20 octobre 2008
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Les pompiers ont été très applaudis au moment de leur défilé.
Des véhicules et des troupes impeccables : les pompiers ardennais ont fait forte impression à Vouziers samedi (et vice versa !).
Ils espèrent recruter des volontaires
.«VOUZIERS fait partie des beaux congrès ». L'hommage du lieutenant-colonel Gilles Grulet, président de l'Union départementale des sapeurs-pompiers ardennais et organisateur en chef du congrès annuel, a fait mouche.
Il faut dire que Claude Ancelme, à deux pas, n'hésite pas à renvoyer les compliments : « C'est carré, c'est bien… Ce qui me marque, c'est le soin apporté aux véhicules. Je suis satisfait qu'il y ait autant de population. »
Le passé fouillé
On comprend le maire : un samedi avec un tel spectacle sur la place Carnot, on en redemande.
Auparavant, les pompiers ont tenu leurs débats internes.
Aux Tourelles, Jacques Lambert, directeur de Terres ardennaises, a su passionner l'assistance sur le thème des pompiers du XIXe siècle. Une recherche des archives est lancée dans les centres pour réaliser un fonds ; les particuliers disposant de pièces anciennes peuvent contacter Jean Derboulles à Charleville-Mézières. Les personnes intéressées par la remise en état de véhicules anciens (dont un de 1949) devront quant à elles contacter Claude Touzelet au Chesne.
Puis les officiels, dont le préfet, le sous-préfet, Patrice Groff représentant le conseil général, Claude Ancelme, le colonel Guibaud, directeur départemental ou encore le colonel Franoz, vice-président de la Fédération nationale des sapeurs-pompiers de France, ont pris la parole pour exprimer leur soutien au Service départemental d'incendie et de secours (SDIS).pompiers
Jean-François Leclet, président du SDIS, a appelé à « tout mettre en œuvre pour le développement du volontariat », l'enjeu majeur du moment (50 % des cadres vont partir ces prochaines années), grâce à une simplification des démarches administratives et une revalorisation financière.
Durant l'après-midi, les 250 pompiers (plus 150 jeunes) ont défilé, avant qu'une manœuvre spectaculaire menée contre la façade de la mairie n'attire toute l'attention d'une foule chaleureuse.
Espérons que certains se sentiront pousser un réflexe volontaire, une fibre de solidarité, et donneront de leur temps pour faire survivre un service essentiel. source"l'ardennais"
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20 octobre 2008
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Les clés d'une reconstruction au sein d'un club ambitieux. Le succès du plan de relance dépendra de la motivation de Laure Manaudou, tout comme de la capacité du staff phocéen à la remettre en selle malgré son inexpérience du très haut niveau.
Moins de deux mois après sa noyade de Pékin, le long break de Laure Manaudou n'est plus d'actualité.
Lundi, avouant qu'elle ressentait le «besoin de recommencer car la natation (lui) manque beaucoup», elle a annoncé sa signature au Cercle des nageurs de Marseille (CNM), ainsi que des objectifs sportifs précis, à savoir les Mondiaux de Rome fin juillet 2009, où elle aura trois titres à défendre. «J'ai envie de refaire des sacrifices, cela va me faire du bien», précise-t-elle. Sur la réelle portée de cette déclaration d'intention, Laure Manaudou, qui fêtera jeudi ses 22 ans, sait qu'elle sera très attendue.
Du Canet à Marseille en passant par Turin, Ambérieu et Mulhouse, les mêmes promesses ont rarement été suivies d'effets ces seize derniers mois. En fait, la question n'est pas de savoir si Laure Manaudou est une nageuse au potentiel exceptionnel. C'est une certitude. La question est de savoir si elle est réellement disposée à tout faire pour renaître.
Un ami footballeur
Désormais attirée par les 200 m dos et crawl, avec quelques perspectives sur la distance inférieure, elle a opté pour une ville et un club où l'attendent ses amies Esther Baron et Anne-Sophie Le Paranthoën, tout comme de nombreux nageurs du groupe France. Mais Marseille, ce sont également bien des tentations à éviter, et une belle distance à couvrir pour rejoindre Bordeaux, où Yoann Gourcuff, son nouvel ami, évolue en Ligue 1.
Pour le staff marseillais, comme pour d'autres avant, il s'agira de se faire écouter et respecter par la nageuse, rarement disposée à écouter les conseils.
Ce gros coup, le CNM va d'ailleurs devoir l'assumer. Sous l'impulsion de Romain Barnier, ancien sprinteur tricolore reconverti directeur sportif, le club phocéen s'est lancé dans un programme ambitieux. Quitte à bousculer les mentalités et la Fédération, à l'image du boycott de la finale du 100 m de l'Open de Paris, en juin dernier, par ses sprinteurs. Romain Barnier et la DTN, faut-il le rappeler, sont en conflit depuis une altercation aux Jeux de Sydney 2000.
Si Laure Manaudou se félicite de trouver une réelle «dynamique de groupe» à Marseille, la French Connection de la natation tricolore va néanmoins devoir faire ses preuves, passer du business plan aux résultats nets. Car si Frédérick Bousquet, Fabien Gilot et Grégory Malet ont pris l'argent à Pékin avec le relais 4 × 100 m, ils n'en sont pas moins passés à côté des Jeux à titre individuel. Dans les coulisses du Cube d'eau olympique, on entendait ainsi ironiser sur «la chute de l'empire Romain»…
D'ailleurs, comment ne pas rappeler qu'Alain Bernard et Denis Auguin avaient quitté le CNM avec fracas pour se replier sur Antibes et se projeter sur Pékin avec succès. Pour Romain Barnier et Emmanuel Poissier, entraîneurs sans grandes références au plus haut niveau, l'heure est à la reconstruction d'une nageuse encombrante. Tant sur le plan sportif que psychologique. Le défi est passionnant. Pour eux, Laure Manandou tiendra de la bénédiction, ou du cadeau empoisonné. source:"le figaro"
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Le nombre de chômeurs dans le monde pourrait passer de 190 millions en 2007 à 210 millions fin 2009, selon des estimations du BIT, qui redoute une "crise sociale qui pourrait s'avérer sévère, longue et globale" et en appelle à une "action rapide et coordonnée des gouvernements"
. Le directeur général du Bureau international du travail (BIT), Juan Somavia, a avertit lundi 20 octobre que la crise financière risque de créer 20 millions de nouveaux chômeurs dans le monde d'ici la fin 2009.
Selon des estimations du BIT, "le nombre de chômeurs (dans le monde, ndlr) pourrait passer de 190 millions en 2007 à 210 millions fin 2009", a déclaré Juan Somavia lors d'une conférence de presse.
Il a ajouté que ces chiffres pourraient s'aggraver en fonction de l'impact de la crise sur l'économie réelle.
"Nous avons besoin d'une action rapide et coordonnée des gouvernements pour prévenir une crise sociale qui pourrait s'avérer sévère, longue et globale", a souligné le directeur général du BIT source:"le nouvel "observateur"
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Le chef
règle n° 1. le chef a raison.
règle n° 2. le chef a toujours raison.
règle n° 3. même si un subalterne a raison, les deux premières règles s'appliquent.
règle n° 4. le chef ne dort pas, il se repose.
règle n° 5. le chef ne mange pas, il se nourrit.
règle n° 6. le chef ne boit pas, il déguste.
règle n° 7. le chef n'est jamais en retard, il a été retenu ailleurs.
règle n° 8. le chef ne prend jamais de liberté avec sa secrétaire, il fait son éducation.
règle n° 9. le chef ne quitte jamais son service, il a une réunion à l'extérieur.
règle n°10. le chef ne lit jamais son journal pendant le service, il s'informe pour protéger l'entreprise et donc les emplois de tous.
règle n°11. le chef fait énormément de sacrifices pour ses subalternes ; ils peuvent donc bien en faire un ou deux pour le chef en retour.
règle n°12. le chef a le droit d'être toujours de mauvaise humeur et d'insulter les subalterne c'est dû à son stress de chef.
règle n°13. on entre dans le bureau du chef avec ses idées personnelles, on en ressort avec les idées du chef.
règle n°14. le chef est toujours le chef, même en slip de bain.
règle n°15. plus on critique le chef, moins on à de primes.
règle n°16. ne jamais oublier que le chef est oblige de penser pour tout le monde.
règle n°17. seul le chef a une vision globale de l'entreprise.
règle n°18. si vous avez un doute conformez vous à la règle numéro 1 !
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20 octobre 2008
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09:46
Tarots, numérologie…, à chacun sa technique nimbée d'une touche de psychologie.
Du monde au forum de la voyance et du bien-être ce week-end. L'ésotérisme a attiré plus d'un millier de visiteurs à travers la région. Tentés par une consultation ? J'ai testé pour vous. >UNE légère brise d'encens, un filet de musique relaxante, la salle des fêtes de Rethel se muait en salon de la voyance et du bien-être, ce week-end.
Entre curiosité, confiance et craintes, plus d'un millier de visiteurs ont déambulé entre stand de librairie ésotérique, bijoux énergétiques, produits évocateurs et guérisseurs
.
« Mais les gens viennent surtout pour la voyance », glisse Thierry Sontag, l'organisateur. « Au-delà de la vision de l'avenir, le voyant est une aide psychologique, un ami, un confident. »
Rideaux d'étoles orientales déployés, une dizaine de devins accueillaient les visiteurs dans leur cabine. Comptez dans les 60 euros pour une consultation intimiste. Ceux qui étaient moins prêts à franchir le pas (la majorité), pouvaient participer aux consultations publiques en direct, dans l'espace conférence
.
On a beau être curieux, la peur du charlatan n'est jamais loin. Sortir 60 euros pour se faire entuber, a de quoi rebuter. « Il y a des escrocs comme dans toutes les professions, mais nous prenons toutes les précautions », commente l'organisateur. « Nous gardons toujours le même logo pour que les gens nous identifient d'un salon sur l'autre. Nous testons les voyants avant de les laisser participer au salon et nous échangeons beaucoup avec les visiteurs pour savoir ce qu'ils en pensent. »
« On espère y croire »
Sans surprise, le public se compose de femmes à plus de 80 %. « Il y a de plus en plus d'hommes, mais ils n'osent pas poser directement des questions d'ordre sentimental », indique une chiromancienne. Dans l'assistance, des personnesâgées mais aussi des mères de familles, et des jeunes adultes. Tel dans un sex-shop, du honteux au fanatique exubérant, tous les profils se mêlent.
« On espère y croire », sourient de concert Fabienne, 45 ans et sa fille Priscilla, 22 ans, de Reims. Les deux femmes ont déjà contacté des émissions de voyance à la radio et souhaiteraient bien que leurs prédictions se vérifient. « Quand on en parle autour de nous on se rend compte qu'il y a peu de gens qui se moquent », précise Fabienne. « Beaucoup y croient, mais sont arrêtés par le prix. Les temps ne sont pas faciles et les gens ont besoin de se rassurer. »
Une peur qui peut virer à l'extrême. « Certains ne feraient plus un pas sans nous », indique Cassiopée. « Je suis obligée de les limiter à une consultation par an. » Gageons que tous les « extralucides » n'affichent pas une telle déontologie.
Au cœur de sa cabine confinée, la cartomancienne me demande date de naissance et prénom avant de me tirer les tarots. J'hésite à lui répondre : « Devinez ! » Moins cartes que cartésienne, j'attends ses révélations. Et le fait est qu'elle dit des choses vraies. Mais tout le monde ne se fait-il pas du souci pour la santé d'un proche ?
Côté prédictions, il faudra attendre pour juger la pertinence. « Votre compagnon vous réserve une surprise l'an prochain », m'annonce Cassiopée. « Votre union sera officialisée. » Je compte bien le rappeler à l'intéressé le moment venu.
Des enfants ? « Ce n'est pas d'actualité pour vous avant 5 ans », continue la tarologue.
Les dernières bonnes nouvelles me donnent envie de la croire. De là à arrêter la pilule ? Peut-être pas. source:l"ardennais"
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20 octobre 2008
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Christine Lagarde et Eric Woerth à l'Elysée la semaine dernière. Alors qu'Eric Woerth ne voit aucune raison de changer de projet de budget pour le moment, Christine Lagarde admet que les hypothèses sur lesquelles il est bâti sont «fragilisées» et évoque une révision au 15 novembre prochain.
Malgré la crise financière et la crise économique qui en découle, le gouvernement présentera lundi après-midi à l'Assemblée un budget 2009 construit sur une hypothèse de croissance inchangée, à 1%.
Un chiffre exagérément optimiste, selon l'immense majorité des économistes. Ce choix stratégique pose donc question, et les ministres ont du mal à accorder leur communication. Dans un entretien aux Echos lundi, le ministre du Budget Eric Woerth ne voit ainsi «pas de raison de changer de budget.
Pour le ministre du Budget, la prévision de croissance n'est pas l'important. «Le plus important pour la construction d'un budget», explique-t-il, «c'est la prévision des recettes fiscales». Or, estime le ministre, cette estimation est «prudente puisque nous tablons sur une hausse de recettes de seulement 1,5% en 2009, soit à un niveau inférieur de l'inflation», que le gouvernement situe à 2% pour l'année prochaine.
Une révision possible mi-novembre
Eric Woerth ne s'engage cependant pas à maintenir ce budget : «Ce que l'on dit clairement, c'est que si la croissance tombe à 0,5% ou à 0,2% et que les recettes sont moins bonnes que prévu, il n'y aura ni hausses d'impôt ni mesures rectificatives sur les dépenses», assure le ministre. Une manière de dire que le chaos de la situation actuelle empêche toute visibilité. Invitée d'Europe 1 lundi matin, Christine Lagarde a pris le contrepied de son collègue.
La ministre de l'Economie l'a admis : les prévisions qui servent de base à la construction du budget sont «fragilisées par la crise financière». Dès lors, il est fort possible que le gouvernement doive revoir à la baisse ses hypothèses, et surtout ses prévisions de croissance. Et Christine Lagarde de poser une échéance : «nous réexaminerons et éventuellement nous procéderons à une révision à la baisse» de ces prévisions de croissance à dès que seront publiés les chiffres de la croissance au troisième trimestre, explique la ministre.
La gauche appelle à supprimer le paquet fiscal Une éventualité qui semble assez probable, à en croire l'opposition. Dans Libération, le président socialiste de la Commission des finances de l'Assemblée, Didider Migaud, estime «qu'il n'est pas contestable que la situation a changé ces dernières semaines» et appelle une nouvelle fois la majorité et le gouvernement à avoir «le courage politique de remettre en cause le paquet fiscal».
Le chef de file des députés de la majorité, Jean-François Copé, a quant à lui estimé qu'il était «tout à fait loisible» d'ajuster le budget «tout au loing de l'année». Pour lui, «ce budget doit être l'occasion de parler d'un certain nombre de leçons qu'on doit tirer de cette crise que nous vivons, pour en sortir». Et le député d'annoncer qu'il allait «faire un certain nombre de propositions» sur «l'après-crise» dans les prochains jours.source"lefigaro"
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Le président, le directeur général et celui en charge des finances et des risques démissionnent.
La Caisse d'Epargne au 126 avenue Simon Bolivar à Paris
Ça bouge, ce dimanche soir, à la tête de la Caisse d'Epargne, après "l'incident" boursier de 600 millions d'euros confirmée par la banque vendredi
Quoi?
Les trois principaux dirigeants de la Caisse d'Epargne, le président Charles Milhaud, le directeur général Nicolas Mérindol et Julien Carmona, en charge des finances et des risques, démissionnent, selon une source proche du dossier.
Qui remplace qui?
Bernard Comolet remplace Charles Milhaud au poste de président.
Charles Milhaud l'a confirmé dimanche soir, précisant qu'il ne demandait "aucune indemnité".
Alain Lemaire remplacerait Nicolas Mérindol au poste directeur général.
Julien Carmona quitterait le directoire, mais pas le groupe.
Pourquoi?
Ces décisions ont été prises ce dimanche à l'issue du conseil de surveillance du groupe.
Nicolas Sarkozy, qui a dénoncé des pertes "pas acceptables", avait explicitement exhorté les dirigeants de la banque à démissionner, vendredi, rappelle Le Figaro.
Ce dimanche, dans les colonnes du JDD, le président du directoire des Caisses d'Epargne Charles Milhaud confiait se "sentir responsable" après les pertes colossales de son établissement bancaire source:"le post"
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20 octobre 2008
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04:33
L'épouse du directeur du FMI, soupçonné d'abus de pouvoir dans sa liaison avec une ancienne employée de l'institution, écrit sur son blog qu'elle et Dominique Strauss-Kahn s'aiment "comme au premier jour" et que cette histoire est derrière eux.
Anne Sinclair, épouse de Dominique Strauss-Kahn visé par une enquête du FMI sur une aventure extra-conjugale, souligne dimanche 19 octobre sur son blog qu'elle et lui s'aiment "comme au premier jour" et que la page de cet épisode "est tournée".
Sereine
La journaliste française, épouse du directeur général du Fonds monétaire international (FMI), fait bloc avec l'ex-ministre socialiste, en relevant qu'ils attendent ensemble l'issue de l'enquête.
Celle-ci porte sur les conditions de départ du FMI d'une subordonnée de DSK, avec lequel il aurait eu une idylle.
"Il y a une enquête interne au FMI. On attend sereinement sa conclusion. Cela devrait être rapide", poursuit Anne Sinclair.
"Il y a le reste, qui relève de notre vie privée, sur laquelle je n'ai pas l'intention de m'exprimer", écrit-elle dans ce blog qu'elle voue d'ordinaire à l'actualité américaine.
"Aventure d'un soir"
"Voici juste, avant que ne se propagent des rumeurs malveillantes, quelques éléments rapides: chacun sait que ce sont des choses qui peuvent arriver dans la vie de tous les couples; pour ma part, cette aventure d'un soir est désormais derrière nous. Nous avons tourné la page", assure celle qui fut une journaliste vedette de TF1.
"Puis-je ajouter pour conclure que nous nous aimons comme au premier jour", écrit-elle encore, assurant qu'elle ne reviendra pas sur ce sujet.
Elle remercie ceux, "nombreux" qui lui ont envoyé des messages "très gentils après l'article du Wall Street Journal" révélant cette affaire.
DSK, 59 ans, et Anne Sinclair, 60 ans, sont mariés depuis novembre 1991, troisième mariage pour lui, et second pour elle.
DSK au travail
Par ailleurs, l'entourage de Dominique Strauss-Kahn à Washington indique dimanche qu'il n'a en rien modifié son rythme de travail au Fonds Monétaire International, en dépit de l'enquête interne déclenchée autour d'un épisode de sa vie privée.
Le directeur général du FMI et ancien ministre "enchaîne les réunions et sa seule préoccupation est d'apporter rapidement une solution pour réguler la crise", précise la même source source:"le nouvel observateur"
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19 octobre 2008
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Les divers canaux de france
Un canal est un cours d'eau artificiel, navigable ou non. Les canaux sont généralement d’eau douce, mais le canal de Corinthe ou le canal de Suez, qui ne quittent pas le niveau de la mer, sont salés. Quand on s'promène au bord de l'eau paroles : julien duvivier musique : marice yvain (1936)
Du lundi jusqu'au sam'di,
Pour gagner des radis,
Quand on a fait sans entrain
Son p'tit truc quotidien,
Subi le propriétaire,
L'percepteur, la boulangère,
Et trimballé sa vie d'chien,
Le dimanch' viv'ment On file à Nogent,
Alors brusquement Tout paraît charmant !
... {Refrain:}
Quand on s'promène au bord de l'eau,
Comm' tout est beau...
Quel renouveau ...
Paris au loin nous semble une prison,
On a le cœur plein de chansons.
L'odeur des fleurs
Nous met tout à l'envers
Et le bonheur
Nous saoule pour pas cher
. Chagrins et peines
De la semaine,
Tout est noyé dans le bleu, dans le vert ...
Un seul dimanche au bord de l'eau,
Aux trémolos
Des p'tits oiseaux,
Suffit pour que tous les jours semblent beaux
Quand on s'promène au bord de l'eau.
J'connais des gens cafardeux
Qui tout l'temps s'font des ch'veux
Et rêv'nt de filer ailleurs
Dans un monde meilleur.
Ils dépens'nt des tas d'oseille
Pour découvrir des merveilles.
Ben moi, ça m'fait mal au cœur ...
Car y a pas besoin
Pour trouver un coin
Où l'on se trouv' bien
, De chercher si loin...
{Refrain}
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Chanson - danses - musiques
19 octobre 2008
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Ces métiers de l'industrie ouverts aux femmes
Adélaïde, Adeline, Amandine, Coralie, Virginie, Wildia, six jeunes femmes étaient à l'honneur lundi à la fonderie PSA.
A l'issue d'un parcours qualifiant d'un an, l'heure était à la célébration de leur réussite, et à la remise de leur Certificat de qualification paritaire de la métallurgie de conductrices d'équipement industriel.
Une opération qui s'est déroulée en partenariat avec la société d'intérim ADIA, l'AFPI pour la formation, l'ANPE et Social Ardennes pour la recherche des candidates.
Huit jeunes femmes ont été détectées. Elles ont, dans un premier temps, débuté une phase d'immersion dans les ateliers de la fonderie ardennaise et à l'AFPI. Six d'entre elles ont décidé de poursuivre par la signature d'un contrat de professionnalisation intérim (CPI) pour une durée d'un an
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Pour Olivier Roffidal, directeur du site, : « Il n'est pas évident de recruter des femmes. Elles représentent actuellement 7,3 % de nos effectifs, alors que nous affirmons que la mixité professionnelle est une source de complémentarité, d'équilibre social et d'efficacité économique.
L'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes constitue, avec l'égalité des chances, la prévention des discriminations et le développement de la diversité, un axe fort de la politique sociale du groupe PSA Peugeot Citroën ».
Il rappelait par ailleurs que, par ses différentes actions menées contre la discrimination et l'égalité, le groupe français avait été la première entreprise labellisée égalité professionnelle, par le ministère de la Cohésion sociale et de la parité.
Soulignant qu'à peine 20 % de femmes sont employées en production dans les entreprises industrielles, Lionel Vuibert, secrétaire général de l'UIMM Ardennes, se réjouit de cette démarche et se dit prêt à « encourager toutes les initiatives qui permettraient aux femmes de s'intégrer durablement dans nos entreprises ».
Et de conclure : « Tous les métiers de l'industrie sont ouverts aux femmes. Encore faut-il que les intéressées en soient persuadées ».source:l'ardennais
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