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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 13:51
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.La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a demandé aujourd'hui au préfet de Seine-Saint-Denis, où se situe le Stade de France, de signaler officiellement les outrages à l'hymne national au procureur de la République de Bobigny, annonce le ministère dans un communiqué.

"L'enquête pourra s'appuyer sur les images filmées au cours de la rencontre, grâce à des caméras professionnelles implantées (...) depuis le printemps 2008 pour les matchs à risque", précise le ministère. Les interpellations "déboucheront sur des interdictions administratives de stade, comme pour les trois individus appréhendés à l'issue du match pour des infractions diverses".

Suite à des incidents similaires, lors du match amical France-Algérie en novembre 2001, puis lors de la finale de la Coupe de France entre Lorient et Bastia en mai 2002, la loi de sécurité intérieure défendue en 2003 par Nicolas Sarkozy a créé un "délit d'outrage" au drapeau et à l'hymne national, passible de six mois de prison et de 7.500 euros d'amende.
source"le figaro"
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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 09:53

Mireille Mathieu -La Marseillaise: Pour ceux qui ne la connaisse pas encore.Elle ne se siffle pas elle se CHANTE.et si on ne la connait pas on la ferme et on écoute
cliquer Marseillaise sifflée : Sarkozy convoque la Fédération 

 voir article suivant

 

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 09:04
je viens de lire l'article du "Figaro" ci dessous.Je trouve les agissements de ces voyoux scandaleux.Sifler la Marseillaise,c'est insulter la france et les francais qui eux,aiment leur pays,et qui souhaitent se rendre dans les réunions sportives en toutes tranquilité. Il serait peut-être temps que tous ces gens là soit sévérement punis.Et qu'on cesse de leur trouver toujours un tas d'excuses.



Marseillaise sifflée : Sarkozy convoque la Fédération 

. Pour la troisième fois lors d'un match amical contre un pays du Maghreb, l'hymne a été sifflé mardi soir au Stade de France. Le président de la Fédération française de football, Jean-Pierre Escalettes, doit s'expliquer à l'Elysée à 13 heures.

 L'affaire de la Marseillaise sifflée prend de l'ampleur: suite aux «scandaleux incidents survenus hier soir au Stade de France», Nicolas Sarkozy a décidé de convoquer le président de la Fédération français de football (FFF), Jean-Pierre Escalettes.

 La rencontre qui doit avoir lieu à 13 heures à l'Elysée se fera en présence de la ministre des Sports Roselyne Bachelot-Narquin et du secrétaire d'Etat aux Sports Bernard Laporte. Mardi soir, juste avant le coup d'envoi du match amical France-Tunisie, l'interprétation de la Marseillaise a été sifflée par une partie des quelque 60.000 spectateurs présents au Stade de France

. Deux incidents identiques s'étaient déjà produits lors des rencontres amicales France-Algérie, en octobre 2001 et France-Maroc, en novembre dernier. La Fédération française de football (FFF) avait pourtant tenté de prévenir ces manifestations en conviant les deux chanteuses franco-tunisiennes, Lââm et Amina, à chanter respectivement la Marseillaise et l'hymne tunisien.

 François Fillon a jugé que de tels sifflets étaient «insultants pour la France et pour les joueurs». Interrogé mercredi matin sur RTL, le premier ministre a ajouté : «de manière générale, je pense qu'on devrait interrompre les matchs», en évoquant la «responsabilité des organisateurs».

 Ce à quoi le vice-président de la Fédération française de football Noël Le Graet a répondu juste après : «Le sport rassemble et c'est toujours une erreur de ne pas jouer». Roselyne Bachelot et Bernard Laporte, se sont également dits «choqués» par de tels sifflets «notamment au moment de la Marseillaise, symbole de la République française».

 L'UMP comme le PS ont aussi vivement condamné ces comportements. «Il est désolant de voir que des Français aient pu siffler des Français», s'indigne Frédéric Lefebvre, un des porte-parole du parti présidentiel, dans un communiqué. «En sifflant les Bleus, c'est aussi des jeunes Français d'origine tunisienne ou algérienne qui sont sifflés. Quand on est adopté par un pays on respecte son hymne national», poursuit le député.

 «On s'attendait tous à ça» «Les sifflets sont inacceptables», écrit quant à lui Razzy Hammadi, secrétaire national du PS. «En effet, même si la France a eu pendant des années une politique coloniale en Tunisie, même si les Français d'origine tunisienne, et plus largement les Maghrébins ou les Français d'origine maghrébine (...), sont trop souvent victimes de discrimination et de harcèlement policier (...) il n'en demeure pas moins que la République, en dépit de ses promesses non tenues, n'est pas à humilier en sifflant son hymne», écrit l'ancien président du MJS.

 Marie-George Buffet, secrétaire nationale du PCF, a jugé que ces sifflets étaient l'expression de gens en «souffrance» qui «ne se sentent pas bien chez nous».

 Quant à la chanteuse Lââm, elle a avoué avoir «eu un peu les boules» d'avoir été sifflée. «Pour un match amical c'est bête, a regretté la chanteuse. J'étais fière d'être là. Après il y a toujours trois abrutis, enfin là ils étaient un peu plus, pour siffler la Marseillaise...».

 Pour sa part, Raymond Domenech s'est seulement dit «ému» par les hymnes, tout en ajoutant avoir été «un peu sourd» pour «le reste». C'est-à-dire les sifflets qui lui étaient également destinés, ainsi qu'aux joueurs. Le plus conspué a été Hatem Ben Arfa.

 Le milieu de terrain de l'équipe de France, né à Clamart de parents tunisiens, avait en effet opté pour la sélection française malgré les sollicitations de la Fédération tunisienne. Il a toutefois déclaré qu'«il n'en voulait pas» aux spectateurs. «On s'attendait tous à ça, a affirmé le joueur. On l'avait vu contre le Maroc et l'Algérie. (…) C'est un peu dommage mais ce n'est pas grave. (…)Ils ont besoin d'exister, il y avait plus de Tunisiens que de Français, il faut les comprendre.»  source:"le figaro"
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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 05:11


On raconte que c’est dans les cuisines de l’Hôtel de Metz, rue Chanzy, que la recette du fameux pied de cochon à la Sainte-Ménehould apparut.

 Son histoire est célèbre : en 1730, un jeune marmiton un peu tête en l’air aurait oublié sur le fourneau une marmite de pieds durant toute une nuit. L’étourdi se surprit, en goûtant le plat le lendemain, à le trouver plus onctueux et parfumé. En un mot, meilleur qu’avec la méthode traditionnelle !

Les célébrités qui fréquentèrent l’établissement, comme Alexandre Dumas ou Victor Hugo, qui décrivit sa cuisine « comme un monde dont la cheminée est le soleil », assurèrent la réputation de ce mets délicat.

La très insolite Confrérie du pied de cochon, ressuscitée il y a cinq ans, encadre avec force roulements de tambours son élaboration. « Le pied de cochon à la Sainte-Ménehould se doit d’être un pied de devant de bonne taille, aux ongles coupés et aux soies rasées de près.

 Gratté, lavé, il sera emballé dans des bandelettes. » On ne plaisante pas avec l’hygiène !

Sa cuisson, précise la « Charte de la confrérie », « s’effectue dans un court-bouillon aromatisé, comme le veut la tradition. » Précision de taille : « Elle sera aussi longue que la journée de travail d’un honnête homme. » A l’époque des 35 heures, avouez que c’est encore une chance de pouvoir déguster ce plat !   source:"l'ardennais"
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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 04:42
Le budget de l'Elysée fait à nouveau polémique
Nouvelle polémique sur le budget de l'Elysée. Le député socialiste René Dosière a dénoncé mardi la présence de 150 fonctionnaires "clandestins" détachés auprès des services de Nicolas Sarkozy, dont le budget 2009 devrait par ailleurs augmenter de 11,5%, selon lui.

La présidence a contesté ces chiffres, parlant d'une progression limitée à 2%. L'an dernier, René Dosière, qui décortique depuis des années le budget de l'Elysée et avait révélé l'augmentation de 140% du salaire présidentiel après l'élection de Nicolas Sarkozy, avait déjà pointé une hausse de 8,5% des crédits de la présidence. En 2009, le budget élyséen augmentera de 11,5%, selon ses calculs. "C'est la hausse la plus importante depuis au moins cinq ans du budget de la présidence: Nicolas Sarkozy bat largement Jacques Chirac", dit le député de l'Aisne au "Parisien/Aujourd'hui en France" paraissant mercredi.

 "Alors qu'il met toutes les administrations de l'Etat à la diète, Nicolas Sarkozy fait plus avec plus. A l'évidence, le président de la République est plus cigale que fourmi". M. Dosière présentera mercredi son rapport annuel, opportunément intitulé "le président qui ne connaît pas la crise". Dénonçant des prévisions budgétaires "opaques", M. Dosière déplore l'absence de "précision détaillée sur le montant des dépenses, poste par poste".

 "Le président s'apprête à acquérir un Airbus 330-223 pour ses déplacements. Cette acquisition paraît nécessaire. Mais pourquoi un tel secret en particulier autour de son financement?", demande-t-il. "Que Nicolas Sarkozy se déplace est tout à fait légitime. Mais peut-être peut-il le faire avec moins d'avions, moins d'invités, moins de réceptions".

 Le député socialiste s'étonne aussi de la présence de "clandestins" dans les effectifs de l'Elysée. "Entre le nombre de fonctionnaires mis à disposition par les ministères et le chiffre officiel déclaré par l'Elysée, il y a un écart d'environ 150 personnes", constate-t-il en déplorant de n'avoir "aucune réponse sur ce point". Par ailleurs, "la rémunération de 98 collaborateurs va augmenter de 20% après une hausse de 26,8% l'an dernier.

 Qui a vu son salaire augmenter de 50% en deux ans?". Dans un communiqué publié mardi soir, l'Elysée répond que la dotation budgétaire de la présidence s'élève pour 2009 à "112,3 millions d'euros, soit une progression de 2%", et non de 11% car le budget 2009 a intégré deux charges "sous-estimées" par certains ministères: 4,2 millions d'euros de cotisations retraite des gardes républicains et un écart de 5 millions dans les estimations des déplacements par avion de M. Sarkozy, faites sur la base des déplacements de Jacques Chirac en 2006.

 Se disant "exemplaire" en matière budgétaire, l'Elysée observe que par rapport à 2006, "les déplacements ont été multipliés par trois; les réceptions ont été multipliées par deux" et "le volume de courrier reçu (et auquel il faut répondre) a doublé.

 Pour autant, le budget de la Présidence ne progresse pas". "Parler d'une augmentation de 11%, ce n'est pas la vérité", a renchéri sur Europe-1 Christian Frémont, directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy. La présidence explique que toutes les dépenses assumées jusque là par d'autres ministères pour le compte de l'Elysée ont été réintégrées dans son budget après l'élection de Nicolas Sarkozy en 2007.

 Le budget élyséen "a donc été porté, en 2008, de 32,3 millions à 100,8 millions d'euros". "Cette hausse a bien évidemment été compensée par une réduction équivalente de la dotation des ministères contributeurs", selon la présidence, qui ne répond pas sur la présence de "clandestins" dans ses murs.   source:"le nouvel observateur"
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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 04:32
Le président de la République recueille en octobre 40% d'opinions "positives" contre 42% en septembre, tandis que le Premier ministre en totalise 45% contre 43% le mois dernier, selon un sondage.

Nicolas Sarkozy et François Fillon (Reuters)

 


 

La cote de confiance de Nicolas Sarkozy et de François Fillon perd 2 points en octobre.

 Le président de la République est à 40% d'opinions "positives", contre 48% (-4) d'opinions "négatives", tandis que le Premier ministre recueille pour sa part 45% d'opinions positives (-2), contre 40% (-4) d'opinions négatives, selon le "baromètre" politique ViaVoice pour Libération paru lundi 13 octobre.

Le chef de l'Etat obtient 40% d'opinions "très" (11%, +2) ou "assez" (29%, -4) positives, contre 42% lors du dernier baromètre en septembre, et 48% d'opinions "très" (25%, -1) ou "assez" négatives (23%, -3), selon ce sondage. 12% des sondés ne se prononcent pas (+6).                 source:"le nouvel observateur"
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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 04:16
Dans une note, l'assurance chômage prévoit 46.000 chômeurs de plus en 2008 par rapport à 2007 et table sur un creusement de son déficit.

(c) Reuters

 


 

L'assurance chômage annonce des prévisions financières en baisse, mardi 14 octobre, tablant désormais sur une hausse de 46.000 chômeurs en 2008 alors qu'elle attendait une baisse de 80.000 en juin, et sur un déficit cumulé un peu creusé à 5,09 milliards d'euros fin 2008.

Dans une note d'équilibre technique, l'Unedic, qui gère le régime d'assurance chômage, anticipe désormais un excédent courant de 4,495 milliards d'euros à la fin de l'année (contre 4,699 milliards euros prévu en juin), ce qui réduirait son déficit accumulé lors des récentes années de crise à 5,095 milliards d'euros.

Ces nouvelles prévisions comptables tablent sur 43.000 créations nettes d'emplois affiliés à l'assurance chômage en 2008 (contre 119.000 prévu en juin), avec une hypothèse de croissance revue en baisse à 1% (contre 1,7% en juin).

"Des incertitudes liées à la situation économique"

Compte tenu d'une hausse de la population active ralentie à 74.000 personnes sur l'année, le nombre de demandeurs d'emploi de catégorie 1 --qui sert de baromètre officiel du chômage-- progresserait de 46.000 en 2008 par rapport à 2007.

En intégrant les incidences financières de la fusion ANPE-Assedic et dans l'hypothèse d'une croissance de 1% en 2008, 0,9% en 2009, 1,6% en 2010 et 2,1% en 2011, l'Unedic estime que sa situation financière "resterait négative" fin 2009 (-1,1 milliard d'euros), "redeviendrait positive en 2010" et "atteindrait +9,4 milliards" fin 2011.

L'Unedic précise que "compte tenu des incertitudes liées à la situation économique, ces prévisions (à l'horizon 2011) sont susceptibles de révision d'ici fin 2008".source:"le nouvel observateur"
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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 16:47


 Un morceau de bravoure et d'anthologie avec un Gabin plus prodigieux que jamais.

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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 16:35
14-18 : octobre noir à Vouziers<
Parmi sa collection d'un millier de cartes postales anciennes, Paul Mallet a du faire le tri. >Dans le sillage du 90e anniversaire des bombardements de Vouziers, vues aériennes et cartes postales nous plongent dans le passé. Une expo à voir aux Tourelles jusqu'à samedi prochain. OCTOBRE 1918 restera gravé dans l'histoire du chef-lieu.
« Les Allemands étaient en poste à Vouziers et les bombardements français, tirés de Châlons, ont détruit la commune à 80 % », rappelle Paul Mallet, président de l'Amicale philathélique.

Mairie, place royale, rue des Deux Murs, rue de Chervin, rue des Moulins (actuelle rue Désiré-Guelliot)… « Tout le centre et le sud de la ville ont dérouillé », souligne le passionné d'histoire. « La rue de Chanzy a été rasée. Les Tourelles, le tribunal, l'école Dodeman, la rue Taine ont été touchés. »

Pour marquer l'événement, l'Amicale philatélique propose comme tous les 10 ans une exposition mémoire, cartes postales d'époque à l'appui. Parmi sa collection d'un millier de cartes anciennes sur Vouziers, Paul Mallet a dû faire le tri.

« J'ai des cartes d'avant les bombardements et d'après », précise le mordu. « Quarante-cinq cartes postales agrandies pour que les gens puissent lire, seront exposées. »

Résultat, les clichés surannés dévoilent des quartiers dévastés. Au fil des scènes immortalisées, le visiteur pourra juger des dégâts occasionnés ou encore tenter de reconnaître les ruelles d'aujourd'hui derrière la patine du temps.

Nouveauté pour ce 90e anniversaire, des clichés A3 pris du ciel seront aussi exposés. « J'ai notamment récupéré deux vues aériennes prises par l'Escadre 13 le 10 octobre 1918 à 14 h 30 avant bombardement et à 14 h 48, après », commente le président. « Les clichés montrent les impacts sur Vouziers. Ça fumait bien, sur certaines on ne voit plus trop Vouziers. Mais on peut aussi voir l'évolution des constructions. Par exemple à l'époque, autour de l'ancienne briqueterie, c'était vide. »

Visible dès aujourd'hui aux Tourelles, l'exposition se prolonge jusqu'au samedi 18 octobre, en partenariat avec l'Argat (Association Roland Garros de l'aviation au tennis) qui présentera également son œuvre sur l'aviateur enterré à Vouziers. Les deux expositions seront ensuite visibles à la salle des fêtes dimanche 19 octobre, de 8 à 17 heures, lors de la 24e Bourse-expo multi-colllection militari (sans armes) de l'Amicale philatélique.

D'ailleurs, les festivités autour de l'anniversaire de l'Armistice se multiplient. Du 13 au 31 octobre, l'office de tourisme propose l'exposition Wake up America, qui présente 24 affiches témoignant de la mobilisation des États-Unis dans la Grande Guerre. Renseignements au 03.24.71.97.57 source:"l'ardennais
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14 octobre 2008 2 14 /10 /octobre /2008 09:35

Les retraités se rassemblent contre la vie chère



Toutes les organisations syndicales des retraités des Ardennes (CFDT, CGT, FO, FSU, FGRFP, CFTC, CFE/CGC) adressent un appel commun aux retraités du département.
« Il y a urgence, notre pouvoir d'achat diminue. Et ce qui est sûr, c'est qu'on ne peut pas faire des heures supplémentaires pour espérer que ça s'améliore ! » résume, avec ironie, Daniel Breton, responsable des retraités CGT.

Un rassemblement est prévu ce jeudi 16 octobre, à 15 heures, salle Canon, dans le quartier de Manchester à Charleville-Mézières.
Le défilé devrait ensuite se rendre jusqu'en préfecture où une motion sera déposée et où les retraités espèrent être reçus.

Parmi leurs sujets de préoccupation, figure le pouvoir d'achat, fragilisé par l'inflation et la hausse des dépenses de santé due aux déremboursements, aux franchises médicales…

Selon Daniel Breton, les retraités qui font face à de grandes difficultés, sont de plus en plus nombreux.

« Contrairement à ce qu'on pourrait croire, 30 à 40 % des retraités sont locataires », signale-t-il pour illustrer leur vulnérabilité.

« Il ne s'agit pas de pouvoir s'offrir des produits secondaires ou de loisirs, mais bien des produits de base », complète-t-il.
 Les représentants syndicaux réclament une revalorisation du taux des pensions à l'occasion de ce mouvement national et, notamment, une hausse immédiate de 200 euros, la fixation du minimum retraite au niveau du Smic et le retour à l'indexation de l'évolution des pensions sur les salaires.
source:"l'ardennais"
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