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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 07:18
Avant d'entonner la marseillaise, Qu'ils donnent déja à manger aux pauvres et à certains retraités qui sont obliges de faire les poubelles  pour pouvoir manger..Aprés ils pourrons la chanter.S'ils ont encore un peu de voix.
 
ci dessous l'article du Figaro
Les parlementaires UMP ont entonné La Marseillaise, pour la clôture de leurs journées, vendredi, à Saint-Cyr-sur-Loire.
Les parlementaires UMP ont entonné La Marseillaise, pour la clôture de leurs journées, vendredi, à Saint-Cyr-sur-Loire. L'UMP organise mardi sa «convention riposte» intitulée «Le projet socialiste à la loupe: le grand malentendu», censée fournir à la majorité les munitions contre le Parti socialiste. Riposter au PS, d'accord, mais comment? C'est la question qui a occupé la deuxième journée parlementaire de l'UMP, vendredi, dans la banlieue de Tours. Tandis qu'à la tribune le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, dissertait sur la crise et les comportements «irresponsables et criminels dans le monde financier», dans les couloirs, toutes les conversations tournaient autour de la primaire socialiste.
 
  Au point que Xavier Bertrand, ministre du Travail mais surtout ancien secrétaire général de l'UMP, a prodigué quelques conseils: «On est trop violents avec la gauche. Ça peut faire plaisir à certains de nos militants, mais quand on fait de la politique, il ne faut pas parler entre soi. Il faut qu'on s'adresse aux gens, et en particulier à l'électorat centriste de Jean-Louis Borloo.»
  •  Pour lui, le parti majoritaire a «un réglage à faire sur la forme et sur le fond, et il faut qu'il le fasse maintenant». Le député des Yvelines Jacques Myard, lui, conseille à l'UMP de s'en tenir à une règle simple: «Ne jamais parler de nos adversaires pour ne pas les valoriser.»

  •  

    Et puis il y a ceux, nombreux, qui s'alarment d'entendre les dirigeants de la majorité condamner urbi et orbi la démondialisation comme un crime contre l'intelligence sans se donner la peine d'argumenter. Les élus UMP ont pu constater que ni François Hollande, ni Martine Aubry n'ont obéi aux injonctions protectionnistes d'Arnaud Montebourg. «La primaire semble entraîner le PS français vers une normalisation par rapport à ses homologues européens», estime Patrick Devedjian, qui s'interroge:

  •  

  •  «Aurions-nous peur de nous retrouver face à une gauche enfin raisonnable?» Dans son discours de clôture, Jean-François Copé a tenté de répondre à ces demandes contradictoires. À ceux qui rêvent de ne plus devoir réagir au sujet des primaires, il a raconté la fin de l'histoire. Selon lui, «sauf surprise, François Hollande devrait l'emporter par KO arithmétiquement».

  •  

    Il a aussi fourni des arguments à ceux, comme le député de Savoie Michel Bouvard, pour qui «le discours économique de la démondialisation est celui porté par Mussolini au début du fascisme. Jusqu'à présent, il était défendu par l'extrême gauche et l'extrême droite. Aujourd'hui, il séduit un électeur sur cinq au PS».

  •  

  •  «Nous ne ferons pas l'impasse sur ce sujet majeur», a promis le secrétaire général de l'UMP. Tout en brocardant le choix de Montebourg en faveur de Hollande comme l'«alliance contre nature d'une carpe et d'un lapin», Copé a étayé son discours en faveur de la mondialisation. Avec elle, a-t-il rappelé, «l'homme voit des perspectives incroyables s'ouvrir: la capacité de créer, d'échanger, de rencontrer est démultipliée, pas seulement pour une élite mais pour une immense part de la population».

    Risque de caricature 

    Les élus, lassés d'entendre leurs chefs «répondre à des slogans par des slogans», ont apprécié que le fond soit enfin abordé. Mercredi dernier, au bureau politique, plusieurs intervenants s'étaient plaints du «manque de réactivité» de l'appareil. Michèle Alliot-Marie avait regretté l'absence de «tracts» et d'«argumentaires».

  •  

  •  Nadine Morano, elle, s'était inquiétée du manque de mobilisation sur le terrain. Question d'organisation, selon elle: «La cellule riposte se réunit tous les mercredis, c'est bien, mais quand les socialistes nous tirent dessus un lundi, on ne va pas attendre deux jours pour avoir des munitions!»

  •  

    La convention de mardi, intitulée «Le projet socialiste à la loupe: le grand malentendu», est censée fournir ces fameuses munitions. «On va chiffrer le coût des propositions, et on verra que le projet du PS va ruiner la France», assure Michèle Tabarot, députée des Alpes-Maritimes. «Avec leurs propositions, on ne pourra pas rester dans la zone euro», prédit Bernard Accoyer, le président de l'Assemblée.

  •  

    Mais attention, là encore, au risque de la caricature ! «La convention anti-PS ne doit pas tomber dans le ridicule, prévient l'ancien ministre Dominique Bussereau. Il ne faut pas que l'UMP apparaisse comme une meute de roquets accrochés aux basques des socialistes.»

  • source le figaro

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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 05:01
Ironique, partiale et souvent injuste, cette chronique du directeur délégué de la rédaction du "Point" est à consommer avec modération...  La victoire cachée de Ségolène Royal

 

Malheur aux vaincus. C'est, on le sait, la règle qui prévaut partout dans les sociétés humaines. Le perdant est piétiné, déchiqueté façon puzzle, exilé. Partout ? Pas au PS en tout cas, qui se révèle un havre de fraternité et de camaraderie, où l'on n'entend dans les bouches des uns et des autres que les mots de rassemblement, ce qu'il faut traduire, toute pudeur mise à part, par amour réciproque.

 

Le PS nous offre une formidable leçon d'humanité. Ce n'est pas Ségolène Royal qui dira le contraire. Sévèrement battue au premier tour des primaires et très affectée par cette défaite, elle aurait pu s'attendre à une curée. L'occasion était belle : depuis le temps qu'elle embêtait tout le monde avec son charisme et ses idées iconoclastes, depuis le temps qu'on la détestait, qu'on la méprisait, qu'on la traitait d'idiote sinon de folle, enfin, elle était à terre, à portée de pieds.

 

Émouvant en diable

Mais non, ce ne sont qu'amour, compassion et estime qui se manifestent à son endroit. Laurent Fabius qui l'écrasait de son arrogance et de son sexisme se précipitait le premier (radiophoniquement) à son chevet pour lui prendre le pouls, tapoter ses joues et l'assurer de son indéfectible soutien. Émouvant en diable. Martine Aubry, François Hollande, jetant à la rivière la rancune qu'ils pourraient légitimement avoir vis-à-vis de celle qui les a traités

 

 respectivement de tricheuse et de mollasson, disent à quel point Ségolène Royal reste importante, et c'est d'ailleurs un poste d'importance qu'ils lui promettent tous deux.

 

Tout cela, encore une fois, fait chaud au coeur et contredit cette idée toute faite que la politique serait un jeu impitoyable où il ne s'agirait que de combattre l'autre à défaut de le tuer. Ségolène Royal, au fond, et malgré elle, a révélé au PS sa vraie nature, toute de charité. C'est pourquoi, malgré les apparences, elle est la grande gagnante des primaires et reste la madone du PS.

source le point

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 14:56
Les buveurs de sodas financeront la majeure partie de la « TVA sociale » imposée par le Président pour couvrir les 210 millions d'exonération de cotisations sociales, offerts aux agriculteurs. Un habile façon d'acheter le vote agricole avec l'argent des consommateurs !



L'Elysée achète le vote des agriculteurs avec l'argent des consommateurs ?


S'il existe bien une habitude détestable, à l'approche d'une élection présidentielle, c'est celle qui consiste à trouver le moyen de favoriser une partie de l'électorat, afin de faire le plein de ses voix. C'est exactement ce que vient de faire le Président de la République en annonçant une exonération de cotisations sociales pour les employeurs de salariés agricoles.

Mais direz-vous, comment peut-on faire l'impasse sur des recettes alors que les caisses sont vides et qu'il est indispensable d'améliorer les résultats des comptes sociaux ?

Et bien en utilisant la sempiternelle méthode du Président « qui n'a pas été élu pour augmenter les impôts » : En créant une nouvelle taxe !

Pour ce faire, la commission des Finances de l'Assemblée : « a décidé mercredi d'alourdir la future taxe française sur les boissons contenant des sucres ajoutés ou des édulcorants afin de financer en partie les baisses de charges sociales dans l'agriculture »
 
 La commission propose aux députés de porter cette taxe de 3,58 € à 6,22 euros par hectolitre. Elle concernera également les boissons contenant des édulcorants et rapportera 250 millions d'euros de recettes en 2012 contre les 120 millions d'euros initialement prévus.

A noter au passage une augmentation de : « la taxe intérieure de consommation (TIC) sur le fioul domestique utilisé comme carburant diesel à usage professionnel (dont les agriculteurs sont les utilisateurs), sera portée de 5,66 à 7,20 euros par hectolitre » qui représentera 80 millions.

Curieusement, cette augmentation n'a pas fait bondir les organisations et syndicats agricoles, dans la mesure où l'état avait accepté de leur consentir, bien avant l'annonce du Chef de l'Etat, une baisse des cotisations ... financé par les buveurs de soda !

Il faut dire que rien n'est trop beau pour les agriculteurs qui, en 2007, pour le second tour concentrait 87% des partisans de la FNSEA et 91% de la Coordination rurale.

Néanmoins, le 3 avril 2011, baromètre agricole Terre-net/ BVA, spécial présidentielles 2012, révélait  que si : « Les agriculteurs sont toujours clairement à droite, ils ne portent décidément plus Nicolas Sarkozy dans leur cœur (...) Il arriverait certes en tête mais il ne recueillerait que 32 à 34 % des voix des agriculteurs contre 51 % en 2007 (...) » Marine Le Pen étant créditée de 30% !

Or comme le rappellait Public Sénat : « (...) Il y a 430 000 chefs d’exploitation, 600 000 conjoints ou aides familiaux. C’est une population qui fait plus d’un million d’actif (...) » dont le vote sera déterminant en 2012 !

Si on ajoute à cela que la FNSEA qui a affirmé qu'elle ne donnerait pas de consignes de vote pour la présidentielle mais précisait que : « Les réponses des candidats à la présidentielle permettront aux agriculteurs, qui ne sont plus systématiquement acquis à la droite, d'orienter leur choix (...) » indiquait dans le même temps qu'elle réclamait : une « TVA sociale ou antidélocalisation » destinée à réduire d'au moins 30% le coût horaire des salariés agricoles pour l'aligner sur celui de ses compétiteurs européens.

On comprendra mieux le récent geste de notre Président à l'égard du monde agricole.

De quoi ôter tout suspense sur le résultat du débat en séance publique la semaine prochaine à l'Assemblée Nationale où la majorité parlementaire se fera un plaisir de valider cette aide au « vote utile » !
source marianne 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 13:38

 

C'est un classique à droite. Quand tout va mal, que plus rien n'y fait pour remonter la pente, il reste une solution: ouvrir le placard à souvenirs et en appeler aux mânes du grand homme... De Gaulle, mais c'est bien sûr ! Certes, le «Général» appartient à tous, comme on apprend à l'école, mais d'abord à la droite qui ne manque jamais de le rappeler.

 

Mardi matin 11 octobre, dans le huis clos du petit déjeuner hebdomadaire des responsables de l'UMP, Nicolas Sarkozy n'a pas failli à la tradition. Commentant la primaire du Parti socialiste, il a enfilé l'habit gaullien pour asséner: «La Ve République ne peut être l'otage des partis politiques et le candidat [à la présidentielle] pris en otage par son parti. Le général de Gaulle a voulu une élection à deux tours, pas à quatre tours.» Ce n'est pas si fréquent que l'actuel chef de l'Etat fasse référence à l'illustre père de la Résistance.

 

 Au contraire. Durant des années, il a raillé la vieille mythologie gaulliste du RPR, considérant que la droite française était «archaïque et passéiste». Chirac, Debré, MAM, Pasqua ont ainsi l'objet de ses pires sarcasmes du temps où il prétendait bâtir «une droite moderne et décomplexée».

 

 Et puis, même s'il l'assume mal, Nicolas Sarkozy appartient à cette droite dite Orléaniste, bourgeoise et libérale, incarnée par Guizot à ses origines et plus récemment par Edouard Balladur.

«Mort aux cons»

Mais le 9 novembre 2010, pour la commémoration des 40 ans de la mort du Général, le Président a effectué en grande compagnie un de ces bons vieux pélerinages à Colombey-Les-Deux Eglises. Rassemblant autour de lui toute la famille gaulliste (qu'il a fait entrer ensuite en force au gouvernement), il a multiplié les parallèles entre son action et celle de de Gaulle. Le meilleur étant cette citation de l'homme du 18 juin par Sarkozy: «Si la France m'a appelé à lui servir de guide, ce n'est certes pas pour présider à son sommeil.»

 

 Depuis, la conversion s'est accélérée: il ne cesse d'invoquer «l'intérêt général», d'affirmer vouloir se placer «au-dessus de la mêlée», de se poser en chef de guerre pour ne pas dire en résistant face à la crise. C'est à l'évidence cette image du rassembleur, ancré dans la réalité et la profondeur du pays, qu'il va chercher à incarner en 2012, comme en atteste la scénographie toujours plus marquée dans ce sens lors de ses déplacements bi-hebdomaires en province.

 

Cela tombe bien, les Baroin, Juppé, MAM et autres gaullistes de l'ex RPR ne demandent que ça pour se lancer à plein aux côtés du chef. Mais en matière de communication, il faut toujours prudent quant à la crédibilité du produit.

 

 La critique la plus sévère de la tentative de mutation gaulliste de Nicolas Sarkozy est ainsi venue des rangs de la droite: «L'idée du général de Gaulle, c'était d'instaurer une élection présidentielle à deux tours, pas à quatre tours, ni d'aller au Fouquet's le soir, ni sur un yatch le lendemain, ni d'emmener Bigard chez le Pape, ni de nommer son fils à la Défense, ni de "casser les pauvres cons". À un manifestant qui lui cria "mort aux cons!", il répondit "vaste programme". Autre culture. Autre temps. Ne faisons pas trop parler le Général, il n'est pas sûr qu'il serait fasciné par la gouvernance actuelle.» Un message d'outre-tombe de Tante Yvonne? Non, le sénateur et président du conseil général de l'Orne, Alain Lambert!

source libération

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 13:16

 

Pour son dernier meeting de la primaire, la maire de Lille n'a pas épargné son rival.

 

REGARDEZ. Martine Aubry décoche ses flèches contre François Hollande

Martine Aubry était en meeting à Lille hier soir

 

Martine Aubry, finaliste de la primaire, très offensive sur sa "gauche forte" dans son fief de Lille, a donné son dernier meeting jeudi soir à trois jours du scrutin d'où sortira le candidat PS pour 2012. Au palais des sports de Lille, dont elle est maire, Martine Aubry est arrivée vers 19 h 30, tailleur-pantalon noir, sous les acclamations de plus de 3 000 personnes agitant des drapeaux aux couleurs du PS et des primaires et scandant "Martine, président !"

 

"J'entends beaucoup parler de rassemblement ces derniers jours, mais, moi, j'ai un avantage, je l'ai fait ! Le rassemblement des socialistes, il est là ! Nous l'avons déjà fait !" lance-t-elle avec fermeté, devant ses soutiens politiques, François Lamy, les deux ex-Premiers ministres Laurent Fabius et Pierre Mauroy, Bertrand Delanoë, Jean-Christophe Cambadélis, Benoît Hamon ou Henri Emmanuelli. Son mari Jean-Louis Brochen est là aussi. "Face à une droite dure, je veux une gauche forte qui s'attaque au système", martèle la maire de Lille.

 

"J'attends le duel en 2012"

Les fléchettes visant son rival fusent : "Je ne me contenterai pas d'être une bonne gestionnaire" comme ceux qui ont "accepté la règle d'or", "il ne s'agit pas de donner des chiffres pour paraître sérieux", mais de "s'attaquer réellement au changement", "je le dis et le redis, pour moi le cumul des mandats, c'est en 2012, et pas à la Saint Glinglin".

 

 Avec élégance, elle reprend l'idée de prix citoyens dans les grandes surfaces" de Ségolène Royal qui pourtant a décidé de soutenir son ex-compagnon.

 

 "J'attends le duel en 2012", conclut-elle à 21 h 45. "Je serai votre drapeau et votre voix. (...) Plus jamais, vous n'aurez honte de la France ! Ensemble, nous allons tourner la page du sarkozysme !" La musique d'Il est temps entraîne les militants.

 

Auparavant, l'actrice Sandrine Bonnaire avait ému : "Mon coeur aujourd'hui se remet à battre grâce à vous, chère Martine.. Je crois en vous, beaucoup..." La salle exulte. Laurent Fabius, lui, avait qualifié sa "chère Martine" de "présidente du courage", Bertrand Delanoë vanté "Martine et sa gauche forte".

 

L'ancien plus haut magistrat de France Jean-Louis Nadal avait "salué la femme de terrain, la femme d'État pragmatique et courageuse". Stephane Hessel l'a soutenue via un message vidéo.

REGARDEZ le reportage de notre envoyé spécial à Lille, Antoine Duvauchelle :    Attendez

 


 

 

 

 

 

 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 08:46

Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a estimé mercredi sur Canal + qu'il faudra «un jour, très poliment» poser la question concernant l'activité professionnelle d'Audrey Pulvar, compagne d'Arnaud Montebourg (PS) et journaliste intervenant sur France Inter et France 2.

 

Audrey Pulvar restera bien à l'antenne. Contrairement à d'autres consoeurs, qui elles, ont été suspendues de leur fonction parce qu'elles fréquentaient des hommes politiques, la journaliste, qui file le parfait amour avec Arnaud Montebourg, ne sera pas inquiétée.

 
La chroniqueuse de l'émission «On n'est pas couché» chez Ruquier a reçu le soutien du CSA, de France 2 et de la direction de France Inter, où elle anime tous les jours la tranche matinale

Des voix s'étaient pourtant soulevées au sein du Syndicat national des journalistes de Radio France, au soir du premer tour de la primaire socialiste. Les images de la journaliste, souriante, main dans la main avec son compagnon , ont semble-t-il, heurté une poignée de journalistes de la station radio. 

Elle avait dû arrêter son émission politique sur I-TELE

«Audrey Pulvar rayonnante, dimanche soir, tient la main de son homme. Audrey Pulvar trinque à l'excellent résultat de son compagnon. Audrey Pulvar dit qu'elle n'a pas voté. Mais qui peut encore l'entendre quand la journaliste, jusque-là très discrète, laisse éclater sa joie sur tous les écrans ?», a réagi le Syndicat national des journalistes (SNJ) de Radio France, s'interrogeant  sur «cette mise en lumière soudaine».
 

Certains ont même réclamé que le temps de parole de la journaliste soit décompté par le CSA, suivant les textes à la lettre. Mais le CSA a rejeté l'idée. «Mme Pulvar n'étant pas, à ma connaissance, membre d'un parti politique, son temps de parole ne sera pas décompté», a déclaré Michel Boyon, président du CSA.

A France Inter, où la journaliste présente le 6/7 heures chaque matin, la direction lui a seulement demandé de ne traiter «aucun sujet de politique intérieure dans son émission».

A l'UMP aussi, le statut professionnel de la journaliste fait grincer. Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a saisi l'occasion d'en toucher deux mots, mercredi sur Canal+. «Il faudra un jour, très poliment», dit-il, poser la question concernant l'activité d'Audrey Pulvar, compagne d'Arnaud Montebourg (PS) sur France Inter et France 2.

Audrey Pulvar, elle, a rétorqué qu'elle avait choisi de s'afficher dimanche, seulement parce que la campagne d'Arnaud Montebourg était «finie» et qu'après le second tour «il n'aura pas de rôle particulier». 
Il y a un an, elle avait dû arrêter son émission politique sur I-TELE, juste après l'annonce des ambitions présidentielles de son compagnon.

source le parisien 

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14 octobre 2011 5 14 /10 /octobre /2011 08:26
Primaire PS: Montebourg vote Hollande Dans une interview accordée au Monde, le candidat arrivé troisième de la primaire socialiste annonce qu'il votera "à titre exclusivement personnel" pour le député de Corrèze.
 

Arnaud Montebourg a donc choisi. Dans une interview accordée au quotidien Le Monde, le candidat arrivé troisième se résout au vote utile. 

"Les propositions des deux candidats étant pour moi équivalentes, je ne peux me déterminer en fonction de ma seule éthique de conviction. C'est pourquoi mon choix relèvera avant tout de l'éthique de responsabilité: je veux faire gagner la gauche et battre Nicolas Sarkozy, explique-t-il. A titre exclusivement personnel, je voterai donc pour François Hollande, arrivé en tête du premier tour, à mes yeux meilleur rassembleur. Il a su dans sa lettre jeter un pont entre nos deux rives, et je lui en sais gré."

 

Comme nous l'avait indiqué un dirigeant socialiste au lendemain du premier tour, le député de Saône-et-Loire renvoie dos à dos les deux finalistes mais se rallie à celui arrivé en tête au nom de l'unité du PS. S'il continue de penser que "ces deux candidatures sont identiques", Arnaud Montebourg estime que "mieux vaut éviter la fragmentation, donner de la force à celui qui est arrivé en tête et soutenir le meilleur rassembleur plutôt que de rester sur mon Aventin. Le résultat de la primaire ne doit pas donner le signal de l'impossibilité de rassemblement".

source l'express 

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 15:34
DSK-Banon: la plainte classée mais l'agression sexuelle reconnue_1

Photomontage fait le 23 septembre 2011 montrant Tristane Banon et Dominique Strauss-Kahn


 

Le parquet de Paris a classé sans suite la plainte pour "tentative de viol" de Tristane Banon contre Dominique Strauss-Kahn, estimant toutefois que des faits qualifiés d'agression sexuelle étaient "reconnus" mais prescrits.

La romancière avait prévenu que si le parquet décidait de classer sans suite, elle déposerait immédiatement plainte avec constitution de partie civile, ce qui prolongerait le combat judiciaire de la jeune femme contre l'ex-favori socialiste à la présidentielle.

 

"Le parquet de Paris a procédé au classement sans suite de la procédure diligentée à la suite de la plainte déposée par Madame Tristane Banon à l’encontre de Monsieur Dominique Strauss-Kahn pour tentative de viol", indique le communiqué du parquet publié jeudi.

 

A l’issue de l’enquête, "il ressort que si faute d’éléments de preuve suffisants, les poursuites ne peuvent être engagées du chef de tentative de viol, des faits pouvant être qualifiés d’agression sexuelle sont quant à eux reconnus", poursuit le communiqué.

 

"Néanmoins, commis en 2003 et n’ayant été révélés qu’en juillet 2011 ces faits ne peuvent être poursuivis, l’action publique étant éteinte en application de la prescription triennale en matière délictuelle", explique le parquet.

Lors de son audition, le 12 septembre, par la brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de la police judiciaire parisienne, l'ancien patron du FMI avait concédé avoir fait "des avances" à la romancière, âgée de 32 ans, selon une source proche de l'enquête. Il a cependant jusqu'au bout contesté avoir agressé la jeune femme.

 

"Dénonciation calomnieuse"

Tristane Banon avait porté plainte contre DSK début juillet au moment où étaient apparus à New York les premiers doutes quant à la crédibilité de la femme de chambre qui accusait celui qui était encore patron du FMI de l'avoir violée dans un hôtel de Manhattan en mai.

 

A plusieurs reprises, Tristane Banon a affirmé que DSK avait tenté de la violer lors d'un entretien professionnel dans un appartement parisien en février 2003, décrivant un pugilat. Elle a été entendue par la police le 11 juillet.

Dominique Strauss-Kahn a de son côté parlé d'une "scène imaginaire" et a porté plainte pour "dénonciation calomnieuse".

 

Dans sa confession télévisée sur TF1 le 18 septembre, il avait affirmé qu'"aucune violence" n'avait été exercée sur Tristane Banon. "J'ai été entendu comme témoin. J'ai dit la vérité, que dans cette rencontre, il n'y avait eu aucun acte d'agression, aucune violence, je n'en dirai pas plus", avait-il dit.

 

Au cours de leur enquête, les policiers ont entendu une vingtaine de témoins dans ce dossier, et procédé le 29 septembre à une confrontation entre les deux protagonistes.

 

"Il y a eu une tentative de viol et ça je le maintiens", avait déclaré la romancière au soir de cette confrontation. Elle avait toutefois admis que plus de huit après les faits allégués, "la preuve matérielle, elle n'existe pas".

La décision du parquet intervient le jour même de la sortie d'un ouvrage de Tristane Banon, "Le bal des hypocrites" (Ed. Au Diable Vauvert), une autofiction dans laquelle elle livre sa version des faits sans jamais citer le nom de DSK.

 

L'ancien patron du FMI reste l'objet d'une procédure au civil aux Etats-Unis, intentée par la femme de chambre qui l'accuse de l'avoir violée en mai dans un hôtel de Manhattan. Les poursuites pénales ont en revanche été abandonnées fin août par la justice américaine qui a jugé la plaignante insuffisamment crédible

source l'ardennais

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 14:34

"lepoint.fr" - 12 octobre 2011 

Dans l'avion qui le ramenait d'une visite dans le Caucase, le chef de l'État s'est laissé aller à quelques confidences.

Par Anna Cabana

(...)

Ce beau monde espère une discussion politique, voire présidentielle. Au lieu de quoi le chef de l'État les entretient de... chirurgie esthétique ! Tout commence par une réflexion de Patrick Devedjian sur la mine du président géorgien Mikheil Saakachvili : "Il a grossi et il se teint les cheveux.

 

 Il a pris un coup de vieux." S'ensuit un monologue de Nicolas Sarkozy, long de vingt minutes. "La chirurgie esthétique, disserte-t-il, c'est bien quand on a une infirmité ou un gros défaut.

 

 Sinon, c'est dangereux. On croit qu'on ne le fait qu'une fois et on en devient esclave. Il ne faut pas mettre le doigt dans l'engrenage." Échange de regards gênés autour de la table. Personne ne prononce le nom de Carla Bruni, qui, depuis le premier livre de Justine Lévy (Rien de grave, Stock, 2004), passe pour une adepte de la chirurgie esthétique - ce dont l'actuelle première dame s'est toujours défendue. Sujet tabou, donc.

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 13:35
Nicolas Sarkozy entre en scène. Le président de la République a critiqué les propositions de Martine Aubry lors d'un déplacement en Haute-Marne.
Nicolas Sarkozy C'est l'histoire d'une mutation progressive. Une transformation. Nicolas Sarkozy, chef d'État est en passe de devenir candidat à la présidentielle 2012. Si sa déclaration n'est pas encore officielle, dans les actes, le président de la République entre de plus en plus dans la peau du futur prétendant à sa propre succession.

Preuve en est encore ce jeudi. En déplacement dans la Haute-Marne, du côté de Chaumont, il a raillé deux propositions de Martine Aubry, sur la culture et sur les emplois d'avenir, sans citer la candidate aux primaires. Mais la guerre semble engagée. « On a parlé de tout ce qui n'est pas dans l'actualité, donc on a parlé de tout ce qui est important », a également affirmé Nicolas Sarkozy, lors d'une table ronde sur l'accès et le partage de la Culture.

 

 Au lendemain du débat télévisé entre François Hollande et Martine Aubry, les deux finalistes des primaires socialistes pour l'élection présidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy a ajouté à la fin de la table ronde, à l'adresse du public: « avec vous, j'ai partagé. Avec l'actualité, on ne partage pas. On regarde les autres s'occuper d'eux ».

Des piques...

« J'ai vu qu'on demandait une augmentation de 50% du budget de la Culture. Pourquoi pas 100%, 150%? Cela n'a pas de sens. Ce qui a du sens, ce sont les projets, les initiatives » a-t-il lancé en critiquant une proposition de Martine Aubry. Un peu plus tard, il s'en est pris aux emplois d'avenir du projet PS défendus par la maire de Lille.

 

 « L'avenir des jeunes, ce n'est pas des faux emplois mais de nouvelles activités » explique-t-il. Il faisait allusion aux emplois créés à Metz dans le domaine de la culture, grâce à la création, il y a 16 mois, du musée Le Centre Pompidou-Metz (CPM), qui vient d'accueillir son millionième visiteur.

 

Martine Aubry avait proposé, en juillet dernier lors du festival d'Avignon, d'augmenter le budget de la Culture de 30 à 50%. Elle plaide également pour la création de 300.000 emplois d'avenir. Cette proposition fait partie du projet socialiste pour 2012. Nicolas Sarkozy le sait bien. Désormais, 2012 se prépare et chacun de ses déplacements sera l'occasion pour lui d'adresser quelques piques aux socialistes

france soir

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