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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 06:48

 

Capture d'écrans montrant l'intervention du président Nicolas Sarkozy sur plusieurs chaînes de télévisions

 

 

Capture d'écrans montrant l'intervention du président Nicolas Sarkozy sur plusieurs chaînes de télévisions

 Au lendemain de la prestation télévisée de Nicolas Sarkozy, dimanche soir...

Les quotidiens sont très souvent dubitatifs ce lundi, au lendemain de la prestation télévisée de Nicolas Sarkozy, aussi bien sur les annonces du «toujours président» que sur la stratégie du «pas encore candidat», à moins de trois mois de l'élection présidentielle.

 

Après les propositions économiques du président -que les éditorialistes estiment risquées électoralement- dans Le Figaro, Gaëtan de Capèle juge que son positionnement «est évidemment plus téméraire et plus risqué ... que de déclarer la guerre à la finance ou de promettre que "les riches" paieront». «C’est probablement aussi beaucoup plus utile pour l’intérêt général, à défaut d’être populaire», ajoute-t-il.

«Désespérant»

A l'inverse, L'Humanité pense, sous la plume de Jean-Paul Piérot, que «tout semble se passer comme si le chef de l'État ... voulait achever d'ici à l'élection présidentielle l'oeuvre de démolition du modèle social, accélérer la déréglementation du travail».

 

 «Désespérant», juge Paul Quinio dans Libération en regrettant qu'il n'y ait pour Nicolas Sarkozy «qu’une seule option (...) celle du toujours plus de flexibilité. Comme s’il ne s’agissait que de s’adapter à la crise, et non de la combattre à la racine».

 

 Pour La Voix du Nord, Hervé Favre souligne que «Nicolas Sarkozy a choisi hier soir de durcir le clivage droite - gauche».

Face au choix des mesures annoncées, «pourquoi Nicolas Sarkozy prend-il ce risque, bien réel?» se demande Guillaume Goubert (La Croix) avant d'apporter la réponse: «Le président sortant cherche à endosser une stature de l'homme d'État churchillien.» «Bien joué mais risqué», estime à cet égard Philippe Rivière, pour La Nouvelle République du Centre Ouest. D'autant que, selon Michel Lepinay (Paris Normandie), «le président (a joué) une sorte de va-tout».

«Ca passe ou ça casse»

«Ca passe ou ça casse», résume Christophe Bonnefoy dans Le Journal de la Haute-Marne tout comme François Martin qui se demande dans Midi Libre: «Président courage ou président kamikaze?» tandis que L'Alsace, avec Patrick Fluckiger, estime que «Nicolas Sarkozy joue la présidentielle à quitte ou double».

 

 C'est un «coup de poker», ajoute Rémi Godeau dans L'Est Républicain. Daniel Ruiz de La Montagne est bien seul à estimer que «Nicolas Sarkozy a sans doute repris la main et quelques points dans les sondages»

.

Déjà candidat ou toujours président? Jacques Guyon dans La Charente libre ironise sur le président qui n'était «pas du tout préoccupé par sa candidature. La meilleure preuve: il exclut toute augmentation d'impôt. Et ça, ça ne trompe pas...».

 

 Jean-Claude Souléry de La Dépêche du Midi s'amuse de voir que «Sarkozy est tellement candidat qu'il n'a même pas eu besoin hier soir d'en faire l'annonce officielle». Michel Urvoy (Ouest-France) ne veut pas trancher: «A cause de la crise, le Président presque candidat gouvernera jusqu'au bout. En raison des sondages, le candidat encore Président devrait faire campagne.»

source 20minutes

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 06:35

fete-musique

Humour: Sarkozy répète ses gammes avant son passage télé de dimanche soir

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 05:59

 

Le gouvernement va réviser en février à la baisse sa prévision de croissance de l'économie française pour l'année 2012, fixée à 1 % dans le budget voté par le Parlement, a confirmé dimanche soir une source gouvernementale, sans toutefois chiffrer cette réduction.

 

Cette révision sera incluse dans un projet de loi de finances rectificative et "ira vraisemblablement dans le sens d'une réduction, ce qui veut dire que nous présenterons également des mesures d'économies pour compenser budgétairement", a ajouté cette source interrogée à l'issue de la prestation télévisée de Nicolas Sarkozy.

source le point

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30 janvier 2012 1 30 /01 /janvier /2012 04:55

 

La posture du président "Courage" a sa limite.

  •  

Nicolas Sarkozy a levé dimanche les derniers doutes qui pesaient sur sa candidature (c) Reuters

 
Nicolas Sarkozy a levé dimanche les derniers doutes qui pesaient sur sa candidature Mots-clés : Sarkozy, TVA, sociale, présidentielle, 2012, politique

Nouveau Sarkozy ? Voire.

 

 Certes il est rare de voir un président sortant prendre le risque de diviser les Français. Mais la stratégie du président-rassembleur n’ayant pas convaincu, pas plus que celle du président-protecteur, Nicolas-le-candidat use toujours des mêmes recettes pour faire campagne : jeter des idées sur la table pour susciter le débat et cliver au maximum.

 

 C’est le sens des deux principales mesures qu’il annoncées dimanche soir -augmentation de la TVA et fin des 35 heures- qui ne devraient pas être du goût des syndicats mais plutôt des chefs d’entreprise, cible principale de son intervention.

 

Durcir, tenter d’obliger la gauche à venir sur son terrain pour cesser d’être en position de commenter le programme de François Hollande, quitte à proposer des mesures impopulaires. Mais, dos au mur, Sarkozy, qui bat des records d’impopularité, n’a pas d’autre choix.

 

C’est quitte ou double. On se doute qu’il ne s’arrêtera pas là et que dans les semaines qui viennent, il lancera, dans le domaine sociétal, de nouvelles idées destinées à créer la polémique et raviver un vrai combat droite-gauche.

 

 Le problème est que toutes ces propositions se heurteront à la même question : pourquoi ne les a-t-il pas mises en œuvre plus tôt ? Comme la TVA sociale présentée comme essentielle mais dont il repousse l’application au mois d’octobre pour des raisons d'"ordinateur" ! C’est là la limite de la posture du président "Courage".

source le nouvelobs

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 16:55

 Jean-Marie Le Pen, président d'honneur du Front national, a déclaré ce dimanche sur France 3 «qu'il n'y aura plus d'UMP après les élections» présidentielle et législatives.

Pour Jean-Marie Le Pen, l'UMP ne survivra pas aux élections présidentielle et législative
Pour Jean-Marie Le Pen, l'UMP ne survivra pas aux élections présidentielle et législative

Invité sur France 3 ce dimanche, et alors qu'on l'interrogeait sur de possibles alliances entre le Front national et l'UMP en vue des prochaines échéances électorales, Jean-Marie Le Pen s'est contenté de répondre : « Je pense qu'il n'y aura plus d'UMP après les élections ».

Et d'ajouter : « Si le candidat de l'UMP -quel qu'il soit- comme je le pense est battu (à la présidentielle, NDLR), il est évident que l'UMP explosera et que les députés UMP connaîtront une sévère défaite aux élections législatives ».

Cliquez ici !
"Je n'attends rien"

Concernant la situation du président de la République à quelques heures de son intervention télévisée, Jean-Marie Le Pen a précisé : « je n'en attends rien ».

 

 Et l'ancien candidat de 2002 de critiquer : « Le président de la République utilise, use et abuse des moyens qui lui sont donnés, il est un président candidat, demi-candidat presque candidat, il joue sur les deux tableaux, il monopolise les écrans, il a l'habitude, il fait ça tous les jours ».

 

 Pour le père de Marine Le Pen, Nicolas Sarkozy « croit qu'en paraissant à la télévision il va gagner quelques points dans les sondages. C'est ça qui l'intéresse le plus ».

source france soir 

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 10:30
Morandini Zap: Le conseiller de Sarkozy, Henri Guaino perd son sang froid en direct !

Après la prestation de François Hollande dans "Des paroles et des actes" sur France 2, ITélé a proposé aux téléspectateurs un débat avec Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Joseph Macé-Scaron et Yves Thréard.

Mais au cours du débat, le ton est vite monté entre Henri Guaino et l'éditorialiste Joseph Macé-Scaron alors qu'ils évoquaient le discours de François Hollande au Bourget. 

"C'était un discours partisan dans lequel il y avait deux camps : le camp du bien et le camp du mal", indique Henri Guaino.

"Mais vous n'avez jamais fait ça ?, lui lance Joseph Macé-Scaron. Pendant cinq ans, vous avez passé votre temps, vous et vos amis politiques, à stigmatiser une partie des Français contre les autres. Par exemple, sur le débat indigne sur l'identité nationale !". 

Le présentateur Olivier Galzi essaye de calmer les deux intervenants tant bien que mal.

"Je n'accepte pas ce genre de langage pardon. Vous caricaturez le débat, vous transformez le débat politique en guerre civile, Vous êtes le bien ? lance alors Henri Guaino. Vous voulez me donner des leçons de morale ? Vous êtes qui pour me dire ça ? Vous avez fait quoi dans votre vie ? Ce n'est pas indigne ! C'est vous qui êtes indigne ! Indigne de votre métier, indigne de ce débat, indigne du débat démocratique... C'est une attitude inadmissible ! Je ne viens pas sur un plateau pour me faire insulter par quelqu'un qui n'a aucun titre pour porter des jugements moraux. Ce débat était démocratique, républicain. Oui, il y a eu des débordements. Ce qui est indigne de la démocratie, c'est d'insulter ceux qui ont travaillé avec Nicolas Sarkozy. Je n'accepte pas ce genre d'insulte". 

 

Regardez


http://www.jeanmarcmorandini.com/article-257366-morandini-zap-le-conseiller-de-sarkozy-henri-guaino-perd-son-sang-froid-en-direct.htm Après la prestation de François Hollande dans "Des paroles et des actes" sur France 2, ITélé a proposé aux téléspectateurs un débat avec Henri Guaino, le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Joseph Macé-Scaron et Yves Thréard. Mais au cours du débat, le ton est vite monté entre Henri Guaino et l'éditorialiste Joseph Macé-Scaron alors qu'ils évoquaient le discours de François Hollande au Bourget.
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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 10:19
Découvrez les secrets de l'interview de Nicolas Sarkozy qui va se dérouler ce soir

Nos confrères du site de TV Mag publie ce matin un article très intéressant qui révèle tous les détails de l'interview de ce soir.

Et la forme sera plutôt originale, car l'interview sera déroulera en deux temps:

"Claire Chazal devrait ouvrir le bal des questions qui seront posées au président de la République.

 

Officiellement, Laurent Delahousse, dont c'est la première rencontre télévisée avec le chef de l'État, lui laissera la parole par courtoisie. En fait, la présentatrice du 20 heures de TF1 devra cette préséance au fait que c'est sa chaîne qui est, par le jeu de l'alternance avec la Deux, l'opérateur de l'émission. 

 

La réalisation sera aussi sobre que possible : Nicolas Sarkozy fera face aux journalistes, deux caméras braquées sur lui, deux autres sur les journalistes.

Il ne devrait pas y avoir de zoom sur les intervieweurs, mais un simple contrechamp sur leurs questions, et les plans rapprochés des visages sont naturellement exclus de ce dispositif. (...)

À la fin de cette première partie, Claire Chazal et Laurent Delahousse devraient laisser leurs fauteuils à Jean-Marc Sylvestre, pour I>télé, et François Lenglet, pour BFMTV

 

Une baisse d'audience est attendue à ce moment-là.

À la fin de l'émission, Claire Chazal reviendra dans la pièce donnant sur le jardin de l'Élysée où se déroulera cette interview et conclura le débat.

source morandiniblog

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 10:14

Aprés avoir lu l'article ci-dessous, je conclus que merkel ferait mieux de s'occuper de son pays. Je me demande qui gouverne actuellement en France !!!

 

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Nicolas Sarkozy n'ose pas le dire, alors c'est Angela Merkel qui le fait : le chef de l'Etat sera candidat à l'élection présidentielle.

 

Pareil à Docteur Jekyll et mister Hyde, le président de la République est actuellement habité par deux personnalités. D'un côté le Président, jusqu'au 6 mai prochain, de l'autre le candidat, qu'on voit de plus en plus souvent. Pourtant, le chef de l'Etat ne s'est pas déclaré. Un communiqué de la CDU annonçant la présence d'Angela Merkel aux meetings électoraux de Nicolas Sarkozy laisse entendre qu'il sera bien candidat. 

 

Comment le CSA va-t-il s'y prendre pour décompter son temps de parole dimanche soir ? En tant que président ou en tant que candidat ? Le Lab vous donne les éléments pour s'y retrouver dans ce casse-tête.

Merkel participera à des meetings avec Sarkozy

 

Alors que tout le monde s'interroge sur la date du départ en campagne du président de la République, pour la dirigeante allemande elle ne semble plus faire aucun doute.

 

Hermann Grohe, secrétaire général du parti annonce cette présence samedi lors d'un discours dans le cadre du conseil national de l'UMP à Paris. "Angela Merkel va soutenir Nicolas Sarkozy lors de rendez-vous de campagne au printemps", a-t-il prévu de dire à la Porte de Versailles devant l'assemblée du parti présidentiel. 

source  lelab.europe1

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 09:00

 

 

Palais de Chaillot, Paris XVIe, Mercredi. A la suite de ses mannequins, Zahia a clôt son défilé en présentant elle-même sa dernière pièce de lingerie. ( (LP/Matthieu de Martignac.) )

 

 

Pour la présentation de sa première collection de lingerie, mercredi soir, Zahia avait opté pour un carton d’invitation rose bonbon et enrubanné comme un paquet. Un choix plutôt osé pour celle qui fut le « cadeau d’anniversaire de Franck Ribéry ».

 

Sans doute peut-on aussi y voir une preuve de lucidité chez ce brin de femme d’à peine 20 ans, qui doit sa soudaine et fulgurante notoriété à ses relations tarifées avec des footballeurs de l’équipe de , de surcroît alors qu’elle était mineure.

Aujourd’hui, on ne l’appelle plus Z. ni Zahia, mais Zahia Dehar. Et si elle assume cette « étape » de sa vie, elle assure aussi être passée à autre chose. Son actuel train de vie ne manque pourtant pas d’alimenter les rumeurs de supposés « bienfaiteurs » venus de l’étranger. « C’est un conte de fées très original », estime Patrick Hourcade, un ancien du magazine « Vogue », aujourd’hui scénographe, avec qui la jeune femme a entièrement relooké son 300 m2 du XVIe arrondissement. L’itinéraire de Zahia a pourtant démarré dans un milieu modeste, loin des paillettes, à Ghriss en Algérie, où elle voit le jour en 1992.

 

Son père est chauffeur-livreur, sa mère, Yamina, femme au foyer. Quand le couple bat de l’aile, la maman emmène en Zahia et son frère cadet. Yamina est serveuse dans un bar- de Joinville-le-Pont (Val-de-Marne), c’est là qu’elle croise celui qui va devenir son nouveau compagnon, Gilbert, qui l’installe dans son pavillon de Saint-Maur-des-Fossés, le long du RER A.

Une ex-camarade de collège : «Ils la regardaient tous avec convoitise. Elle était magnifique»

Zahia a 10 ans et maîtrise mal le français. A son entrée au collège, elle a déjà deux ans de retard. En conseil de classe, les profs notent un « travail insuffisant », mais de la « bonne volonté ». Ils remarquent aussi des compétences artistiques. Les garçons du collège Camille-Pissarro en imaginent déjà d’autres… « Zahia était déjà plus grande, avec des formes de femme, ils la regardaient tous avec convoitise. Elle était magnétique », confie une ex-camarade.

 

 Une autre élève assure que Zahia était souvent invitée dans le quartier chic de la Varenne et même conviée lors de week-ends au ski ou sur la Côte d’Azur. La Lolita décroche en 3e, s’inscrit à une formation privée d’esthéticienne et commence à sortir dans les boîtes parisiennes. Une amie call-girl raconte que la bimbo en herbe était pourtant très assidue en classe, et qu’elle rêvait d’ouvrir son salon de beauté.

En avril 2010, Zahia sort de façon fracassante de l’anonymat avec « l’affaire » Ribéry. La belle fascine. Son décolleté affolant, sa taille de guêpe, sa chevelure blonde peroxydée et ses yeux ourlés de noir lui donnent des airs de Brigitte Bardot. Sans oublier une cambrure à se damner. En bonne femme d’affaires, elle rebondit, négocie interviews et clichés — dont le prestigieux « Vanity Fair » italien — et s’adjoint les services d’un puissant cabinet d’avocats, qui s’empresse de déposer une demi-douzaine de marques à son nom. Parallèlement, elle se fait ouvrir les portes du monde de la mode.

 

 En mars 2011, Zahia lance son site Internet où elle pose pour les plus grands noms de la photo, comme Pierre et Gilles. Des clichés à découvrir à partir du 7 février à la galerie du Passage, accompagnés de quelques-unes de ses créations — dont un moulage de son corps en chrome intitulé « My Z Body » qui révèle un sens indéniable du marketing.

 

Pierre Passebon, galeriste : «Elle me rappelle les courtisanes du XIXe siècle»

 

« Elle est venue plusieurs fois à la galerie avant de me proposer ce projet, raconte Pierre Passebon. Zahia a un vrai univers — narcissique, onirique — et un instinct. Son corps est une sorte de langage, elle me rappelle les courtisanes du XIXe siècle. » Artiste, Zahia? Ses interviews hésitantes en font douter. Mais Pierre Hourcade assure qu’elle est bien l’auteur de sa collection de lingerie : « Quand je lui ai demandé, étonné, si elle dessinait, Zahia a sorti une pile de cahiers. Elle a un style graphique singulier pour une autodidacte. Elle ne revient jamais sur un trait. » Dernièrement, Zahia a découvert Rodin, obtenu une visite privée du musée d’Orsay.

 

 Son intérêt ne se limite pas à l’art. Elle se serait, ainsi, irritée de l’arrivée au pouvoir des islamistes en Tunisie. « Elle est curieuse de tout et très maligne », reprend Pierre Hourcade. Assez en tout cas pour avoir fait de Karl Lagerfeld son Pygmalion, qui voit en elle rien de moins qu’une nouvelle Coco Chanel. A la brindille de prouver maintenant qu’elle ne sera pas qu’un feu de paille

source le parisien.




http://www.leparisien.fr/laparisienne/mode/portrait-zahia-dehar-vraiment-culottee-29-01-2012-1834858.php

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 07:08

 

1,5 points sépareraient la candidate du FN et le chef de l'état dans les intentions de vote au premier tour, selon un sondage Ifop/Fiducial pour Paris Match 

Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy. (JEAN-CHRISTOPHE VERHAEGEN / LIONEL BONAVENTURE / AFP)

Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy.
 
  Selon un sondage Ifop/Fiducial pour le site de Paris Match publié ce vendredi 27 janvier, l’écart des intentions de vote au premier tour de l'élection présidentielle entre Nicolas Sarkozy et la candidate du FN Marine Le Pen serait de 1,5 points.
 

A la question : "si dimanche prochain devait se dérouler le premier tour de l'élection présidentielle, pour lequel des candidats suivants y aurait-il le plus de chances que vous votiez ?", 28% des sondés ont répondu François Hollande (+1 point), 22% Nicolas Sarkozy (- 1 point), 20,5% Marine Le Pen (+0,5 points) et 13,5% François Bayrou.

 

Derrière, Jean-Luc Melenchon recueille 8% des intentions de vote, Eva Joly 3%, Dominique de Villepin 1,5% et Herve Morin 1%.

 

Par ailleurs, en cas de duel François Hollande/Nicolas Sarkozy au second tour de l'élection, le candidat socialiste est crédité de 57% des intentions de vote (+ 1 point) contre 43% pour le chef de l'Etat (- 1 point).

source le nouvelobs

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