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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 09:24


Marie-Françoise s'est résolue à se séparer de l'auguste glace : le visage d'Arthur s'y reflétait jadis…

 Arthur Rimbaud s'est certainement attardé devant cette glace, alors posée sur la cheminée de la salle à manger de l'appartement familial. Aujourd'hui, elle est à vendre. ON peut rêver. Ou même imaginer la trame d'un récit fantastique, où les fantômes viendraient quelquefois saluer les vivants.

C'est ainsi que la silhouette d'un adolescent nommé Arthur Rimbaud pourrait de temps à autre se refléter dans cette glace.
« Elle était installée sur la grande cheminée de la salle à manger, au premier étage de l'immeuble aujourd'hui devenu la Maison des Ailleurs » confirme Marie-Françoise Rigaux.

C'est son arrière-arrière-grand-père Jules Baudson qui fit construire l'immeuble, au 5 bis quai de la Madeleine (futur quai du Moulin puis quai Rimbaud), immeuble qui resta dans la famille jusqu'à la fin du XXe siècle. En 1969, les premiers locataires furent une certaine Mme Rimbaud et ses enfants. Ils y restèrent six ans.

Six ans décisifs dans la vie du poète : il y a écrit ses premiers vers, il s'y forgea son âme de révolté, il s'en échappa, aussi, lors de ses premières fugues…
Marie-Françoise Rigaux habita ce même appartement, au premier étage, avant le rachat par la ville.

Quand elle quitta les lieux, elle emporta une multitude de souvenirs. Et quelques meubles. Dont cette imposante glace de cheminée, d'époque.
« Tout indique qu'elle fut installée dès la construction de l'immeuble, et que la famille Rimbaud défila devant elle. La mère et ses filles pour vérifier leur coiffure et leur toilette. Arthur aussi, sans doute..»

De quoi réfléchir…
Moins peut-être pour s'assurer du bon ordonnancement de ses effets que pour dire des poèmes ou esquisser des grimaces ?
« Je me suis résolue à vendre cette glace, mais il serait dommage que son futur propriétaire ne connaisse par l'histoire qui s'y rattache » explique Marie-Françoise.

Des spécialistes ont confirmé que le style de la glace, de belle dimension (1,65 m sur 1,15), joliment biseautée, était effectivement typique de la seconde moitié du XIXe siècle.
« Je ne doute pas que parmi les amateurs de belles antiquités, il y a aussi quelques Rimbaldiens » sourit Marie-Françoise. Qui se souvient avoir accueilli moult visiteurs émerveillés lorsqu'elle vivait encore dans le « fameux » appartement. De Léo Ferré à Allen Ginsberg, le poète mythique de « la Beat generation ».

« C'était en 82. Nous l'avons accueilli avec mon mari. Il a passé la nuit dans la chambre d'Arthur, qui donne coté cour. Le lendemain matin, Ginsberg nous raconta avoir eu une frayeur. Il s'était levé au milieu de la nuit pour aller aux toilettes quand il avait vu une silhouette sur l'écran bombé du téléviseur. « L'espace d'un instant, j'ai cru qu'il s'agissait de Rimbaud » nous a-t-il raconté au petit-déjeuner. Mais en fait, notre ami américain n'avait été troublé que par son propre reflet… »

Une anecdote que l'on pourrait adapter. Qui sait si, parfois, c'est la silhouette de notre poète qui revient se dessiner sur l'auguste miroir ?
Toujours est-il que Marie-Françoise sera à même de vous narrer d'autres petits secrets liés à Arthur et à l'immeuble devenu la Maison des Ailleurs.

Pour l'anecdote, la salle à manger où trônait la glace est désormais consacrée à Bruxelles, fameuse étape des pérégrinations rimbaldiennes.
Mais c'est juré : toute cette affaire n'a rien d'une histoire belge.source"l'ardennais"
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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 08:30
je viens de lire l'article ci-dessous dans "lenouvel observateur" . Ce que Hortefeux oublie de préciser,c'est si ces gens là repartent les poches pleines.Si c'est le cas combien ça coûte aux contribuables francais.Ce qui ne les empéchera pas de revenir vivre aux frais de la princesse.


L'objectif des 25.000 reconduites aux frontières sera atteint, affirme le ministre de l'Immigration Brice Hortefeux, qui précise que les retours volontaires connaissent une "évolution spectaculaire".

Brice Hortefeux (AP)

 

Le ministre de l'Immigration et de l'identité nationale, Brice Hortefeux a justifié, dimanche 12 octobre, sa politique de reconduite aux frontières, en précisant que les retours volontaires devraient atteindre "37 à 38%" d'ici la fin 2008, contre 7% en 2006.

 Invité de la chaîne BFM-TV, Brice Hortefeux a affirmé qu'"il y a deux ans, il y avait 93% de reconduites contraintes et 7% de reconduites volontaires, l'évolution est spectaculaire puisque aujourd'hui, j'espère qu'on terminera l'année autour de 37 à 38% de reconduites volontaires"

  "Un gros tiers de reconduites volontaires par rapport à 7%, ça veut dire que le message que j'essaie de développer passe", a-t-il poursuivi.

"Message clair"

"Les objectifs qui ont été fixés seront atteints, les objectifs c'était 25.000 reconduites", a ajouté le ministre de l'Immigration. Selon lui, "sans chiffres, personne n'y croit, les chiffres, ça permet de donner un message qui est clair, quand on vient sur le territoire français, il faut y être autorisé".
 
Concernant le pacte européen sur l'immigration et l'asile qui doit être formellement adopté lors du sommet des 15-16 octobre à Bruxelles, Brice Hortefeux en a rappelé ses objectifs : "organiser la migration légale car le défi de l'accueil des étudiants est un sujet important, il faut être plus clair dans l'accueil des professionnels, ceux qui viennent travailler et il faut aussi une désorganisation de l'immigration illégale, lutter contrer les filières".

Le deuxième point est "l'engagement de chacun des pays de ne pas procéder à les régularisations massives de travailleurs sans-papiers, car dans un espace de libre circulation, cela créé un appel d'air" et le troisième est qu'il "faut développer les partenariats avec les pays d'origine", a t-il précisé. source:"le nouvel observateur"
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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 05:04
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INFO FIGARO - Les gendarmes n'ont pas retrouvé les poches de 100 litres que la mère du garçonnet a achetées le 10 septembre dernier, veille de la disparition.

Que sont devenus les sacs poubelle de 100 litres qu'Alexandrine Brugerolle de Fraissinette a achetés au Monoprix d'Issoire (Puy-de-Dôme), 24 heures seulement avant de signaler la disparition de son fils Antoine?

 La question taraude les gendarmes de la cellule «Disparition 63» depuis qu'ils ont mis au jour cette curieuse transaction, confirmée lundi au Figaro par une source proche du dossier, en épluchant les relevés bancaires de la jeune femme.

 Le 24 septembre dernier, c'est cet «élément matériel important» qui a décidé les magistrats à ordonner son placement en garde à vue. Lors des perquisitions menées à son domicile durant les jours précédents, en effet, les enquêteurs n'avaient trouvé aucune trace de ces poches plastique de grande taille. «Or, la maman d'Antoine s'est révélée incapable de nous fournir une réponse convaincante», relève aujourd'hui une source judiciaire, selon qui «toutes les pistes continuent d'être explorées» dans cette affaire.

 Contacté lundi, le procureur de Clermont-Ferrand s'est, pour sa part, refusé à tout commentaire. L'achat suspect, qui a retenu l'attention des gendarmes dès les tout premiers jours de l'enquête, porte sur un stock de sacs poubelle ainsi que sur un paquet de gants de ménagère Mapa et sur une bouteille de déboucheur liquide Destop achetés avec la carte bleue d'Alexandrine Brugerolle le 10 septembre dernier.

 «Je m'étais procurée ce matériel parce que je voulais faire du rangement et donner les vêtements devenus trop petits pour Antoine après avoir fait un tri», a-t-elle confié lundi après-midi, contactée par l'intermédiaire de son avocate, Me Anne-Laure Lebert. Interrogée en garde à vue sur la «disparition» de ces sacs de grande contenance, la mère d'Antoine avait simplement expliqué les avoir rapportés au magasin le jour même.

 «Lorsque je me suis aperçue que je m'étais trompée de taille, je suis aussitôt retournée à Monoprix pour les échanger contre des sacs de 30 litres que les gendarmes ont retrouvés chez moi», affirme-t-elle. Par la suite, les enquêteurs ont tenté de faire confirmer cette explication par le supermarché d'Issoire - en vain. «Leurs caisses enregistreuses n'ont conservé aucune trace de cet échange, s'étonne une source proche de l'enquête, si bien que le mystère lié à ces sacs perdure.»

 Indépendamment de cette zone d'ombre, la vingtaine d'enquêteurs détachés sur l'affaire s'efforcent de démêler les diverses incohérences qui émaillent encore la chronologie des faits. «Nous sommes notamment surpris du très court laps de temps qui s'est écoulé entre le moment où Alexandrine dit être rentrée du restaurant le 11 au soir, vers 21h15, et le moment où elle a alerté la gendarmerie à 21h17 très précises, indique le procureur, Jean-Yves Coquillat. Pour une mère qui avait l'habitude de voir son fils jouer dehors tard le soir, cela paraît très rapide.»

 Enfin, les gendarmes ont été étonnés d'apprendre que l'enfant, à en croire sa mère, a choisi un imposant un sac de sport long de 1,10 mètres qui appartient à son nouveau beau-père pour abriter les quelques affaires qu'il est supposé avoir emporté dans sa fugue.

 Balayant les soupçons formulés à son encontre, Alexandrine Brugerolle de Fraissinette est libre depuis la levée de sa garde à vue, le 25 septembre, et martèle: «le procureur ne cherche pas un enfant mais un cadavre» .source:"le figaro"
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 15:49
La Java bleue
    Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les têtes
Qui fait chavirer les cœurs
Tandis qu'on glisse à petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
Tout bas l'on dit dans un frisson
En écoutant jouer l'accordéon.

{Refrain:}
C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Et que l'on danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

Chérie sous mon étreinte
Je veux te serrer plus fort
Pour mieux garder l'empreinte
Et la chaleur de ton corps
Que de promesses, que de serments
On se fait dans la folie d'un moment
Mais ses serments remplis d'amour
On sait qu'on ne les tiendra pas toujours.

{au Refrain}
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 15:35

Visite en Meuse [Verdun/Douaumont/Vaux]

 

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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 15:09


Michel Jaumotte, ancien directeur régional de la Sanara, nous présente son ouvrage sur le port de Givet.
 
L'histoire du port de Givet commence en 1910. Michel Jaumotte, ex-directeur régional de la Sanara, la fait revivre dans un ouvrage. Rencontre.
LES éditions Terres ardennaises viennent de publier « Le port de Givet, son histoire ».

 Un livre de près de 500 pages jalonné de documents et photos que l'on doit à Michel Jaumotte. Directeur régional de la Sanara - Compagnie générale de navigation et de transports -, en retraite depuis 1994, il a effectué toute sa carrière professionnelle dans ce groupe.

Pourquoi un livre sur le port de Givet ?
Michel Jaumotte : « N'étant ni écrivain, ni historien, j'ai écrit ce livre sans prétention, bénévolement, avec une seule motivation et un seul objectif : retracer pour la postérité ce que fut le groupe Sanara et, plus localement, le port de Givet.

J'ai voulu relater les origines et l'histoire du port et l'aménagement de la Meuse pour raviver la mémoire des anciens qui y ont travaillé ou faire découvrir, notamment aux jeunes, l'histoire du site portuaire, la vraie. »
Quelles les grandes lignes de votre carrière sur ce site portuaire ?

« Je suis entré à la Sanara en 1955. J'ai évolué progressivement dans la hiérarchie pour arriver comme directeur régional, succédant alors à André Bertrand, qui a été conseiller général, maire de Givet. Des années glorieuses, des années difficiles… j'en ai connues.
La fin de ma carrière a été bouleversante… la retraite et la fin de la Sanara. Je suis parti le cœur serré. »

Vous parlez d'année glorieuse. Laquelle ?
« 1964. A cette époque, Givet était le premier port fluvial en France. Cette année-là, le port de Givet comptait plus de 120 salariés. Près d'1,800 million de tonnes avait transité par le port (charbon, produits métallurgiques, engrais…). Et les années les plus difficiles… ?

« 1991 - 1994. Cependant, les résultats étaient bons pour les activités de transit. J'avais des perspectives de reconversion qui tenaient la route… Il en a été autrement. La fermeture de la ligne ferroviaire aux wagons isolés a fait échouer tous mes projets de reconversion du site portuaire qui étaient en phase de faisabilité, notamment une plate-forme multimodale avec terminal conteneurs. Il y a eu, contre toute attente, la liquidation judiciaire du groupe Sanara dans son ensemble… en 1994. »

Dans vos propos, on sent une certaine amertume. Avez-vous le sentiment de ne pas avoir été compris ?

« J'étais compris… mais pas aidé. »

Le port de Givet, la Sanara, c'était aussi un grand parc de voitures. Combien de voitures transitaient par le port ?
« D'une année à l'autre, c'était de l'ordre de 40.000 à 60.000 voitures par an. On a eu des Opel, Honda, Saab, Volvo… Toutes ces voitures étaient acheminées par le rail, par camion. Des voitures à perte de vue… Impressionnant. »

Dans le chapitre de votre livre « Grandeur et décadence du groupe Sanara », vous évoquez notamment la fin du charbon, la fin des voitures… C'était à quelle période ?

« Les derniers tonnages de charbon ont été réexpédiés sur le bassin de Longwy en 1979.
Les dernières voitures ont quitté le port en 1992. »
Recueillis par
Jean-Pierre Charrieau

« Le port de Givet, son histoire » de Michel Jaumotte paru aux éditions Terres ardennaises. 40 euros. Disponible dans toutes les librairies, au centre européen des métiers d'art à Givet, chez l'auteur en téléphonant au 03.24.41.68.50, ou Editions Terres Ardennaises, 6, rue des Sources à Charleville-Mézières, tél. 03.24.33.81.17.
source: "l'ardennais"
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 14:54

Deborah : « je veux faire comme tout le monde ».

 Deborah, 22 ans, a passé la moitié de sa vie en fauteuil roulant. Elle a un emploi, passe son permis et cherche un logement, pour vivre sa vie « comme tout le monde .

 LORSQU'ON s'adresse à l'accueil, à la sous-préfecture d'Epernay, on aperçoit d'abord le joli minois souriant d'une jeune fille de 22 ans, Deborah Legrand. En formulant notre demande de renseignement au guichet, notre regard rencontre dans un deuxième temps le discret fauteuil roulant sur lequel elle est assise.

 « Bien souvent, sa vue calme momentanément les plaignants les plus revendicatifs ». Agent administratif deuxième classe, reçue 4e au concours, Deborah a pris ses fonctions à la sous-préfecture en mai. « C'est mon premier emploi », lance-t-elle fièrement.

 Stagiaire pour un an, son travail consiste à recevoir les usagers, les orienter vers le guichet approprié et répondre au standard des appels téléphoniques.
 
Tétraplégique à l'âge de 12 ans
« C'est très difficile de trouver du travail lorsqu'on a un handicap », dit-elle. « J'ai beaucoup de chance ». Plus habituée à son fauteuil électrique, facile à manier, la jeune fille y a renoncé. « Il est trop imposant. Ici, je me sers d'un fauteuil manuel ».

 Elle avoue que c'est un peu plus fatiguant, mais ses collègues lui donnent volontiers un coup de main. Notamment lorsqu'il s'agit de porter une pile de formulaires. Tous les jours, même si elle habite tout près, le Mobilibus de la communauté de communes Epernay pays de Champagne vient la chercher et la ramène chez elle. « Avec mon fauteuil manuel, ce serait épuisant avec les trottoirs et les obstacles ».
 
Deborah a été victime d'une rupture d'anévrisme à l'âge de 12 ans. Elle s'est retrouvée tétraplégique du jour au lendemain. « Ma famille m'a beaucoup soutenue », reconnaît-elle.
 
« Aller de l'avant »
 
S'enchaînent les hôpitaux, les centres, entrecoupant une scolarité suivie au collège Cote-Legris et au lycée Léon-Bourgeois en seconde. Deborah décroche un BEP secrétariat dans une école adaptée à Nancy, puis un bac secrétariat. « C'était plus facile à Nancy, car les séances de kiné, les devoirs, tout était sur place ».
 
Cette battante veut avant tout s'intégrer, dans la ville où elle est née. « Je veux faire comme tout le monde, m'insérer complètement dans la société. Même si les obstacles sont importants »
.
Son but était d'avoir le bac. Puis un emploi. Elle a réussi. « Je veux toujours me battre pour arriver à quelque chose ».
« 5.000 € d'équipements »
« En général, les personnes handicapées travaillent à mi-temps, mais j'ai préféré le plein temps, pour le salaire » confie-t-elle. Elle vit chez sa maman, ouvrière, et étudie le code pour passer son permis de conduire.

 « Pour la pratique,, je suis obligée d'acquérir une voiture toute équipée, soit 5.000 € d'équipements en plus de la voiture, et de la laisser à l'auto-école le temps des cours ».

 A celle-ci d'y installer un double-pédalage.
« Grâce à ma voiture, je n'aurai besoin de personne et je pourrai pratiquer des sports ». Deborah aimerait s'initier au tir à l'arc, à la sarbacane. L'étape suivante sera de trouver un logement adapté à son handicap.
Fabienne Nouira-Huet   source:"l'ardennais"
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 14:43


ALERTE ACTU : 11 h 15

Nicolas Sarkozy recevra mardi à 11 heures à l'Elysée les dirigeants des principales banques et assurances françaises pour faire le point de leur situation, au lendemain de l'annonce des mesures françaises pour faire face à la crise financière mondiale.
Le chef de l'Etat a donc reporté son déplacement prévu mardi dans les Ardennes sur le thème de l'emploi.
Il devait se rendre mardi à Rethel pour un déplacement axé sur «la mobilisation pour l'emploi».
Le chef de l'Etat sera accompagné de ses ministres Christine Lagarde (Economie) et Laurent Wauquiez (Emploi).

***
Sarkozy à Rethel : le PC crie à la provocation

« La situation de notre département est toujours aussi préoccupante alors que la dernière visite en décembre 2006 de Nicolas Sarkozy, candidat à l'élection présidentielle, avait été marquée par une série de promesses électorales », dit le secrétaire fédéral du PC Sylvain Dalla Rosa dans un communiqué qui crie « à la provocation ».

« Peu de réalisations ont vu le jour, à l'exception de la création de l'Agence nationale des titres sécurisés, dont les contribuables ardennais, par le biais du conseil général, paient la réalisation. Avec toujours 3 points de taux de chômage au-dessus de la moyenne nationale, avec les salaires parmi les plus faibles de l'Hexagone, avec un dispositif CTP (contrat de transition professionnelle) qui peine à jouer son rôle et un aménagement territorial toujours en panne, Nicolas Sarkozy n'aura tenu aucune promesse : il prend les Ardennais pour des gogos. »

L'élu communiste critique aussi la fusion Assedic-ANPE (que le Président de la République vient inaugurer à Rethel) qui « va réduire les droits des demandeurs d'emploi et rabougrir le service public ». Au lieu d'entendre de « nouvelles promesses », Sylvain Dalla Rosa préférerait qu'on lui parle du « bilan, chiffres en main, de la mission Arcelor censée réindustrialiser les Ardennes ».source:"l'ardennais"
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 14:22
Petites scènes de la vie conjugale
 
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Caroline Sihol et Michel Leeb forment un duo d'une grande justesse.
Caroline Sihol et Michel Leeb forment un duo d'une grande justesse. Dans « Parle-moi d'amour ! », à la Comédie des Champs-Élysées, Michel Leeb et Caroline Sihol se disputent avec bonheur. Divertissant.
 
Ne pas se fier au titre : Parle-moi d'amour !, première pièce de Philippe Claudel, mise en scène par Michel Fagadau. En fait d'amour, il s'agit surtout de rancœurs accumulées, de non-dits, de petites haines rentrées, autant d'obstacles semés sur le chemin de toute vie conjugale.

 C'est l'histoire d'un couple qui pourrait être le vôtre ou celui de votre voisin. Philippe Claudel a choisi de ne pas le nommer, il les appelle seulement « elle » et « lui ». Ce couple, donc, rentre tard après une soirée passée en compagnie de son chef à « lui », l'énarque.

 Une corvée selon « elle », qui ne travaille pas, mais s'est beaucoup occupée de leurs deux enfants. La fatigue et peut-être l'alcool aidant, l'atmosphère s'alourdit et l'orage éclate tout à coup dans le salon d'un luxueux appartement parisien. Éclats de voix, mines renfrognées, les reproches tombent comme une pluie interminable

. Les sujets font légion : du mobilier « tendance », que la femme a évidemment choisi, à l'éducation de leur progéniture dont elle s'est occupée seule, en passant par l'hypocondrie de son mari, par ailleurs volage, et les desiderata du patron de ce dernier

. C'est joyeusement bruyant, mais aussi corrosif, tendre et curieusement familier. Dans la salle, on sent la complicité d'un public acquis aux interprètes. A priori inattendus, Michel Leeb et Caroline Sihol forment un duo d'une grande justesse. La gent masculine se reconnaîtra dans le premier et les femmes considéreront la seconde comme une sœur.source:"le figaro"
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 14:07

   C'est à la "pugnacité" de sa soeur Valeria (à droite), qui "tout au long de ces deux derniers mois a fréquemment parlé de ce sujet avec [son] mari", que Carla Bruni-Sarkozy (à gauche) attribue le rôle "d'alerte" joué auprès du Président © ERIC FEFERBERG / DURAND FLORENCE AP / SIPA

Carla Bruni-Sarkozy comme messagère. C'est par la bouche de l'épouse du chef de l'État que l'ancienne brigadiste Marina Petrella a appris qu'elle ne serait pas extradée vers l'Italie . Carla Bruni-Sarkozy et sa soeur, la réalisatrice Valeria Bruni-Tedeschi, se sont rendues à son chevet mercredi vers 16 h 30 pour lui annoncer la nouvelle. "On ne pouvait pas laisser cette femme mourir. La situation était devenue intolérable", a confié la femme du Président à libération.fr qui a révélé l'information. Le rendez-vous entre les trois femmes aurait duré une demi-heure. "À la fin de notre entrevue, je lui ai demandé d'essayer de se réalimenter, au moins d'essayer de recommencer à boire", raconte Carla Bruni-Sarkozy, qui se dit "contente" que la décision soit devenue officielle.

La décision de ne pas extrader Marina Petrella comme le demande l'Italie a été confirmée dimanche par l'Élysée, au nom de l'état de santé très dégradé de l'ancienne dirigeante de la colonne romaine des Brigades rouges, âgée de 54 ans et hospitalisée depuis fin juillet à l'hôpital Sainte-Anne à Paris. Cette dernière a été condamnée à perpétuité en Italie en 1992 pour complicité d'assassinat d'un commissaire, à Rome, en 1981. Réfugiée en France depuis 1993, Marina Petrella a été arrêtée en août 2007 et remise en liberté sous contrôle judiciaire un an plus tard.

La "pugnacité" de Valeria Bruni-Tedeschi

Elisa Novelli, la fille de Marina Petrella, a également reçu samedi un appel de la première dame de France. "J'étais chez moi quand je reçois cet appel. Madame Bruni-Sarkozy se présente et me dit que la clause militaire venait d'être appliquée au sujet de ma mère (...). Évidemment j'étais plus que surprise et émue. J'ai été extrêmement touchée par son implication", a-t-elle expliqué sur RTL . "On a apprécié l'engagement humain de Valeria Bruni-Tedeschi et de sa soeur Carla Bruni-Sarkozy", a réagi de son côté Oreste Scalzone, membre du comité de soutien à Marina Petrella, à l'annonce de cette rencontre.

C'est grâce à la "pugnacité" de Valeria Bruni-Tedeschi, qui "tout au long de ces deux derniers mois a fréquemment parlé de ce sujet avec mon mari", que ce rôle "d'alerte" joué auprès du Président a été possible, a insisté Carla Bruni-Sarkozy à libération.fr. Un engagement confirmé par la comédienne, qui a précisé sa démarche lundi matin sur Europe 1. Elle a souligné tout d'abord être allée voir Marina Petrella en prison pour pouvoir fournir "un témoignage personnel et très direct", puis elle a expliqué son point de vue à sa soeur qui "a donné son avis à son mari". "Je pensais juste que c'était une chose terrible qu'elle meure", a martelé la comédienne.

 Valeria Bruni-Tedeschi a ajouté en avoir parlé directement aussi avec le président Nicolas Sarkozy, qui, selon elle, "a absolument écouté. Ensuite il a rencontré, je pense à plusieurs reprises, les médecins, l'avocate, il a étudié le dossier", a-t-elle poursuivi.

Ce n'est pas la première fois que Carla Bruni-Sarkozy intercède auprès du Président. Au printemps dernier, la première dame de France a porte l'ultime coup de grâce à la candidature de Georges-Marc Benamou à la direction de la Villa Médicis, à Rome . Amie proche de nombreux anti-Benamou au sein du show-bizz, Carla Bruni-Sarkozy avait achevé de convaincre le Président à mettre aux oubliettes la candidature de son ancien conseiller à la culture et à la communication. source: "le point"
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