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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 13:08

 

Marine Le Pen, lors de son discours sur l'éducation, le 29 septembre 2011 à Paris

 

La présidente du Front national, Marine Le Pen, aurait préféré que Giulia Bruni-Sarkozy, la fille du président de la République née mercredi, "porte un prénom français plutôt qu'un prénom italien", a-t-elle déclaré dimanche sur le plateau de l'émission "Face à l'actu", sur M6.

 

"Je me réjouis pour eux" a déclaré Mme Le Pen au sujet du couple présidentiel. "En revanche j'aurais préféré que cette petite fille porte un prénom français plutôt qu'un prénom italien", a-t-elle ajouté.

 

"Je pense que quand on est président de la République française, il m'apparait comme un signal fort de donner à son enfant un prénom français. C'est mon côté patriote, et je pense que beaucoup de Français pensent la même chose que moi", a dit la candidate du FN à la présidentielle.

source libération

 

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 08:51

COMPRENDRE LA CRISE. Selon un sondage exclusif Ifop pour leJDD et Maximal Productions, 53% des Français sont "révoltés" face à la crise, tandis que 29% d'entre eux se disent "résignés". Mais, plus que l'Union européenne, ce sont les marchés financiers qui sont tenus pour responsables.

 

A quelques jours de l'émission télévisée de Nicolas Sarkozy, jeudi prochain, et en plein bras de fer avec les Allemands sur la méthodologie à suivre pour sauver la zone euro,  l'Ifop a réalisé une étude pour le JDD et Maximal Productions sur les "Français et la crise". "Ce sondage met en exergue le malaise des Français, explique Frédéric Dabi, directeur du Pôle opinion de l'Ifop. Pour eux, il s'agit d'une crise grave dont ils ne voient pas la sortie et sur laquelle les politiques ne peuvent pas peser". En effet, 53% des personnes interrogées se disent "révoltés" de cette situation tandis que 29% sont "résignés".

 

"A travers cette enquête, on voit aussi l'impact que la crise financière provoque sur le niveau de vie des Français", note Frédéric Dabi. Pour 79% d'entre eux, il s'agit de la crise "la plus grave" de ces dernières années. Et le pessimisme demeure. Seuls 4% des sondés estiment que la sortie de crise est prévue pour les six prochains mois. Au contraire, 46% des personnes interrogées pensent qu'elle n'interviendra pas avant 2014. Par ailleurs, les Français sont prêts à des sacrifices : 57% d'entre eux accepteront à des "mesures douloureuses et difficiles".

 

Quant aux causes de cette crise, les sondés fustigent les acteurs financiers et économiques. Près de 52% des Français estiment que les marchés ou les banques sont responsables de la situation. Le gouvernement vient en seconde position (avec 26%), tandis que la popularité de Nicolas Sarkozy se tasse dans les sondages.

 

 L'Union européenne n'est en revanche pas pointée du doigt – seuls 10% des Français la considèrent responsable de la crise actuelle. "Paradoxalement, alors que leur attachement à l'UE est souvent ténu,  les Français sont pour plus d'Europe", analyse Frédéric Dabi. Pour preuve, une majorité d'entre eux valident la création d'un ministère commun de l'économs

source leJDD

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 08:45

 

Nicolas Sarkozy

 

 

 

COMPRENDRE LA CRISE. Semaine chargée pour Nicolas Sarkozy entre un sommet européen crucial ce dimanche et un passage à la télévision jeudi prochain. Il va devoir rassurer les Français, "révoltés" contre la crise comme l'indique notre enquête exclusive sur les peurs et les attentes des Français.

 

Sortir de la tranchée. Nicolas Sarkozy n’a plus le choix. Le Président candidat va rompre le silence après presque neuf mois de silence. Un silence presque incompréhensible de la part du chef de l’État le plus bavard de la Ve République. Ce sera finalement jeudi soir. Quatre-vingt-dix minutes en direct, depuis l’Élysée, sur France 2 et TF1.

 Quatre-vingt-dix minutes pour parler presque exclusivement de la crise financière et économique qui secoue l’Europe et pousse le gouvernement à prescrire aux Français une dose d’austérité supplémentaire. Sous peine de voir les agences de

 

notation lui retirer son triple A et donc renchérir le coût de la dette française.

Dans ce quinquennat ballotté par les crises de toute nature depuis ses premiers jours, Nicolas Sarkozy est décidé à tenir ce langage de vérité que beaucoup dans la majorité (François Fillon, Alain Juppé, Édouard Balladur) l’implore de tenir.

 

 "La crise est là. Je vais dire la vérité aux Français. Il faut qu’ils se réveillent. Ils doivent entendre la vérité. J’y suis prêt", confie celui qui s’adressera à eux jeudi soir, quels que soient les résultats du sommet de Bruxelles, aujourd’hui et mercredi. Convaincu que les Français n’ont pas du tout pris conscience de l’étendue de la crise et en pleine "hollandemania", Nicolas Sarkozy veut endosser les habits de Winston Churchill et prononcer une nouvelle version de son discours sur le sang et des larmes.

 

Évidemment, le chef de l’État a connu des contextes plus favorables à la veille d’une grande émission de télévision. Depuis une semaine, son bras de fer avec Angela Merkel met l’Europe sous pression. Les Européens ont certes décidé d’effacer plus de 50% de la dette grecque, mais ils restent très divisés sur le plan de sauvetage de la zone euro. Le compte à rebours est en tout cas lancé. Il reste quatre jours aux chefs d’État et de gouvernement pour sauver l’euro. Samedi soir, Angela Merkel a parlé de "progrès" et s’est montrée optimiste sur l’issue des réunions.

Les Français partagés entre révolte et résignation

La crise de l’euro conjuguée à celle de l’économie semble tétaniser les Français. Selon notre enquête exclusive Ifop/JDD/Maximal Productions, 79% des Français considèrent qu’elle est plus grave que les précédentes. Même si, quand on leur demande de dater le début de la crise, 20% des personnes interrogées situent ses origines "entre 1981 et 1999". L’état d’esprit des Français oscille entre révolte (53% se disent révoltés) et résignation (29%). Voilà qui n’augure rien de bon. Sans surprise, le sentiment de révolte est très fort à gauche (60%) et celui de la résignation domine à droite (40% chez les sympathisants UMP). Seules 4% des personnes interrogées imaginent que la situation peut s’améliorer dans les six prochains mois. Et 46% ne s’attendent pas à une amélioration "avant 2014".

 

Autre enseignement de notre enquête, 57% des Français s’attendent à des "mesures douloureuses et difficiles". Un chiffre en hausse par rapport au mois… d’août . Preuve qu’ils perçoivent une dégradation de la situation. Pour l’instant, ils anticipent et prévoient de faire des sacrifices dans leurs dépenses de "confort" (équipements vidéo) et leurs vacances. Interrogés sur les responsables de la crise, les Français ciblent les marchés financiers (37%), le gouvernement (26 %) et les banques (15%), bien avant l’Union européenne (10%), qui n’est plus le bouc émissaire si pratique dans le discours de certains politiques.

 

 Ils sont même pour la création d’un "ministre européen de l’Économie"! Une grande majorité de Français (63%) sont d’accord enfin sur un point : le gouvernement doit prendre une participation dans les banques françaises. Une position défendue par… François Hollande.

 

Au cœur des préoccupations des Français, la crise sera le fil rouge de la présidentielle. Malgré les efforts du Président, le reste de son bilan comptera bien peu en 2012. Tout comme son succès militaire en Libye ou encore ses récents efforts de discrétion, notamment cette semaine avec la naissance de sa fille, Giulia. Seule sa capacité à résoudre la crise lui sera créditée. Cela rend son intervention télévisée d’autant plus cruciale.

source le JDD

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 08:25

 

 

Hollande a officiellement été investi, samedi, candidat socialiste pour la présidentielle de 2012

Hollande a officiellement été investi, samedi, candidat socialiste pour la présidentielle de 2012

 

Le candidat normal s’était concocté, samedi, une investiture "modeste" à la Halle Freyssinet.

Une salle enjouée, mais pas pleine à craquer. Samedi, à la Halle Freyssinet, dans le XIIIe arrondissement de Paris, 4.000 militants ont assisté à la convention d’investiture de François Hollande, désormais officiellement "sacré" candidat du PS à la présidentielle de 2012.

Reste que les sympathisants auraient pu être beaucoup plus nombreux, les goodies - même si on a vu les premiers badges et premiers T-shirts - plus présents, mais l’équipe de François Hollande a voulu faire profil bas et avait commandé au Parti socialiste une convention sobre à 300.000 euros, un budget largement revu à la baisse.

"Il ne s’agit pas du lancement de la campagne"

Pas trop de flonflons donc, car si François Hollande a fait un discours de campagne fort, parlant éducation, économie et pilonnant la droite et son président Sarkozy, "il n’est pas officiellement rentré en campagne", précise très sérieusement Bruno Le Roux, un de ses plus proches lieutenants, interrogé par Europe1.fr.

Ainsi, l’objectif de cette convention d’investiture "est avant tout de clore une parenthèse, celle de la primaire. L’entrée en campagne se fera plus tard", confie-t-il encore. Entre temps, que fera le candidat du Parti socialiste ? "Il va voyager et entrer dans une phase de préparation de la campagne", assure Bruno Le Roux.

Un discours de référence

Pas d’entrée officielle dans la campagne donc, mais un discours bien rodé pourtant. Pendant une heure et demie, François Hollande a tenu la tribune de la Halle Freyssinet. Il a débuté sur le thème du rassemblement, saluant ses anciens rivaux, tous au premier rang : Ségolène Royal "qui a inspiré tant d'approches nouvelles", Martine Aubry, patronne du PS dont il a salué la "force de conviction, la loyauté", Manuel Valls "nouvelle génération qui a soif d'action", Arnaud Montebourg qui "a installé des thèmes forts qui ont ouvert une époque nouvelle dans la vie politique", le radical Jean-Michel Baylet "qui a été associé au processus".

 

Puis François Hollande s'est fait plus belliqueux, décochant ses flèches, comme il se doit, vers Nicolas Sarkozy, qui se voulait "être le président d'une République irréprochable", devenu "celui d'une République irresponsable". Le chef d’Etat d’une frange favorisée, "qui gagne plus sans travailler plus".

 

Pour l’écouter, tous les éléphants du PS avaient fait le déplacement, même ceux qui se détestent. Ainsi, alors que les pro-Hollande hochaient la tête d’approbation, certains pro-aubrystes, comme le député Jean-François Cambadélis, faisaient grise mine, les traits tirés. Un beau premier rassemblement de campagne donc, à vous faire oublier que la campagne n'a pas encore "officiellement" commencé.

source europe1

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 04:01

 

Les socialistes ont investi samedi après-midi leur candidat à la présidentielle, François Hollande.

Parti socialiste, le rassemblement tranquille

Tous les candidats à la primaire citoyenne étaient présents lors de la cérémonie d'investiture de François Hollande, samedi

 

 

Le rassemblement ne peut pas laisser de place à l'improvisation. Alors, le PS soigne la mise en scène. La halle Freyssinet, lieu branché du 13e arrondissement de Paris où sont souvent organisés des défilés de mode, sert samedi après-midi de décor à la cérémonie d'investiture de François Hollande.

 

Les militants commencent à arriver à 14 heures. Ils arborent pour la première fois des tee-shirts à la gloire de leur nouveau candidat pour 2012. L'occasion de découvrir ce slogan qui devrait fleurir dans les meetings présidentiels : "H

is for hope". Les drapeaux flottent : celui de la France, celui du PS, mais aussi celui du Parti radical de gauche.

 

Les anciens Premiers ministres Lionel Jospin, Pierre Mauroy, Laurent Fabius sont aux premières loges. La journaliste Valérie Trierweiler, qui partage la vie de François Hollande, prend place entre ceux qui ont géré la campagne du vainqueur, Stéphane Le Foll et Pierre Moscovici.

 

"Je m'entraîne à dire François, président !"

À 14 h 45, les anciens candidats à la primaire Manuel Valls, Ségolène Royal, Arnaud Montebourg, Jean-Michel Baylet, Martine Aubry et bien sûr François Hollande, remontent ensemble, façon mariage, une allée, dégagée pour l'occasion par un service d'ordre très vigoureux. Aubry et Hollande sont à la traîne, les quatre autres ralentissent le pas. Pas question d'entrer dans la lumière séparément.

 

Des attaques ont volé pendant la campagne, la bataille finale entre Hollande et Aubry a été violente, fournissant des armes à la droite. Le PS veut effacer cette séquence. Place au rassemblement, donc. Mais avec plus ou moins d'entrain. Difficile pour les piliers des équipes de campagne des perdants de tout oublier en moins d'une semaine. "Je m'entraîne à dire François, président !" rigole un député pro-Aubry, avant de souffler : "Ça fait un peu chier..."

 

Transition en douceur

Cette convention, c'est aussi l'histoire d'une transition. "Aujourd'hui, on clôt la primaire. Ce n'est pas un meeting de candidat." D'ailleurs, tous les candidats se succèdent sur scène. Ils disent à Hollande leur absolu soutien. Les leçons du passé ont été retenues. Valls promet : "François, tu ne seras pas seul, nous sommes à tes côtés pour gagner." Ségolène Royal lance à l'adresse de son ancien compagnon : "François, tu es notre candidat, et si nous sommes là tous ensemble, c'est pour que tu sois demain notre président."

 

La grande perdante de la primaire reprend une formule de François Mitterrand - "quand la France rencontre une grande idée, elles font ensemble le tour du monde" - pour inviter le candidat : "Ensemble, faisons le tour du monde !" Aubry martèle : "Tout est prêt pour que le prochain président de la République s'appelle François Hollande."

 

Quatre promesses et trois pactes

C'est à lui de clore les festivités, face à 4 000 personnes, par un discours d'une heure dix, dynamique et inspiré. Après avoir remercié un par un ses anciens concurrents, François Hollande cible surtout Nicolas Sarkozy, dont "la présidence aura été celle de tous les excès : dévoiement des institutions, captation du pouvoir, relégation du Parlement, irrespect des partenaires sociaux et ignorance des territoires". Et il met en garde contre les dangers d'un score haut du FN : "Je n'ai pas oublié le 21 avril."

 

Pour l'emporter, Hollande fait quatre promesses : la vérité, la volonté, la justice et l'espérance ; et propose trois pactes aux Français : le pacte productif, le pacte éducatif et le pacte démocratique. À 17 h 48, il conclut. La séquence d'au revoir est interminable. Hollande serre toutes les mains, embrasse Royal sur la joue, offre un baiser à Valérie Trierweiler, reçoit l'adoubement de Jospin et de Mauroy, se prête au bain de foule. Manifestement ému. Il y a là un peu d'improvisation... Mais le PS a réussi sa mission du jour : donner l'image d'un parti rassemblé.

source le point

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23 octobre 2011 7 23 /10 /octobre /2011 03:52
Les ministres des Finances de la zone euro sont tombés d'accord vendredi soir pour demander aux banques privées créancières de la Grèce qu'elles acceptent une perte d'au moins 50% de la valeur de la dette du pays.
Les ministres des Finances de la zone euro sont tombés d'accord vendredi soir pour demander aux banques privées créancières de la Grèce qu'elles acceptent une perte d'au moins 50% de la valeur de la dette du pays. | Thomas Coex
Les banques créancières de la Grèce vont devoir se préparer à des pertes beaucoup plus importantes que prévu. Vendredi soir, les ministres des Finances de la zone euro sont tombés d’accord pour leur demande d’effacer au moins 50% de la valeur de la dette du pays, menacé sinon de banqueroute. C est sur cette base que se tiennent désormais les négociations avec les représentants du secteur bancaire, censées aboutir au plus tard lors d’un sommet décisif de la zone euro mercredi prochain.
Réunis à Bruxelles, les ministres ont de facto entériné les conclusions d’un rapport qui leur a été remis par les experts de la «troïka» des bailleurs de fonds de la Grèce (Union européenne, Banque centrale européenne et Fonds monétaire international).

En juillet, un accord avait été trouvé avec les banques pour qu’elles acceptent une dépréciation de 21% à terme sur la valeur de leurs obligations grecques. Mais la situation du pays s’est nettement dégradée depuis, obligeant à revoir tout le programme.

En échange, les ministres des Finances vont plancher aujourd’hui sur un plan de recapitalisation du secteur bancaire pour lui permettre d’amortir le choc. L’Europe évalue les besoins à entre 80 et 100 milliards d’euros, un chiffre moins important toutefois que celui avancé par le FMI qui est le double.

Désaccord entre Paris et Berlin


Les discussions s’annoncent ardues dans les prochains jours car de profondes divergences entre Paris et Berlin persistent. et doivent se rencontrer samedi pour préparer la réunion du Conseil européen de dimanche.

Le président français bataille pour un renforcement des moyens d’action du Fonds européen de stabilité financière (FESF), un instrument essentiel pour espérer empêcher une contagion de la crise de la dette à des pays comme l’Espagne et l’Italie

Angela Merkel, elle, défend l’idée d’un dispositif «assurantiel» : le FESF garantirait une part des titres de dette émis par les pays fragiles. Cette seconde option a pour avantage d’éviter de remettre la main à la poche. Mais certains en Allemagne, comme les Verts, rejettent cette solution, estimant qu’elle pourrait coûter très cher à l’Allemagne en cas de défaillance d’un pays.
 
Le ministre français des Finances, François Baroin, a montré des signes d’ouverture à la fin des discussions vendredi soir. La proposition soutenue par la France est «la solution la plus efficace», selon lui, mais Paris «n’en fait pas un point d’affrontement définitif».
source le parisien 
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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 14:56

 

Nicolas Sarkozy et Angela Merkel

Nicolas Sarkozy et Angela Merkel | Montage Le Post d'après Reuters

Ils s´étaient réunis le 10 octobre pour nous le garantir : Nicolas et Angela ont essayé de nous faire croire qu'ils étaient d'accord sur TOUT.

Ouais. Moi, je guettais la suite des évènements, qui devait advenir le 18 octobre.

Mais le 18 octobre, il ne se passa rien.

J'eus beau scruter l'actu, rien de rien.

Je me suis bien douté que ça ne tournait pas rond.

On est le 21 et il faut bien que vérité se fasse : ils ne sont pas d'accord.

La date du sommet européen a bel et bien été repoussée au 23 octobre.

Paris et Berlin sont même tellement en désaccord qu'ils vont se retouver deux fois pour en parler. Un désaccord qui porte sur la force de frappe et l'utilisation du Fonds de soutien européen (FESF).

Explications

Paris veut transformer le Fonds en banque pour qu'il se finance auprès de la Banque centrale européenne (BCE). Cela augmenterait sa capacité d'intervention, limitée pour l'instant, à 440 milliards d'euros. Pour cela, il faut qu'il se recapitalise auprès de la BCE, qui lui donnerait de quoi porter son capital à 1 milliard d'euro. En échange d'obligations d'États en difficulté comme garantie.

 

Comme c'est facile, de faire jaillir des millions comme ça, on est jaloux, pas vrai ?

Mais Berlin et la BCE s'y refusent. La position de l'Allemagne est de faire du FESF un assureur sur les titres de dette des pays les plus fragiles. Une partie des 440 milliards actuels du Fonds servirait à garantir entre 10 % et 30 % des obligations les plus risquées.

 

Nicolas Sarkozy a fini par se rallier à cette position mercredi soir, après sa visite en Allemagne, mais Bercy n'est pas d'accord.

Et il n'y a pas que Bercy : l'Italie et l'Espagne ne sont pas d'accord non plus. Elles craignent que la partie non assurée des obligations ne paraissent fragile, et que les taux d'intérêt que l'on exige des investisseurs ne soient relevés pour compenser.

 

Les députés allemands, mal informés, refusent l'augmentation du Fonds

Alors que veulent-elles ? Comme la France le souhaitait initialement, elles désirent une augmentation effective du Fonds européen à 1.000 milliards d'euros.

Mais cela, les députés allemands ne peuvent l'accepter : le gouvernement ne les a pas tenus informés de ce projet. Les députés de la commission budgétaire du Bundestag ont bien reçu, du ministère des Finances, un document sur l'utilisation du Fonds, mais "le texte est totalement différent de ce qui est discuté sur la place publique", accusent des députés allemands.

C'est pour leur faire accepter le projet qu'une réunion a été prévue mercredi prochain, en plus de celle de dimanche. Angela Merkel a besoin de l’accord de ses députés pour faire adopter le projet, version française. Mais les députés sont très sceptiques et demandent des garanties.

 

Et ce n'est pas tout : le Fonds monétaire international et la Commission européenne s'opposent au sujet de la Grèce. Ces deux institutions doivent proposer un texte commun aux chefs d'État et de gouvernement ... mais elles n'ont pas la même vision sur l'évolution future de la dette grecque et sur la capacité du pays à honorer ses échéances. Or leur évaluation est cruciale pour déterminer l'importance de l'aide que les Européens devront fournir à ce pays.

 

Voilà donc, une nouvelle fois, l'Europe au bord du gouffre.

Voilà donc une nouvelle occasion de trouver de l'argent pour la sauver. On ne sait pas d'où il sort, mais la source est... sans fond.

Et nous voilà encore, à regarder tout ça les yeux ronds, comme des c...

source le post

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 14:39
 
Il est désormais officiellement le candidat des socialistes et des radicaux de gauche pour 2012. a été investi samedi lors d'une convention à Paris, à la Halle Freyssinet, devant près de 4000 militants et sympathisants socialistes survoltés. Une grand messe destinée à clore le chapitre de la primaire en apothéose devant l'ensemble des caciques du partis parmi lesquels trois anciens Premiers ministres socialistes : et , l'un à côté de l'autre, et Laurent Fabius.
Egalement présente au 1er rang, la compagne de François Hollande, Valérie Trierweiler.

Suivez minute par minute les temps forts de cette investiture.

16h27. Ségolène veut relever «le défi de la France métissée qui fait partie de la République française»
rappelant «que les quartiers "popu" ne sont pas venus aux primaires». Elle est la première à évoquer dans l'après-midi les quartiers sensibles. 


16h23. «Les grandes idées font le tour du monde». Ségolène Royal cite François Mitterrand sous les applaudissements nourris des socialistes. 

16h16. Ségolène prend la parole. «Nous sommes tous engagés sans réserve» derrière François Hollande jure son ex-épouse. «Je suis engagée sans réserve animé par l'intérêt général dans ce combat majeur pour l'avenir de notre pays. Les Français ont rendez-vous avec l'histoire en mai 2012 ».

16h14. «Vive la Sixième République et vive la France, la nouvelle France» hurle Montebourg à la fin d'un discours très porté sur la démondialisation, son cheval de bataille.

16h09. Montebourg : «la droite rêve secrètement de se débarrasser de Nicolas Sarkozy ». Pour celui qui a représenté la gauche du PS lors de la primaire. «Jean-François Copé déguisé en Jean-Pierre Foucault» rigole Montebourg en faisant référence à la convention riposte de l'UMP cette semaine. Pour lui, l'UMP défend le programme «Zéro Euro, le programme zéro»

16h03, Valls remercie Rocard et Jospin. L'ancien premier ministre est présent dans la salle. Valls évoque «la fierté des années où il a été premier ministre» Jospin l'air grave, écoute.

15h55 Manuel Vall salue Stephane Hessel au deuxième rang, juste derrière Martine Aubry.«Nous sommes à tes côtés» lance Valls à l'ancien résistant devenu porte-parole mythique du mouvement des indignés dans le monde entier. 
 
15h51. «La France attend et j'ose croire qu'elle nous attend» prédit Manuel Valls. «François Hollande est celui qui a déjà su rassembler et qui va continuer à rassembler pour gagner» jure le candidat qui a représenté la droite du parti lors de la primaire, évoquant le passé de François Hollande en tant que premier secrétaire du parti.
«Ce jour de l'investiture est particulier, un moment précieux» hurle Manuel Valls qui explique que les socialistes remettent actuellement «un bien inestimable, la confiance de millions de Français» à François Hollande.«Tu ne seras pas seul, nous sommes tous à tes côtés pour gagner»

15h50. «Je prends le pari que nous chanterons tous ensemble le chant des cerises sur les marches de l'Elysée » jure Jean-Michel Baylet. Manuel Valls prend la parole.

15h39. «Bravo et merci Ségolène» félicite le chef de file de radicaux francais, avec son accent chantant.

15h36. Jean-Michel Baylet prend la parole,
après le discours de Martine Aubry, qui a dure une vingtaine de minutes.

15h32. La convention de l'UMP, «un moment ubuesque». 
Martine Aubry tire à boulets rouges sur la riposte mise en place par l'UMP. «Ils n'ont pas de projet, mais qu'un bilan» tacle-t-elle évoquant  un «pseudo chiffrage, l'invention de propositions». Pour elle, c'est «un flop pour l'UMP» animé par «des ministres qui feraient mieux de s'occuper de la France ».


15h24. Standing ovation pour Ségolène. «Elle a une place particulière dans notre parti, vous le montrez encore» jure martine Aubry, avant de saluer les autres candidats au premier rang : «l'humanité de Jean-Michel Baylet ou encore les convictions d'Arnaud et Manuel». «Nous sommes l'équipe de France du changement» scande Aubry.

15h18. «On est au sénat, on est au Sénat, on est, on est, on est au Sénat» chantonnent les militants sur l'air de « on est en finale » des supporters de football. « En général, je chante ca pour le Losc » rigole Martine Aubry, faisant référence à l'équipe de Lille, sa ville, championne de France en titre. Quelques secondes avant, une standing ovation faite a été faite à Jean-Pierre Bel, le président du Sénat.

15h16: «Je sonne la mobilisation générale derrière François» scande la Première secrétaire. « Francois tu as une très grande chance à tes côtés : le PS. Nous sommes tous déterminés pour te faire gagner » assure-t-elle. En revêtant son habit de numéro 1 du mouvement, elle rappelle : le PS est «la colonne vertébrale de chaque victoire de la gauche en France»

15h15. Martine Aubry prend la parole. 

15h04. Dsk, grand absent de la cérémonie.
 L'ex-directeur du FMI, grand favori des sondages, jusqu'à l'épisode du Sofitel n'est pas présent.


15h00. Les candidats de la primaire pénètrent dans l'enceinte. Les six vont tous s'installer au premier rang, à côté de Jean-Pierre Bel, le président socialiste du Sénat, fraîchement élu. Pour la symbolique, la bande des six posent unis, devant l'armée de photographes et de caméramen.

14h30. " François Président " scandent les milliers des militants, dans un océan de drapeaux multicolores. La bande son à tue-tête donne le tempo. Un subtil mélange entre des chansons symboliques pour le peuple de gauche, comme Le temps des cerises d'Yves Montand mixé avec de la musique rock et électro du moment.  

14 heures 24. Valérie Trierweiler en grande conversation avec Pierre Moscovici. Alors que la convention n'a pas officiellement commencé, l'ambiance monte petit à petit dans la salle parisienne. Valérie Trierweiler la compagne de François Hollande est cette fois dans les premiers rangs, et ne se contente pas de commenter l'événement sur son twitter, comme elle l'a fait dimanche dernier, le jour de l'investiture de son compagnon François Hollande. Elle discute notamment avec Pierre Moscovici, ancien strauss-khanien qui a rallié la cause de François Hollande, après la chute de DSK. Le temps des cerises, Yves Montand est mixé avec de la musique rock et électro du moment.
source le parisien
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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 08:36

 

La conférence a fait le plein au CPR.

 

Invité par l'Association pour la sauvegarde du patrimoine vouzinois, Jacques Lambert, le président des éditions Terres ardennaises, a présenté une centaine de photographies, dont beaucoup inédites, sur l'exode des populations ardennaises en mai-juin 1940.
 

Commentant ces documents tragiques à l'aide de nombreuses anecdotes recueillies auprès de témoins, le conférencier a envoûté son nombreux auditoire.

 


La matière de ce brillant exposé était extraite d'un ouvrage en souscription qui réunit les travaux d'une quinzaine d'auteurs et d'historiens de notre département.

Ce martyrologe de nos populations provoque l'émotion, mais n'empêche pas quelques sourires dont témoigne l'histoire suivante.


Une Ardennaise, née vers 1865 avait été évacuée pour échapper aux Prussiens en 1970, puis à nouveau en août 1914. L'exode de 1940 lui inspira cette réflexion : « On va dire, on ne voit qu'elle sur les routes ! »
« Il y a 70 ans dans les Ardennes », ouvrage en souscription jusqu'au 31 octobre, auprès de Terres Ardennaises et de l'Office du tourisme de l'Argonne ardennaise.

source l'ardennais

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22 octobre 2011 6 22 /10 /octobre /2011 07:31

Joëlle Ceccaldi-Raynaud, la maire, a fait acheter par les services de sa ville la totalité des exemplaires du Canard Enchaîné distribués cette semaine à Puteaux.

L'étau se resserre autour de la maire sarkoziste de Puteaux, patronne du quartier d'affaires de La Défense, soupçonnée de corruption. Résumé.

 

La députée maire (UMP) de Puteaux est fébrile. Mercredi 19 octobre, Joëlle Ceccaldi-Raynaud a fait rafler par ses services tous les exemplaires du Canard Enchainé exposés dans les kiosques de sa coquette ville des bords de Seine, au pied des tours de La Défense. Le Palmipède y révèle, en page 3, que "l'ex-suppléante de Sarko planquait son magot dans des paradis fiscaux". 

 

Un marchand de journaux, soucieux de ne pas fâcher Madame le maire, a expliqué au journaliste de l'hebdomadaire satirique qu'en cas de nouvelle livraison, il planquerait les exemplaires sous son comptoir et les renverrait pour invendus. "Une première dans l'histoire du Canard", témoigne Hervé Liffran, un autre de ses journaliste, qui, pourtant, en a vu d'autres dans les Hauts-de-Seine.

  

Scandalisé par ces pratiques, Christophe Grébert, élu MoDem de Puteaux, organise, ce samedi, une distribution du Canard Enchainé dans la rue principale de la ville, afin d'informer ses concitoyens sur les curieuses pratiques du clan qui dirige Puteaux depuis quarante ans.

 

Les enquêteurs soupçonnent des pratiques de corruption

L'affaire qui émeut tant Joëlle Ceccaldi-Raynaud, présidente de l'Epadesa - l'établissement public qui gère le quartier d'affaires de La Défense - n'est pas nouvelle. Elle remonte à la fin des années 1990 et fait l'objet d'une information judiciaire ouverte à Nanterre depuis 2002. Les enquêteurs soupçonnent des pratiques de corruption lors du renouvellement de la concession de chauffage urbain de La Défense. Cette grosse usine, qui alimente en chauffage et en climatisation les tours du quartier de bureaux, est gérée par un syndicat mixte regroupant le département et les villes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre. Un organisme présidé, à l'époque des faits, par Charles Ceccaldi-Raynaud, le père de Joëlle, à qui elle a succédé, en 2004, à la tête de la commune et de l'Epadesa. 

 

Cela fait bientôt dix ans que le dossier s'épaissit, sans que les juges d'instruction successifs soient encore parvenus à démêler tous les fils. Isabelle Prévost-Desprez a été la première à ouvrir l'enquête. Elle a perquisitionné, dès fin 2003, au domicile de Charles Ceccaldi-Raynaud, dans sa résidence corse de Sainte-Lucie-de-Porto-Vecchio et son bureau au Sénat. En avril 2004, la juge a continué ses investigations dans le bureau de Joëlle, à l'Assemblée nationale. Isabelle Prévost-Desprez est aujourd'hui mise au ban par sa hiérarchie, qui selon elle l'empêche de mener à bien les affaires gênantes pour le pouvoir, comme elle l'explique dans le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme Sarko m'a tuer, en citant notamment l'affaire Bettencourt dont l'instruction lui a été retirée.

 

Le juge Richard Pallain, qui lui a succédé, a mis Charles ceccaldi-Raynaud en examen, en 2007, pour favoritisme, recel d'abus de biens sociaux et corruption passive. Trois associés de la société qui gère la chaufferie ont également été mis en examen pour corruption, ainsi qu'un intermédiaire luxembourgeois, qui a dévoilé le pot aux roses aux enquêteurs, faute d'avoir perçu la commission qu'on lui avait promise.

 

Joëlle Ceccaldi-Raynaud, pour sa part, n'a été entendue en témoin assisté - dernière étape avant la mise en examen - que l'été dernier, après la découverte par le juge de ses comptes bancaires dans des paradis fiscaux, qui auraient abrité, selon Le Canard, au moins 4 millions d'euros. Las... Le juge Pallain, comme le précise l'hebdomadaire, a été muté le mois dernier.  

Pendant que la justice piétine, la famille Ceccaldi continue de veiller sur le chauffage de la Défense. Vincent Franchi, le fils de Joëlle, élu conseiller général des Hauts de Seine en mars 2011 - à la place de son grand-père! - s'est aussitôt fait nommer administrateur du Sicudef, le syndicat mixte qui gère la chaufferie.

source l'express

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