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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 09:07

Sculpteur à cire perdue un métier à découvrir
Régis Lhuiller maîtrise une technique exigeante pour sculpter le métal, mais envisage sa pratique comme un outil d'expression.

 PEINTRES, décorateurs, tapissiers, céramistes, ébénistes… Une vingtaine d'artisans d'art participent cette année aux Journées des métiers d'art qui débutent aujourd'hui et se terminent dimanche.

L'occasion de pénétrer dans les ateliers, de découvrir un savoir-faire hors pair ou des techniques ancestrales. Savez-vous par exemple ce qu'est la sculpture sur métal ou bronze à cire perdue, pratiquée depuis des millénaires ?

Nous avons poussé la porte de Régis Lhuillier, à Arnicourt, près de Rethel, pour en savoir plus. Ce chaudronnier-soudeur de formation s'est lancé dans la sculpture à cire perdue en 1998.

Sur les murs de sa maison, une trentaine de sculptures de bronze aux patines diverses sont exposées. Penseur invitant à la méditation, silhouettes verticales ou personnages fantastiques prennent forme sous les mains de Régis Lhuillier.

La première étape est de façonner un moule d'argile. « Quand je commence quelque chose, je ne sais pas ce qui va sortir, prévient le sculpteur, d'ailleurs je ne sais pas du tout dessiner. »

Une fois la pièce d'argile terminée, commence un long processus. Il crée un moule dans une matière type silicone. Puis, le moule creux sera rempli de cire.

Régis Lhuiller devra ensuite souder des canalisations sur le moule en cire, sorte de canaux que suivra le métal fondu pour alimenter uniformément la pièce. Enfin, un moule de la pièce et de ses canalisations est réalisé en plâtre réfractaire, et porté de 0 à 750° en une trentaine d'heures
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La cire fond, libérant l'espace nécessaire pour couler le métal en fusion.
Au-delà de la maîtrise de cette technique, certes exigeante, Régis Lhuiller envisage la sculpture comme un outil d'expression.
Pour en savoir plus, poussez la porte de sa maison ce week-end source:"l'ardennais
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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 08:49
Star Ac’: les parents de Mickels devant leur télé
Roberto et Line, fiers et heureux de savoir leur fils engagé dans cette aventure. Depuis que Mickels Rea est à la Star Ac’, la vie de ses parents Roberto et Line
a changé : prime time à Paris chaque vendredi, 2 minutes de téléphone par semaine et la télé comme seul lien. «

JE ne sais pas ce qu’il a à l’œil… On dirait qu’il a la paupière droite un peu gonflée, non ? » Mercredi matin, Line Rea, la maman de Mickels, était inquiète devant son petit écran.

Son staracadémycien de fils avait-il attrapé un mauvais courant d’air ou développait-il un orgelet ? Pas moyen de le savoir, même en suivant le 24 h/24 h de la chaîne Événement de Canalsat. « On s’est abonnés pour la durée de la Star Ac’. Comme ça, on peut le regarder à n’importe quel moment de la journée… et de la nuit ! Car ils sont même filmés quand ils dorment ! »
 
Papa Roberto et maman Line ne se tracassent pas plus qu’il ne faut pour Mickels car ils le connaissent bien et savent qu’il est solide. Mais en le suivant d‘aussi près par poste de télé interposé, ils se sont bien rendu compte « que c’est très fatigant ».
 
Le numéro de téléphone de la maison de ses parents rue Jacquemart-Templeux figure parmi les cinq que Mickels a l‘autorisation d’appeler mais, à raison d’une minute par jour, Roberto et Line ne parlent à Mickels pas plus d’une ou deux minutes par semaine depuis le début.
 
« En général, il nous téléphone le dimanche soir ou parfois le mercredi soir », explique sa mère.
Les premiers jours, Line a senti « qu’il n’était pas bien », mais il n’en a rien dit. « Maintenant, je pense que ça va mieux. Il a pris ses marques. On s’en rend compte sur la chaîne événement parce qu’ils sont naturels. Je suis sûre que souvent ils oublient qu’ils sont filmés ! »
 
« Ils se couchent
trop tard ! »
Ses parents ne sont pas étonnés de voir Mickels jouer très souvent de la guitare ou du piano pour s’accompagner ou accompagner les autres. « De toute façon, c’est d’abord un musicien. Il a besoin de jouer. Ça lui fait plaisir. Je pense même que ça le rend heureux ».
 
Au début de la semaine, Line a « surpris » Mickels en train de chanter une de ses propres chansons. « Je pense que s’il a un problème sur une éval’, il demandera à pouvoir interpréter une de ses propres compos ».
Depuis le 19 septembre, les Rea n’ont pas manqué un prime dans le grand studio de la Plaine Saint-Denis mais « on ne peut pas se parler ! Nous sommes placés dans le carré des familles et ce n’est pas tout près du banc où ils s’assoient lorsqu’ils regardent les autres chanter. On se comprend en lisant sur les lèvres ! »
 
Finalement, ce qui chagrine le plus Line, c’est le rythme que la Star Ac’impose à ses pensionnaires. « Ils se couchent trop tard ! Mickels nous a dit qu’ils avaient parfois des interviews devant la caméra jusqu’à plus de minuit. Les lumières des chambres ne sont éteintes que très tard dans la nuit… et Mickels ne supporte pas les lunettes occultantes que la prod leur a données ».
 
Mardi et mercredi jusqu’en début d’après-midi, Line s’est demandée si Mickels allait être sélectionné pour chanter avec Johnny Hallyday sur le prime de ce soir.
 
Elle était persuadée que la « récompense » ne serait que pour un seul et pensait que Harold avait aussi ses chances. Finalement, les profs ont décidé qu’il y aurait deux duos avec Johnny, dont un Mickels-Quentin sur Gabrielle. Un bon signe car Quentin est celui qui s’est classé en tête du Top Five d’Armande Altaï cette semaine.
 
Patrick Flaschgo
Ce soir sur TF1, 5e prime time de la Star Ac avec Johnny Hallyday, Julien Doré, Kat de Luna, Sofia Essaïdi, Lorie, Chris Brown, Laurent Wolf et Bharati.   source:"l'ardennais"
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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 08:24
Islande : de l'opulence
à la faillite en une semaine
.

La tempête financière a tout soufflé dans cette petite île qui est passée du statut d'État parmi les plus riches du monde à celui de pays au bord de la banqueroute.

Il continue de s'habiller en banquier. Costume sombre, chemise blanche et fines lunettes cerclées d'or. Mais la carte de visite qu'il tend est «la dernière» qui lui reste. Et quand il consulte son Blackberry, c'est désormais sur les photos de son petit-fils qu'il tombe. Kristjan Davidsson, 47 ans, directeur international du secteur de la pêche à la banque Glitnir, a été licencié jeudi. «Ou plutôt, on m'a annoncé qu'on n'avait plus besoin de moi, précise-t-il. Que je devais rendre ma voiture de fonction, mon ordinateur portable et mon Blackberry ce samedi.

 C'est tout. Je ne sais même pas si j'aurais droit à des indemnités.» Dans cette petite île pourtant habituée aux éléments déchaînés, la tempête financière a tout soufflé : en une semaine, l'Islande est passée du statut d'État parmi les plus riches du monde à celui de pays au bord de la faillite. Arrivée en tête, l'an dernier, du classement par l'ONU des «pays où l'on vit le mieux», l'île de 313 000 habitants vient d'être mise aux enchères sur eBay, pour 99 pence ! Le secteur financier, qui représentait près de dix fois le PIB, est désormais exsangue, coupé des capitaux étrangers. La couronne islandaise a perdu, en un mois, plus de 40 % de sa valeur. Les Islandais ne peuvent plus acheter de devises étrangères, si ce n'est sur présentation d'un billet d'avion, et à concurrence de 300 € par personne. «Si j'ai obtenu un billet de 500 €, s'amuse Kristjan, invité la semaine prochaine pour une conférence en Norvège, c'est tout simplement parce que la banque n'avait plus d'autres coupures…».

 Comme les deux autres grandes banques islandaises, ruinées en l'espace de quelques jours, Glitnir vient d'être nationalisée. Les économistes s'attendent à plus de 1 500 suppressions d'emplois sur les 8 700 du secteur. Pourtant, Kristjan garde le sourire : «Moi, j'ai de la chance : j'ai un psychiatre - ma femme - à la maison ! s'exclame-t-il. Mes enfants sont grands, et mon prêt ne représente que 30 % de la valeur de ma maison. Je n'ai perdu que mes économies, placées en actions de Glitnir !»
Les petits épargnants ont perdu toutes leurs économies Mais pour d'autres, c'est la catastrophe. Ces cinq dernières années, le revenu des ménages avait augmenté de 45 % en moyenne. Leur endettement avait doublé, tandis que tous se faisaient construire de magnifiques maisons et s'équipaient de luxueux véhicules tout terrain, entièrement financés par des emprunts en yens ou en francs suisses. Avec la dévaluation de la couronne, certains foyers ont vu doubler le montant de leurs échéances… tandis que la valeur de leurs biens s'effondrait.

 Quelque 85 000 petits épargnants ont perdu toutes leurs économies. Quant à l'inflation, elle a bondi de 14 % en septembre. Une cellule de soutien psychologique vient d'être ouverte à Reykjavik, comme lors de la dernière éruption volcanique…

 À première vue, cependant, rien n'a changé dans la capitale. Des 4 × 4 dernier cri encombrent toujours les petites rues du centre-ville. Les magasins sont pleins. «Je n'ai pas encore subi de baisse de fréquentation, affirme Erna Kaaber, patronne d'un Fish & chips bio. Mais j'ai fait un important stock de riz, car je sais que les prix vont fortement augmenter lors de la prochaine livraison.

 Quant aux salades, importées des États-Unis, je vais devoir arrêter : on ne va bientôt plus pouvoir se les offrir…» À la crise, il y a des conséquences plus dramatiques. Une journaliste parle de «suicides», mais confie-t-elle, «on nous a demandé de ne pas en parler, pour ne pas donner d'idées à d'autres désespérés…». Et des «dommages collatéraux» stupéfiants, comme cette tournée de l'Orchestre symphonique d'Islande, annulée il y a quelques jours par les Japonais, apeurés par la «réputation» de ce pays !

 Aucun membre de l'Union européenne ni aucun des alliés traditionnels de Reykjavik n'est venu à la rescousse. Pis : dans le but de protéger les dépôts de milliers d'épargnants britanniques, Londres n'a pas hésité à utiliser la législation antiterroriste pour geler les avoirs des banques islandaises au Royaume-Uni ! Du coup, un rapprochement avec l'UE, évoqué au début de la crise, n'est absolument plus d'actualité. «Dans une telle situation, on doit se chercher de nouveaux amis», a lâché, visiblement amer, le premier ministre, Geir Haarde.

 Et la semaine dernière, à la stupeur générale, on apprenait que Reykjavik était en train de négocier l'octroi d'un prêt de 4 milliards d'euros par Moscou ! «Je crois que la fuite a été organisée pour faire réagir nos alliés de l'Otan, explique Karl Blondäl, rédacteur en chef adjoint du grand quotidien Morgunbladid.Mais, à part une vague proposition norvégienne, il ne s'est rien passé… Même si je ne pense pas qu'il y aura des conditions formelles liées à ce prêt, il nous sera désormais difficile de protester contre l'entraînement des avions de chasse russes, qui survolent notre île tous les mois…»

 Directeur de l'Institut de recherches économiques islandais, Gunnar Haraldsson, lui, espère toujours une intervention du FMI. «Heureusement, les bases de notre économie sont saines, affirme-t-il. Les industries de l'aluminium et de la pêche sont fortes. Mais cette crise va avoir des effets négatifs sur d'autres secteurs, comme le commerce. En tout cas, nombre d'Islandais vont devoir changer de vie.» Ce sera le cas de Kristjan Davidsson. «J'ai commencé à travailler à 16 ans, comme pêcheur, sur le bateau de mon père, raconte-t-il. C'était mon rêve de devenir marin. Je ne sais pas pourquoi je me suis laissé embarquer, en 2001, dans la banque…

 Avec mes 47 ans et mon arthrite, je ne pense pas pouvoir reprendre ce métier très dur, mais ce qui est certain, c'est que je vais revenir dans le secteur de la pêche.» Comme lui, ils sont nombreux à placer leur espoir dans la mer. Le secteur de la pêche n'est, pour l'instant, guère touché par la crise, et représente environ 60 % des exportations de marchandises. Si l'Islande «peut rebondir», comme l'assure le président, Olafur Ragnar Grimsson, ce sera notamment grâce à la mer.

 Dans ce pays rude, l'un des plus pauvres du monde jusque dans les années 1970, il reste, selon lui, «un énorme potentiel pour la production d'énergie renouvelable, d'importantes ressources halieutiques et les beautés naturelles» du paysage, qui attirent de nombreux touristes. «Mes parents, restés au village de Thingeyri, niché au creux d'un fjord au nord-ouest du pays, n'ont entendu parler de la crise qu'à la télévision, explique Kristjan. Là-bas, on n'a jamais obtenu de prêt, on vit encore du poisson.»

 Pour Halldor Halldorsson, président de l'Association des communes d'Islande, ce sont justement les municipalités rurales, qui ont souffert pendant la période d'expansion, qui pourraient jouer un rôle clé dans la reconstruction de la société. «Ce week-end, je vais aller voir mon ami d'enfance, qui élève des moutons à Thingeyri, raconte Kristjan. D'habitude, je lui apporte des fruits et des légumes, car je sais qu'il ne peut guère s'en offrir. Mais là, je sais qu'il me fera un bon prix pour sa viande.» 

  «L'important, c'est que tout le monde se serre les coudes» Le retour de la solidarité au sein de cette grande famille - si l'on remonte à la sixième génération, tous les Islandais sont apparentés -, la fin du consumérisme, de la course effrénée à l'argent, voilà qui n'est pas une si mauvaise chose, admettent de nombreux Islandais. «Nous voilà devant une chance de créer une société plus saine !», lance Karl Blondäl. «Et puis, tout n'est pas si noir, tempère Gudny Einarsdottir, DRH dans une entreprise de biotechnologie. Il y a encore des sociétés qui embauchent !

 Le plus important, c'est que tout le monde se serre les coudes. La semaine dernière, je n'ai jamais reçu autant d'invitations chez mes amis.» Même constat pour le père Jakob Rolland, chancelier du diocèse de Reykjavik, qui a organisé plusieurs veillées de prières et dîners gratuits pour les paroissiens : «On constate déjà un retour aux vraies valeurs, la famille, la solidarité, l'éducation, assure le prêtre. Maintenant les jeunes, qui ont souvent été trop gâtés, vont retrouver les joies simples, le plaisir d'être ensemble. Et leurs grands-parents, qui en ont vu d'autres, leur apprendront à accommoder les restes de poisson.»  source:"le figaro"
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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 08:09
Ferragamo Frédéric Vasseur/Madame Figaro

La terrasse dy restaurant est la nouvelle “place to be” florentine.

Ferragamo_benedetta 

Madame Figaro
Ferragamo le goût du style
Plus qu’une griffe, Ferragamo, c’est tout un art de vivre. La preuve avec le Borgo San Jacopo, son restaurant au bord de l’Arno, à Florence. Au menu : l’essence du chic à l’italienne. En coulisses : Benedetta Cerchiai, la petite-fille du maître.  Boutique, musée, hôtels et même restaurant : à Florence, fief de la famille, les héritiers de Salvatore Ferragamo perpétuent les valeurs de leur célèbre bottier de grand-père. Fer de lance de cet art de vivre glamour, le Borgo San Jacopo, où l’esprit très couture de la maison se glisse jusque dans l’assiette. Si Salvatore avait les stars à ses pieds, d’Audrey Hepburn à Sophia Loren, le restaurant florentin attire toute la « bella gente » de Florence. Les codes de la marque : Benedetta Cerchiai, la petite-fille de Salvatore, responsable concept et image des Lungarno Hotel et du restaurant. C’est en s’inspirant de l’allure mode Ferragamo qu’elle a défini un lifestyle où l’on retrouve les codes de la marque. « Que ce soit pour un vêtement, une chambre ou un plat, tout doit tomber juste sans ostentation. Notre devise : Ne pas crier, ne pas murmurer. L’élégance Ferragamo est comme un chant avec le plaisir de chanter juste, pour nous et pour les autres. » Elle a fait de cette adresse gourmande un vrai petit temple de la mode. Aux murs, croquis et photos de mode vintage appartenant à sa mère, ou bouteilles d’huile d’olive exposées comme des parfums.
Tradition et modernité. Tout est pensé avec amour du détail. Un credo cent pour cent florentin. « Nous vivons dans le respect de l’histoire de l’art. Il y a une harmonie des formes, des proportions dans cette ville à taille humaine. Tout cela influence sans cesse la maison Ferragamo. Et quand il y a équilibre, il y a harmonie. C’est une des valeurs transmises par mon grand-père. » À la table du Borgo San Jacopo, l’équilibre repose sur une double carte tradition et modernité, imaginée par « la » chef Beatrice Segoni. Des grands classiques italiens et quelques créations personnelles comme son fameux brodetto, que le Florence trendy se presse de venir goûter. source:"le figaro"
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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 07:56
Disparition des sœurs : l'entourage du père mis en examen

Le père et l'oncle des deux fillettes disparues le 6 octobre et réapparues le 16, ont été mis en examen vendredi 17 octobre. Des membres de leur entourage devraient être placés sous contrôle judiciaire et mis en examen également. Le père et l'oncle des deux fillettes ont été mis en examen vendredi 17 octobre, apprend-t-on du parquet de Reims, pour "soustraction de mineurs" et laissés libres sous contrôle judiciaire.

 Deux amis du père des enfants devraient également être placés en examen vendredi soir. Ils sont soupçonnés d'avoir hébergé les fillettes, selon la procureure de la république de Reims, Madeleine Simoncello.

 Les quatre hommes avaient été entendus lors de leur garde à vue jeudi dans l'après-midi. "Ils ont bien reconnu avoir organisé la fuite et la disparition des deux soeurs, avec deux amis qui ont pris le relais pour les héberger pendant les dix jours". La procureure n'a pas requis de placement en détention provisoire
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Réapparues jeudi 16 octobre, Valérie 13 ans et Sophie 11 ans avaient disparu de leur collège de Reims le 6 octobre dernier.

 L'événement semble être survenu après une décision de justice prévoyant le retour des fillettes au foyer de leur mère, en Italie. Depuis plusieurs mois, leur père de 36 ans les avait soustraites à la garde de leur mère de 37 ans qui vit dans la région calabraise en Italie.  source:"le nouvel observateur"

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18 octobre 2008 6 18 /10 /octobre /2008 04:49
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Crédits photo : AFP

Ces trois membres de la Caisse d'Epargne auraient essayé de se défaire de leurs positions avant la dégringolade des marchés, mais sans y parvenir. Ils laissent derrière eux une ardoise de 600 millions d'euros.

Le groupe Caisse d'Epargne a annoncé vendredi matin avoir enregistré une perte de trading de 600 millions d'euros liée à un «important incident de marché» dans l'activité dérivés actions.

 D'après une source proche de l'Ecureuil, cette perte serait due à l'activité de trois traders qui ont parié sur un «rebond de la Bourse» juste avant qu'elle ne chute brutalement le 6 octobre, et qui ne sont pas arrivés à se «refaire». «Ils ont essayé de déboucler (de se défaire de) leur position» mais n'y sont pas parvenus car «personne en face» n'était prêt à leur racheter leurs actions, poursuit ce contact cité par l'AFP. C'est finalement deux jours plus tard, le 8 octobre, qu'ils ont pu se détacher de leurs positions, laissant à l'Ecureuil une ardoise de 600 millions d'euros.

 Mais la «délivrance» est arrivée trop tard, car la Bourse de Paris a enregistré entre le lundi 6 et le vendredi 10 octobre la pire baisse hebdomadaire de son histoire. Selon cette source, cette «erreur humaine collective» serait due à une équipe de gens qui était «probablement inadaptée à un contexte de crise».

 La banque a pris des sanctions à l'égard des trois traders et du responsable de la banque de marché. Les traders à l'origine de cette affaire ont été «mis à pied» en attendant des mesures disciplinaires précises» La CNCE, société anonyme à directoire et conseil de surveillance, détenue entièrement par les Caisses d'Epargne, a perdu cette somme en sa qualité de gestionnaire des participations du groupe.

 Cette caisse existe depuis 1999. C'est un établissement de crédit susceptible de procéder à n'importe quelle opération de banque. Dans un communiqué publié vendredi matin, le Groupe Caisse d'Epargne expliquait que «l'extrême volatilité des marchés et du krach boursier de la semaine du 6 octobre» avait provoqué un «incident de marché» : «une perte de l'ordre de 600 millions d'euros».

 Ces pertes colossales ont été découvertes grâce aux «procédures habituelles de contrôle» Indignation des politiques Dans la soirée, la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, s'est déclarée «vraiment en colère» suite à cette affaire. «Je vais vous dire la vérité, j'étais vraiment en colère parce que (...) tout le gouvernement actuellement est mobilisé pour prendre des mesures fortes, des mesures lourdes pour essayer de faire tourner l'économie (...), et j'apprends que trois traders à la Caisse d'Epargne perdent 600 millions d'euros.

 Alors je suis en colère, c'est vrai», a déclaré la ministre sur France 2. Lagarde avait déjà fait part plus tôt dans la journée de son indignation. «Nous sommes en train de mettre en place une déclinaison puissante du plan convenu au sein de l'Eurogroupe, et la constatation de cette perte n'arrive pas au meilleur moment» avait-t-elle précisé, demandant à la Commission bancaire, l'autorité de tutelle des banques, de «diligenter une mission de contrôle» à la Caisse d'Epargne.

 De son côté, Nicolas Sarkozy a indiqué que cette crise n'était «pas acceptable» et «les responsables doivent en tirer les conséquences». Lors d'une conférence de presse à l'issue d'un sommet entre l'Union européenne et le Canada, le président de la République a estimé que «dans cette crise chacun devait prendre ses responsabilités quel que soit son niveau et quelles que soient ses responsabilités.»

 La solidité du groupe pas remise en cause

La solidité du groupe ne serait toutefois pas ébranlée, selon l'établissement, puisqu'il s'agissait de gestion des fonds propres de la CNCE, qui détiendrait suffisamment de liquidités (plus de 20 milliards d'euros) pour assurer la pérennité de la Caisse d'Epargne.

 Ces précisions visent à rassurer les clients de la Caisse. Selon elle, la perte n'aura «aucune conséquence sur la clientèle». Si ces pertes sont plus qu'un simple «incident», elles simplifieront peut-être les négociations avec la Banque populaire En effet, les inégalités entre les deux groupes compliquaient leur mariage.

 Mais les pertes des Caisses d'Epargne pourraient tendre à «égaliser» leur poids respectif. Pour sa part, Banque Populaire a indiqué que cette perte ne «remettait pas en cause l'intérêt stratégique du projet de rapprochement» entre les organes centraux des deux établissements .source:"le figaro"
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17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 15:47
: John Greaves chante Verlaine au théâtre


John Greaves, musicien inclassable, éclectique, prolifique et résolument indépendant.

 Pour beaucoup (peut-être davantage pour les amateurs de jazz qui le connaissent déjà), le concert de John Greaves, attendu pour samedi prochain au théâtre, sera l'événement des Ailleurs Poétiques.
 
Le musicien gallois, installé depuis quinze ans à Paris, est une personnalité à part, relativement inclassable, au carrefour de plusieurs univers : celui du rock progressif dans les années 70 (Henry Cow avec Fred Frith, Robert Wyatt, National Health, Mike Oldfield…), celui du jazz un peu plus tard (avec Carla Bley), celui de la musique de films (avec Michael Nyman), celui même de la chanson quand il reprend Brassens avec Marcel Kanche et cette fois… Verlaine !

Une « poignée de diamants »
Greaves a sorti (dist. Harmonia Mundi) il y a à peine six mois un étonnant album dans lequel il met en musique et chante en français, de sa voix de baryton, (et avec un inimitable accent anglais !) une douzaine de poèmes de Verlaine (Chanson pour elle, Colloque sentimental, La lune blanche, Chanson d'automne, etc.)

Le bassiste-chanteur, mais également pianiste, a ressenti une très forte pulsion verlainienne un été, alors qu'il relisait le poète français… en vacances en Ecosse ! Un an plus tard, cette « poignée de diamants » était enregistrée avec des musiciens de la scène jazz très proches de lui, dont la grande majorité sera au théâtre samedi soir : Sophia Domancich (piano), Vincent Courtois (violoncelle), David Lewis (trompette), Jef Morin (guitares), Scott Taylor

 (trombone, tuba, accordéon) et Matthieu Rabaté (batterie, également accompagnateur du chanteur Raphaël).
Avec une telle distribution, il est clair que ce concert exceptionnel est à ne pas manquer, d'autant que les arrangements de John Greaves, sur « son » Verlaine, sont fabuleusement originaux.  source:"l'ardennais"
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17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 15:00
je viens de lire l'article ci-dessous sur le "nouvel observateur". Moi jepense que les responssables doivent payer.je crois qu'il y a assez de boulot en France à aider les pauvres gens,sans aller faire les " pingouins"ailleurs


Le Tchad réclame le paiement des dommages et intérêts

Le Tchad demande à la justice française l'exécution du jugement qui ordonne le paiement des 6,3 millions d'euros de dommages et intérêts aux familles des 103 enfants que l'association a tenté d'emmener en France.

De gauche à droite: Alain Péligat, Philippe Van Winkelberg, Emilie Lelouch et Eric Breteau, quatre des six membres de l'ONG de l'Arche de Zoé (Reuters)

 

De gauche à droite: Alain Péligat, Philippe Van Winkelberg, Emilie Lelouch et Eric Breteau, quatre des six membres de l'ONG de l'Arche de Zoé (Reuters)

 

Le Tchad a demandé à la justice française de collecter les 6,3 millions d'euros de dommages et intérêts que les six Français de L'Arche de Zoé ont été condamnés à verser aux familles des 103 enfants qu'ils tentaient d'emmener, a déclaré vendredi 17 octobre à l'AFP son ministre de la Communication.
Dans une lettre adressée le 7 octobre à la ministre française de la Justice Rachida Dati, N'Djamena demande l'exécution du jugement, donc le versement des 4,12 milliards de FCFA (6,3 millions d'euros) de dommages et intérêts, a affirmé Mahamat Hissène, également porte-parole du gouvernement, en montrant le document.

Responsabilité française

"Nous estimons qu'en obtenant le transfèrement des Français (condamnés) du Tchad en France, la France assumait aussi la charge des dommages et intérêts", a expliqué le ministre.
Arrêtés en octobre 2007 à Abéché (est du Tchad) et jugés dans la capitale N'Djamena, les six Français de l'association L'Arche de Zoé avaient été condamnés le 26 décembre 2007 par la Cour criminelle de N'Djamena à verser "solidairement" 4,12 milliards de FCFA aux familles des 103 enfants que l'association avait tenté d'exfiltrer vers la France.
Les six membres de l'association avait été également condamnés à huit ans de prison puis graciés par le président tchadien Idriss Deby Itno avant d'être transférés en France    source:"le nouvel observateur"
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17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 09:43

Claudine Ledoux : « Heureusement, mes enfants m’aident quelquefois en m’apportant des commissions ». En cette journée mondiale du refus de la misère, Claudine témoigne : « Quand j’ai réglé toutes les charges, il me reste 130 euros par mois. Il m’arrive de ne plus pouvoir m’acheter de pain

».LE 17 octobre n’est plus une journée comme les autres : depuis 1987 à travers le monde, elle est dédiée au « refus de la misère ». Depuis qu’un prêtre, le père Joseph Wresinski, fondateur du mouvement ATD (aide à toute détresse) Quart monde, a inauguré une dalle symbolique sur la place du Trocadéro à Paris.
 
À Reims, ATD va marquer le coup par une cérémonie, qui aura pour point de départ la mairie (voir par ailleurs).

Assurance obsèques
Parmi les protégés de cette association, Claudine, 54 ans, reconnue handicapée, souffrant d’obésité et de diabète, veuve. Elle n’a jamais travaillé. « Non, j’ai élevé mes enfants. Je suis restée au collège Trois-Fontaines jusqu’à 16 ans et j’ai commencé à avoir des enfants dès 17 ans. »
Claudine vit aujourd’hui de l’allocation adulte handicapé et de la pension de réversion de son mari. 550€ par mois. De cette somme, il faut déduire toutes les charges quasi incompressibles : loyer, téléphone, mutuelle, électricité, gaz, « plus une assurance obsèques car je ne veux pas que mes enfants aient à payer pour mon enterrement.
 
Au bout du compte, il me reste 130€ par mois ».
 
Claudine vit à ce régime depuis trois ans. « Il m’arrive parfois de ne plus avoir assez pour acheter du pain, confie-t-elle au bord des larmes. Heureusement, mes quatre enfants habitent Reims et ils m’aident de temps en temps en m’apportant des commissions.

 Je vais aussi parfois chercher une aide alimentaire au Secours populaire. J’y vais parce que je suis obligée, mais c’est embêtant de devoir quémander… » de vacances, pas de loisirs. » Ou presque : car elle retrouve le sourire en songeant aux sorties organisées par ATD Quart monde. « Au début du mois de juillet, nous sommes allés faire une croisière sur la Marne à Épernay, et nous avons visité un parc animalier. Mais on n’a pas eu de chance, il n’a pas fait beau… » Aujourd’hui, elle préfère en rire.
 
Mon rêve : un nouveau frigo !
Dans son malheur, Claudine a d’ailleurs la chance de ne pas souffrir de la solitude : en dehors de ses enfants qu’elle voit régulièrement, et des réunions régulières à l’université populaire d’ATD, les voisins aussi passent volontiers dans son appartement du quartier Chanoine-Lallement, « pour boire le café », qui est un peu son péché mignon : « Je m’en achète beaucoup ! »

 D’autres occasions de « sortir » et de voir du monde lui sont offertes par le mouvement Sappel (chrétiens en quart-monde) : « Un dimanche par mois, nous allons chez les clarisses, et nous avons des sorties en groupe ».
Certes, elle ne voit pas vraiment l’avenir en rose : « Quand on fait les commissions, on voit les prix qui grimpent ! Je ne peux jamais m’acheter quelque chose d’extraordinaire ».
 
Son premier achat si elle avait un peu de sous ? « Un nouveau frigo ! Celui que j’ai est trop vieux et trop petit, il fuit, il est bon à changer… »
 
Ils sont ainsi des dizaines dans les fichiers d’ATD Quart monde Reims, à vivre des situations comparables. « Nous avons même des cas où les gens se retrouvent avec la même somme, 130€ pour un mois, indique l’une des permanentes Françoise Ferrand, mais avec plusieurs enfants à nourrir ! »  source:"l'ardennais"
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17 octobre 2008 5 17 /10 /octobre /2008 09:33

Neige Scariot, l'une des deux danseuses de Al Golpe est d'origine ardennaise.

 Les Ardennes n'accueillent que très rarement des spectacles de flamenco.
Raison de plus pour ne pas laisser passer la soirée de vendredi à Manureva avec la compagnie Al Golpe

 Deux danseuses, une chanteuse, un guitariste pour un spectacle de flamenco traditionnel intitulé Vivencias, ce qui signifie « les choses vécues et transmises oralement, connues à travers les sens et hiérarchisées par la mémoire… donc, pratiquement le contraire d'une démarche cérébrale », comme l'explique Frédéric Deval, le directeur de la collection Flamenco Vivo.
 
Le flamenco de Al Golpe est l'expression des vivencias de celles et ceux qui le jouent et le dansent, de leurs expériences qui laissent une empreinte sur chacun.
 
Une musique forte et déchirée, entre drame et fête, que les ondulations des corps, les battements des mains et les claquements des talons ponctuent avec fierté et style.
 
À l'origine, la compagnie s'est constituée autour de Morgane Teffaine et de Neige Scariot ; le plus étonnant pour nous est que cette dernière est née… dans les Ardennes et qu'elle est d'ailleurs revenue y vivre (elle donne des cours de flamenco à la MJC Gambetta chaque semaine).
 
Vendredi soir, les deux jeunes femmes seront accompagnées de la chanteuse espagnole La Conchi et du guitariste Yves Ricou.

Vivencias, soirée flamenco avec Al Golpe, vendredi 17 octobre à 20 h 30, Espace Manureva. Entrée : 12 euros (10 euros tarif réduit) Réservation des places : tél. 09.65.21.67.97.  source"l'ardennais"
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