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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 09:51

vPhoto - La route de l'Arizona

C'est dans l'ouest américain que se trouve la plus grande partie des parcs nationaux dont certains sont les plus réputés des Etats Unis. La richesse de leur flore et de leur faune, la beauté de leur décor naturel justifie le voyage et la visite de ces parcs.

Photo - Arizona - Oak Creek Canyon

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 09:40

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Deux Ricains à Charlestown
Heather De Lugt et Daniel Livergood, place Ducale : « Chez vous, à la différence de chez nous, les pierres ont une longue histoire. »

Heather De Lugt et Daniel Livergood, place Ducale : « Chez vous, à la différence de chez nous, les pierres ont une longue histoire. »

ÉPRISE de danse classique, jeune, fluette, jolie et je vous assure, charmante, Mademoiselle De Lugt nous vient de Phœnix, ville américaine perdue dans le désert brûlant de l'Arizona.
 

Son prénom est dur à prononcer, Heather, « Izère, à la française ! » dit-elle, pour vous mettre à l'aise.
 

Daniel Livergood, lui aussi, est américain. Vingt-cinq ans, les pieds bien sur terre, la voix ferme, soupçon de barbichette au menton, il nous arrive d'Akron, dans l'Ohio, pas loin du Canada. C'est dire que l'hiver ardennais lui a paru doux, alors que Heather, fille d'une ville oasis, avait de quoi paniquer !
 

Heather et Daniel aspirent à devenir professeurs de français. Astreints à faire un long « séjour d'immersion » en France, afin de ne pas dépendre financièrement de leurs parents, ils ont choisi d'être « assistants en langue étrangère ».
 

Depuis septembre dernier, ils initient à l'anglais les élèves des écoles primaires du chef-lieu des Ardennes. Heather, dans les écoles qui ont pour noms « Flandre », « Saint-Julien » et « Jules-Verne ». Daniel à « Henri-Thomas », « Jean-Jaurès » et à « Kennedy », nom qui lui a fait chaud au cœur.

Heather adore les petits du cours préparatoire. « Ils sont sages, passionnés, confie-t-elle. Les plus grands eux, ne sont pas très disciplinés. » Heureux qu'elle n'exerce pas dans un collège ou un lycée ! Elle s'investit beaucoup dans sa mission. Ainsi va-t-elle prochainement proposer un spectacle auquel les parents seront conviés. Les enfants chanteront en anglais et danseront. Heather et Daniel estiment respectivement « charmants » et « très formidables » les enseignants de leurs écoles. Souvent ils les invitent à la table familiale où entre autres bonheurs, Daniel a appris à jouer à la belote.
O scandale

!
Comment trouvent-ils Charleville ? Heather cherche à traduire le mot américain qui selon elle définit parfaitement la ville, « Quint ! » (prononcer « Quouint » !). Daniel propose « calme, paisible ». Heather n'est pas satisfaite.

 

 « Plus que paisible ! Intime, sereine, cool. Mais pour moi qui viens d'une grande ville, Charleville est trop village. » Et d'ajouter, ô scandale, « Je préfère Reims » !

Daniel, lui, n'est pas du tout d'accord. « J'adore le place Ducale, et toutes les rues du centre de la ville. Chez vous, à la différence de chez nous, les pierres ont une longue histoire. » L'étonne le calme nocturne de la ville où, plaisante-t-il, dans les rues désertes il voit des « gentils fantômes » ! En bord de Meuse, s'il fréquente volontiers le bar de La Péniche et le dancing de La Guinguette, en revanche, ô scandale, il n'a pas encore mis les pieds dans le musée Rimbaud ! Heather non plus, d'ailleurs.


Dire qu'ils n'ont lu qu'un poème de notre Arthur et qu'ils ignorent que l'Homme aux semelles de vent surnommait sa ville natale « Charlestown » !
Quand l'écrivain Bert Mathieu, le plus américain des Ardennais et le plus ardennais des Américains va l'apprendre, il faut s'attendre à ce qu'il les ramène dans le droit chemin en leur faisant lire à haute voix dans le musée Rimbaud les poèmes d'Arthur qu'il a traduits en américain !


Sans voiture, nos deux Ricains de Charlestown, mis à part le château de Sedan, connaissent peu les Ardennes, une contrée dont seule Heather sut quelque chose quand à Phœnix, elle apprit qu'elle y était affectée. Son grand-père lui conta que l'armée américaine fut encerclée dans les Ardennes belges en décembre 1944. Pour autant, elle n'a pas l'intention de se rendre à Bastogne.

Daniel, lui, est allé en Argonne se recueillir au cimetière américain de Montfaucon où sont inhumés tant de boys qui en 1918 nous libérèrent de l'occupation allemande.

« Hé, poupée ! »
Que pensent-ils des Ardennais, nos deux jeunes Américains ? « J'ai été très surprise, avoue Heather. Aux Etats-Unis, le Français n'a pas une bonne réputation. On dit qu'il est malpoli, vulgaire, sale et antiaméricain. Moi, je trouve les Ardennais accueillants, gentils, charmants, sauf ceux qui dans la rue me sifflent ou me crient « Hé, poupée, tu montes dans ma voiture ! » Aux États-Unis, une chose pareille n'existe pas. Mais la grande majorité des Ardennais, je le répète, sont charmants. Il y en a qui me draguent avec beaucoup de finesse et d'élégance ! »

Daniel, lui non plus n'y va pas avec le dos de la cuillère. Il trouve les Ardennais « formidablement sympas » et il avoue passer de bons moments en charmante compagnie, à La Péniche ou à La Guinguette. S'il arrive que des gens lui parlent des méfaits du capitalisme américain, il reste dans le vague car il tient à ne pas parler politique.

 

 Cependant, il ne peut retenir cette remarque : « A Charleville beaucoup de gens aiment notre président Obama, mais jusqu'ici, très peu m'ont dit du bien du président Nicolas Sarkozy. Je trouve cela surprenant. » L'a aussi beaucoup étonné de voir des gens défiler dans les rues de notre chef-lieu pour le maintien de l'âge légal du départ à la retraite. « Pour les Américains, commente-t-il, arrêter de travailler à soixante ans, c'est quelque chose d'incroyable. »

Quel est le grand souvenir que nos deux amis conserveront de leur séjour parmi nous ? Les plaisirs de la table ! Faut voir le soupçon de barbichette de Daniel frétiller quand il parle du pot-au-feu et de la raclette ! Faut l'entendre rêver de salade au lard et de cacasse à cul nu ! Faut le voir savourer un pinot gris d'Alsace, un gigondas, une goutte de pays ! Faut voir Heather déguster une fine cognac !
Qu'en pensent les chênes de nos forêts ?
source l'ardennais

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 09:29

oooooo

Ange

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 08:59
Dans sa grange à l'abri de la chaleur de Saint-Étienne-sur-Suippe, l'artisan dispose de plusieurs fûts pour les diverses étapes de fabrication.

Dans sa grange à l'abri de la chaleur de Saint-Étienne-sur-Suippe, l'artisan dispose de plusieurs fûts pour les diverses étapes de fabrication.

 

 

Brasseur de fraîche date, un Bergnicourtois installé à Saint-Étienne-sur- Suippe, vient de décrocher une médaille d'argent pour sa Margoulette blonde.

 

 

SON corps, sa tenue, son équilibre, son teint malt, son parfum et même sa mousse. Chez elle, il a tout aimé, et pas qu'à demi ! Lors du Salon du brasseur, le week-end dernier à Saint-Nicolas-de-Port (Meurthe-et-Moselle), le jury du concours a craqué pour la blonde d'un Ardennais. Habitant de Bergnicourt, Fabrice Devie rafle ainsi une médaille d'argent pour sa Margoulette.

 


« Ce concours, c'est une référence dans la profession et cette année en plus il n'y a pas eu de médaille d'or dans ma catégorie, seulement deux d'argent et trois de bronze. Donc ma bière fait partie des deux que les juges professionnels ont préférées parmi les 60 échantillons en compétition », commente le médaillé, bien loin de s'être cassé la binette avec sa Margoulette.
 

Brasseur depuis à peine trois ans et installé en tant que professionnel depuis seulement mai 2010 à Saint-Étienne-sur-Suippe, le Bergnicourtois n'en est pourtant pas à son coup d'essai

.
En 2009, sa brune, concoctée avec son frère et les moyens du bord, avait déjà séduit le jury et décroché un « Fourquet d'or », en catégorie amateur.
« Je suis passionné depuis plus de 10 ans, j'allais en Belgique donner des cours d'accordéon et j'en profitais pour acheter des bières belges. Et puis j'ai appris à en faire avec un copain sur Neuflize », raconte celui qui se contentait de vider les chopes, voilà peu.

Un maître de choix


À une bonne descente succède ainsi une ascension plutôt fulgurante. Aussi, gageons que s'il brasse, l'homme ne rame pas. Et pour ce faire Fabrice ne cache pas avoir bénéficié d'un sérieux coup de pouce du sort.

« Avec mon ancien boulot j'ai été muté dans le Nord. Au départ ça a été un coup de massue, mais finalement c'est devenu une opportunité », explique cet ex-représentant en cuves de gaz insatisfait, qui troque bombonnes contre bibines.

 

« Je voulais me lancer dans la fabrication de bière, mais je n'avais pas de formation au départ. Et puis, près de Lille, j'ai rencontré Gérard Caudrelier, un brasseur qui a 40 ans de métier. Ça a été le tournant. »

 

Fils et petit-fils de brasseur, le professionnel prend visiblement le novice sous son aile. « Il arrivait à l'âge de la retraite et n'avait pas de successeur. Il m'a transmis son savoir-faire, revendu son matériel et est même venu brasser avec moi les deux premières fois », développe le poulain, pas du genre à se faire mousser. « J'ai tout appris avec lui. »


Toutefois l'élève se démarque du maître. Au creux de sa grange, Fabrice Devie pratique une « refermentation » en bouteille. « Ça lui rajoute une pointe de sucré et relance le travail de la levure », note le Bergnicourtois.
Reste que pour l'heure, le jeune artisan ne vit pas encore de son métier.
« Je suis encore dans l'investissement et pour l'instant je n'arrive pas à me tirer un salaire », glisse le quadragénaire, qui cumule un minimum de 60 heures de turbin par semaine.

Sa nouvelle médaille lui permettra peut-être d'inverser la pression…

source: l'ardennais

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 08:36

Un chirurgien esthétique brésilien a révélé avoir opéré le numéro un libyen Mouammar Kadhafi avec pour mission de le rajeunir, il y a seize ans dans son bunker à Tripoli.

Dans une interview à l'hebdomadaire brésilien Epoca, Liacyr Ribeiro, 70 ans, qui travaille dans deux cliniques à Rio de Janeiro, confie que le colonel Kadhafi "a exigé une opération imperceptible".

"Je voulais laisser le visage de Kadhafi bien lisse en 1995", affirme le chirurgien qui aurait également opéré le Premier ministre italien Silvio Berlusconi, selon des blogs italiens.

Le colonel "a dit qu'il était au pouvoir depuis plusieurs années et qu'il ne voulait pas que les jeunes le voient comme un vieux", a expliqué M. Ribeiro.

"Bien que bien élevé et intelligent, Kadhafi m'a semblé introverti, timide et froid", a poursuivi le chirurgien qui, après avoir gardé le secret sur cet épisode, a décidé de le révéler "pour contribuer à faire comprendre ce personnage de l'Histoire autour duquel il y a beaucoup de spéculations et peu d'informations".

M. Ribeiro a précisé avoir été contacté en 1994 par le ministre libyen de la Santé de l'époque, Mohamed Zaid, alors qu'il participait à un congrès de chirugie plastique à Tripoli.

A la fin de sa conférence sur les opérations mammaires, sa spécialité, M. Zaid lui a dit qu'il voulait lui présenter une personne très chère. Le chirurgien a pensé qu'il s'agissait de sa femme qui souhaitait se faire opérer des seins.

"Vous allez examiner notre leader", lui a dit le ministre quand ils sont arrivés dans le bunker du colonel Khadafi.

M. Ribeiro est revenu en 1995 pour opérer le numéro un libyen avec son collègue Fabio Nacach, spécialiste en implants de cheveux.

De la graisse du ventre du colonel a été retirée et injectée dans les rides de ses pommettes. L'aspect des paupières a été amélioré et une cicatrice sur le côté droit du front gommée.

Ex-président de la Société brésilienne de chirurgie plastique et ancien élève d'Ivo Pitanguy, considéré comme le pape de la chirurgie esthétique au Brésil, M. Ribeiro affirme ne pas avoir fait payer Mouammar Kadhafi mais avoir reçu de lui une enveloppe pleine de dollars et de francs français.
source Morandiniblog

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 08:18

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LAURA (1944) de Otto Preminger

 Un grand classique en noir et blanc que nous avons déjà vu de nombreuses fois mais que je revois toujours avec grand plaisir. Une belle mise en scène, un bon scénario et des acteurs vraiment remarquables, dont la sublime Gene Tierney.

Parmi les films noirs américains des années 40 et 50, Laura est certainement l’un des plus beaux, ne serait-ce que sur le plan de sa construction :  alors que l’histoire débute sur une situation simple (un meurtre à élucider), le spectateur découvre petit à petit que ses certitudes sont bien fragiles et que rien ne correspond à ce qu’il a pu croire. Otto Preminger réussit à rendre ses personnages très proches de nous, presque intimes.

 

 

 

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Photo de l''acteur américain Dana Andrews

 

Dans ses deux premiers films parlants : "Laura" (1944) d'Otto Preminger et "L'impasse tragique" (The Dark Corner, 1946) de Henry Hathaway, Clifton Webb interpréte magistralement des rôles d'hommes raffinés, faux, sournois à l'extrême et cruels. Webb est un acteur de talent. Toutefois, c'est moins aux personnages en soi qu'il faut attribuer le caractère glacé de ces deux  premières interprétations, qu'au romantisme désespéré du monde à la fois fascinant et trouble du film noir qui rend crédibles des individus de ce genre?

 

Le cas de Fred MacMurray est un  peu particulier. Avant "Assurance sur la mort" (Double Indemnity, 1944) de Billy Wilder, sa nature affable l'avait relégué aux seconds rôles de fantaisie. "Assurance sur la mort" le révéla comme le type même du personnage amoral. L'agent d'assurances qu'il interprète se laisse facilement et consciemment, séduire par une femme impitoyable interprétée par Barbara Stanwyck qui le pousse à tuer son mari.

 

Pris entre deux feux : d'un côté la figure paternelle d'Edward G. Robinson -un inspecteur d'assurances d'une loyauté exemplaire - de l'autre la froide calculatrice, Fred MacMurray est le parfait bouc émissaire. S'il est vrai qu'il faut attribuer à la mise en scène de Billy Wilder le mérite d'avoir saisi l'atmosphère de déracinement propre à la vie urbaine en Californie - comme le fit ensuite Michael Curtiz en 1945 avec "Le roman de Mildred Pierce" (Mildred Pierce) - il est également certain que c'est l'interprétation de Fred MacMurray qui donna au film son orientation tragiquement fataliste.

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 08:12

Thierry Gaubert est soupçonné de détournement du 1% logement des organismes HLM dans les années 1990. La défense prévoit de soulever lundi trois points de procédure.

 

A Nanterre, le procès d'un ex-collaborateur de Nicolas Sarkozy risque de connaître le même dénouement que celui de Jacques Chirac dans l'affaire des emplois fictifs. La défense a en effet prévu de soulever lundi 13 mars trois points de procédure susceptibles de conduire au report.


Trois Questions prioritaires de constitutionnalité (QPC) vont être plaidées: deux par Me Jean-Yves Le Borgne, l'avocat du promoteur immobilier Philippe Smadja et l'autre par Me Jean Veil, le conseil de l'ancien chargé de la communication du président de la République, Thierry Gaubert.

QPC similaire


Sauf rebondissement, la 15e chambre du tribunal correctionnel ne devrait pas examiner le fond de cette affaire concernant le détournement du 1% logement des organismes HLM dans les années 1990, les magistrats parisiens ayant décidé la semaine dernière de transmettre une QPC similaire à la Cour de Cassation.
Le procès des emplois fictifs de la Ville de Paris visant l'ancien président de la République, a ainsi été reporté de plusieurs mois, provoquant l'indignation des parties civiles.
"A partir du moment où le tribunal correctionnel de Paris a transmis une QPC identique à l'une des deux déposées à Nanterre, j'imagine mal que les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets", a estimé Me Le Borgne.

Règles de prescription


L'autre QPC soulevée par l'avocat portera sur les règles de prescription en matière d'abus de bien social. Pour ce type de délit, la prescription de trois ans ne court qu'à partir du moment où il est découvert et non à partir du moment où il est commis.
Cette spécificité s'explique par le fait que les abus de biens sociaux sont, par définition, dissimulés. Cette règle vient d'une jurisprudence de la Cour de cassation, qui, selon Me Le Borgne, "met à mal la clarté et la précision des incriminations".
Dans cette affaire, les faits retenus se situent entre 1991 et 1997.


Prise illégale d'intérêt


La troisième QPC rédigée par les avocats de Thierry Gaubert s'interrogera sur la notion de prise illégale d'intérêt qui semble contraire au principe de légalité des peines énoncé dans la Déclaration des droits de l'Homme, la jurisprudence ne caractérisant pas précisément la mission de service public.
La présidente de la 15e chambre du tribunal correctionnel, Fabienne Siredey-Garnier, qui remplace exceptionnellement Isabelle Prévost-Desprez pour ce procès, devrait rapidement décider de transmettre à la Cour de cassation les QPC qu'elle juge recevables, reportant de plusieurs mois ce procès.
Et si la Cour de cassation se tournait vers le Conseil constitutionnel, celui-ci aurait également trois mois pour se prononcer.

 

Collecte des fonds du 1% logement


A ce procès autour de la collecte des fonds du 1% logement (une taxe obligatoire pour l'effort de construction payée pour les entreprises du secteur privé d'au moins 10 salariés), cinq prévenus seront jugés notamment pour des abus de confiance, abus de biens sociaux et prise illégale d'intérêt.
Thierry Gaubert, 59 ans, est soupçonné de s'être servi d'une structure de collecte du 1% logement qu'il dirigeait pour investir avec Philippe Smadja dans des programmes profitant à des sociétés civiles immobilières (SCI) ou des sociétés d'économie mixte (SEM) dans lesquelles il avait des parts ou des intérêts.
Il est également soupçonné d'avoir illégalement collecté 23,5 millions d'euros dans des ministères pour le logement des fonctionnaires, alors que l'association, à but non lucratif qu'il avait fondée à cet effet (Habitation Pour Tous) en 1992, n'avait pas l'autorisation pour le faire.

source: Nouvelobs.com

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 08:02

La grande illusion film réalisé par Jean Renoir Date de sortie cinéma : 9 juin 1937

Avec Jean Gabin, Pierre Fresnay, Erich Von Stroheim

L'histoire: Pendant la Première guerre mondiale, le capitaine Boeldieu et le lieutenant Maréchal sont faits prisonniers au camp Hallbach. Ils font connaissance avec leurs nouveaux "compagnons de chambrée", prisonniers comme eux : Rosenthal, un bourgeois parisien, Cartier, un acteur, et deux autres officiers. Ensemble, ils décident de tout mettre en oeuvre pour s'évader, et se mettent à creuser un souterrain. Alors que leur labeur touche à sa fin, ils apprennent qu'ils vont être transférés dans un autre camp...

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 07:58

Jean Gabin - "Viens Fifine"

Jean Gabin sings a variation of La Java Des Marsiallo in the film ZouZou cc 1934.

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13 mars 2011 7 13 /03 /mars /2011 07:54

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