>> Affaire Carlton - DSK : un client et une call-girl témoignent

Selon le site internet du quotidien, l’un des protagonistes mis en cause dans cette affaire a expliqué aux enquêteurs avoir rencontré DSK lors d’un déjeuner. L’homme politique lui aurait fait savoir qu’il « apprécierait [qu’il] ramène des copines, en fait des prostituées ». En mars 2009, tout ce joyeux petit monde se serait rencontré à L’aventure, un club proche de l’Etoile dans le VIIIème arrondissement de Paris, avant de finir la nuit à l’hôtel Murano. Par deux fois, en 2010, ils se retrouveront dans l’établissement. « Nous avons mangé dans la chambre puis nous avons eu des relations sexuelles tarifées. Chacun était avec sa copine, moi j’étais avec Jade, DSK avait aussi sa copine et il y avait d’autres personnes », a expliqué David Roquet, ce directeur d’une filiale de BTP Eiffage, lors de son audition.

 

Mais Dominique Strauss-Kahn n’aurait jamais versé le moindre centime : « Il était invité », affirme le protagoniste. Plusieurs personnes mises en cause dans l’affaire du Carlton auraient fait le déplacement jusqu’à Washington à trois reprises : leurs frais auraient été pris en charge par leurs entreprises. Par exemple, « la filiale d’Eiffage aurait réglé une large partie de l’addition, entre 12 000 et 15 000 euros », révèle le Figaro. C’est bien cela qui pourrait poser problème à l’homme politique car, « si les faits étaient établis, ils pourraient constituer de l’abus de bien social et donc du recel d’abus de bien social pour les bénéficiaires ».

 

Les voyages à Washington auraient eu lieu en 2010, en février 2011 et du 11 au 13 mai. Soit la veille de l’arrestation de DSK à New York, le 14 mai. L’ancien directeur du FMI pourrait être entendu dès aujourd’hui par les enquêteurs, selon le quotidien Nord Eclair.

source voici 

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 16:16

Nicolas Sarkozy semble ne pas apprécier la critique. L'Elysée a en tout cas convoqué Michel Sardou, après que le chanteur a déclaré qu'il ne soutenait plus l'actuel président de la République française.

Michel Sardou

 

Michel Sardou a été "convoqué" par Nicolas Sarkozy après avoir déclaré qu’il ne le soutenait plus, affirme le chanteur dans un entretien au Parisien où il n’exclut pas de voter à gauche.

"A cause de vous, j’en ai pris plein la gueule ! J’ai même été convoqué à l’Elysée un lundi de Pentecôte", déclare Michel Sardou, faisant référence à un précédent entretien en mai 2010, également au Parisien, où il affirmait ne plus croire dans le président de la République.

"J’ai mis mon costume, ma cravate, ma Légion d’honneur. L’huissier m’a conduit dans les jardins où m’attendait le président. Et là j’ai vu Nicolas Sarkozy, en short et en chemisette, avec un jus d’orange à la main. Et tout de suite il m’a dit: + mon mimi qu’est-ce que t’es allé dire ?+", raconte le chanteur.

L’interprète de "La Maladie d’Amour" assure avoir dit à Nicolas Sarkozy qu’il "attendait autre chose de lui". "Je suis reparti et il me fait toujours la gueule. Il est très rancunier", ajoute-t-il.

Michel Sardou qualifie également la primaire socialiste de "promo comme il n’en avait jamais vu". "J’ai préféré le débat à six", dit-il évoquant des idées "intéressantes", comme "l’encadrement militaire pour les jeunes délinquants lancé par Ségolène Royal" ou le trop grand nombre de médicaments remboursés.

Comme on lui demande "vous ne voterez pas à gauche tout de même ?", il répond "pourquoi pas ?"

source le parisien et le Matin

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 15:58

Humour: La Voix de l'UMP

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21 octobre 2011 5 21 /10 /octobre /2011 15:51

L'un a trébuché dans l'affaire Karachi, l'autre est passé par la case prison. Un duo encombrant qui œuvre dans l'ombre pour faire réélire Nicolas Sarkozy. Par Carole Barjon et Marie-France Etchegoin.

Brice Hortefeux et Alain Carignon (AFP) Brice Hortefeux et Alain Carignon
 
 L'heure est grave. Assis côte à côte sur un canapé, les deux hommes en ont presque oublié la présence de leurs visiteurs. "On a briefé Morano pour "le Grand Journal" de Canal+", murmure "Alain". "Parfait, dit "Brice". Elle ira à ma place pour dire que cet avocat est complètement fou"... "Brice" et "Alain", Hortefeux et Carignon. Ribouldingue et Filochard.
 

En cette fin septembre, l'ex-ministre de l'Intérieur a fait venir son conseiller de l'ombre au siège de l'UMP. Ils affrontent bras dessus, bras dessous la tempête judiciaire qui menace le cœur de la sarkozie. Comment contrer l'offensive du juge Van Ruymbeke ? Le magistrat vient de mettre en examen deux proches du chef de l'Etat, Nicolas Bazire, l'un de ses visiteurs du soir et témoin de son mariage avec Carla Bruni, et Thierry Gaubert, l'ami de jeunesse. "Brice" et "Alain", l'un des attelages les plus solides et les moins connus du quinquennat, doivent parer les coups, activer la "cellule riposte", lancer Nadine Morano sur le champ de bataille contre Olivier Morice, l'avocat des victimes de l'attentat de Karachi.

 

"Brice" et "Alain" n'ont jamais eu peur de la castagne. Les juges, ils connaissent. Le premier vient tout juste d'être relaxé en appel pour délit d'"injures raciales" après ses douteuses plaisanteries sur "les Auvergnats". Le deuxième traîne derrière lui une vieille condamnation qui remonte à plus de vingt ans pour corruption, abus de biens sociaux, subornation de témoin, assortie de cinq ans d'inéligibilité et de vingt-neuf mois de détention.

 

Hortefeux rebaptisé "M.Catastrophe"

On les voit souvent devant le siège de l'UMP, marchant d'un pas vif et devisant allègrement, Brice Hortefeux grand et massif, Alain Carignon petit bonhomme svelte. Qu'importent les quolibets de leurs détracteurs ("Voici les Pieds Nickelés"). Qu'importent ces conseillers de l'Elysée qui se pincent le nez en se souvenant du casier judiciaire de l'ancien maire de Grenoble.

Et qu'importe la dernière "sortie de route" d'Hortefeux dans l'affaire Karachi. De son passage Place Beauvau, l'ancien ministre de l'Intérieur n'a même pas retenu qu'il fallait se méfier des écoutes téléphoniques. En appelant Thierry Gaubert, quelques jours avant sa garde à vue, pour l'informer que sa femme "balançait beaucoup", il s'est fait pincer comme un bleu. Les "grandes oreilles" de la police n'ont rien perdu de sa conversation.

 

Depuis, celui qui se ferait couper un bras pour Sarkozy et espérait devenir son directeur de campagne a été rebaptisé "M. Catastrophe" par une partie de la droite. Mais "Brice" et "Alain" s'en moquent. Le président ne vient-il pas de recevoir Hortefeux au Pavillon de la Lanterne, à Versailles ? On était en famille : il y avait Carla et Jean, le fils cadet de Sarkozy, dont l'ancien ministre de l'Intérieur est le parrain... Malgré les rebondissements de l'affaire Karachi, le duo, donné pour mort il y a trois semaines, se voit donc toujours promis à une place de choix dans le dispositif du président sortant pour 2012 […

source le nouvel obs

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