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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 15:17
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Un peu de détente
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 15:13
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Le phare
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 15:07
 Un beau matin, un fermier découvre dans son poulailler un oeuf en forme de cube. Surpris par cette étrange apparition, il surveille ses pondeuses de près et parvient à identifier la poule responsable de l'exploit.
 
Il présente sa poule au concours du salon de l'agriculture. Chaque matin, sous les yeux ébahis des visiteurs, sa poule pond un oeuf cubique. Le Ministère de l'Agriculture propose une jolie somme d'argent au fermier pour qu'il leur laisse cette poule extraordinaire.
 
Dès que la poule est sous le contrôle du Ministère, elle se remet à pondre des oeufs tout a fait normaux. Les responsables du Ministère convoquent le fermier demandant un remboursement car ils croient qu'il s'agit d'une fraude. Le fermier demande à sa poule
:
- Ben alors, tu ne pond plus d'oeufs cubiques?
Et la poule répond:
- Crois-tu vraiment que je vais continuer à me fendre le cul en quatre maintenant que je suis devenue fonctionnaire!?
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 14:58


Philippe Candeloro a visité, jeudi, le Millesium avec ses producteurs.
Philippe Candeloro est venu faire un repérage au Millesium. Il fera des adieux époustouflants au spectacle de glace les 10 et 11 janvier avec : « Hello & goodbye ».

 PHILIPPE CANDELORO fait ses adieux au public. Dix ans après sa double médaille aux Jeux olympiques de Nagano, ce patineur d'exception tire sa révérence. Il a choisi le Millesium pour présenter son dernier spectacle, « Hello & goodbye », sorte de patchwork de toutes ses créations antérieures.
 
Mais totalement revisitées, avec la présence de 5 musiciens en live. « À 37 ans, il faut savoir s'arrêter. Ce métier est très exigeant et je n'ai pas envie de mal vieillir », explique le patineur, 13 fois médaillé aux championnats de France.
 
En super-pro, Philippe Candeloro ne présente jamais un spectacle sans visiter préalablement les lieux et rencontrer les équipes d'organisation. Il a donc parcouru le Millesium avec un œil avisé, repéré l'espace, imaginé toutes les nuances de sa prestation.
 
Le tout avec une chaleur humaine, une simplicité et un charme enjôleur.
Cet athlète de haut niveau continue de s'entraîner comme un fou pour présenter une telle rétrospective de plus de deux heures.
Il enchaînera les tableaux : celui du Parrain, de Lucky Luke, de D'Artagnan, de Travolta, de Braveheart, de Matrix et du Samouraï.
 
« J'ai gardé à chaque fois les meilleures parties des tableaux qui se présentent comme 8 petites comédies musicales. Pour Lucky Luke, je voulais donner une dimension cartoon, avec Travolta je suis seul sur la glace, dans Matrix il y a beaucoup d'actions et d'intervenants avec une foule d'effets spéciaux. »

42 artistes dont 7 cascadeurs

Les 10 et 11 janvier à Épernay, le patineur espère faire le plein de spectateurs. « Le public des shows de patinage artistique se rajeunit.
De nombreux tableaux fonctionnent très bien avec les enfants qui sont de plus en plus nombreux à venir avec leurs parents », remarque l'ancien médaillé olympique qui patine toujours avec la même hardeur. « Philippe a une santé qui épate tout le monde. Même les jeunes champions français ont parfois dû mal à suivre son rythme », lance Lionel Ruvera, directeur de la production de ce spectacle.
 
Philippe Candeloro continue à s'amuser, à faire des triples sauts et met toute son énergie dans ce show présenté avec 340 costumes. « Après Matrix, j'ai 45 secondes pour me démaquiller, changer de tenue et me relancer. C'est très physique », lance-t-il avec un sourire malicieux.
Pour autant, Philippe Candeloro ne sera pas seul sur cette patinoire montée en 48 heures à l'intérieur du Millesium.

Il sera entouré de 42 artistes sur glace dont 7 cascadeurs, et d'un staff technique tout aussi important, chargé de monter une structure contenue dans 6 semi-remorques. « C'est un travail de dingue, puisque nous proposons 4 niveaux de glace différents qui donnent un aspect technique innovant. »

Lors de sa visite, jeudi soir, le patineur a demandé aussi de multiples renseignements sur l'accueil, l'hôtellerie et les bonnes tables de la ville. Car l'artiste est aussi un épicurien.
 
À la question de son avenir après cette tournée d'adieux, il a répondu sans la moindre hésitation : « Je vais continuer à faire mon travail de consultant à la télévision. Il m'a permis d'engranger un gros capital de sympathie, mais je songe aussi au cinéma et au théâtre ». Bref, pas de soucis à se faire pour Philippe Candeloro.  source:l'union"
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 14:48

Charleville-Mézières


Autour d'un déjeuner avec des enfants de Charleville, l'ancien champion du monde du 110 m haies s'est longuement confié sur sa carrière. UN restaurant italien face au château de Vincennes. A la table, cinq adolescents carolomacériens sont invités à déjeuner avec les athlètes du groupe d'entraînement de Renaud Longuèvre (*).
Champion du monde du 110 m en 2005 à Helsinki, Ladji Doucouré monopolise toutes les attentions. Patiemment, il prépare sa rentrée.

Ladji, comment vous remettez-vous de votre blessure au talon d'Achille ?
« Je souffre d'une aponévrose depuis les Jeux olympiques. Aujourd'hui, j'ai achevé trois semaines de travail foncier. Au sein du groupe d'entraînement, je ne bénéficie d'aucun passe-droit. »

« Le temps passe vite »

Quel goût votre quatrième place aux JO de Pékin vous a-t-elle laissé ?
« Pour la deuxième fois, je suis passé à côté d'une olympiade. Mais je traîne des blessures depuis deux ans. A Pékin, je n'avais pas suffisamment d'entraînement spécifique pour être à 100 %. Malgré les personnes qui essayaient de me décourager, je savais que je pourrais être prêt le jour J. Malheureusement, je finis quatrième. »

Le titre olympique à Londres-2012 va-t-il devenir une obsession ?
« J'ai quatre ans pour me préparer. C'est autant de temps pour emmagasiner de l'expérience. Avec le recul, j'ai compris qu'il en fallait. Vu mon état physique, je n'aurais pas pu me qualifier pour une finale olympique sans recourir à cette arme. J'arrive à maîtriser les enjeux d'une grande compétition. »
Quels seront vos objectifs de la saison ?
« Les championnats d'Europe et les championnats du monde. J'ai l'ambition de rester au contact du plus haut niveau. L'exemple de Liu Xiang que tout le monde a mis aux oubliettes après son forfait aux JO alors qu'il a systématiquement été médaillé depuis 2005 montre la difficulté de rester au sommet. Or, je veux engranger tout ce que je peux, car le temps passe vite. »

« Courir en 13''20 n'est pas une fin en soi »

Où situez-vous votre marge de progression ?
« Ma priorité consiste à revenir à mon meilleur niveau. La clé de tout, c'est de ne pas se blesser. Mais je sais que je peux encore progresser en technique et en régularité gestuelle. Je ne veux pas m'imposer de limites. Courir en 13''20 n'est pas une fin en soi. »

On vous sent en totale symbiose avec Renaud Longuèvre…
« Nous travaillons ensemble depuis dix ans. Il faut avoir confiance, savoir se remettre en question. Beaucoup d'athlètes changent de coach au premier accroc. Mais une carrière est constituée d'étapes difficiles. On peut avoir la belle vie, gagner beaucoup d'argent, mais l'existence n'est pas comme ça. Je sais que mes blessures sont principalement de ma faute. Mais les succès sont encore plus beaux lorsqu'on a traversé des galères. »

Vous sentez-vous l'âme d'un leader au sein du groupe ?
« J'attache énormément d'importance au collectif, car j'ai grandi entouré de mes potes. Ne pas s'entraîner seul permet de partager et de se surpasser. Plus qu'un rôle de leader, j'ai un statut d'ancien qui m'autorise à distiller quelques conseils. Mais si j'allais au-delà, j'aurais l'impression de prendre la place du coach. »

« La pub pour mon sport »

On vous a vu apparaître dans des publicités. Quel rapport entretenez-vous avec la notoriété ?
« A la base, ça ne me plaît pas particulièrement. Je me prête au jeu parce que mon entourage refuse que je me cache. La pub me permet de faire la promotion de mon sport. Nous avons besoin qu'on ne parle pas de l'athlétisme négativement. Au même titre que le cyclisme, nous pratiquons un sport populaire avec un suivi très précis qui aboutit parfois à des cas de dopage. Si les footballeurs et les rugbymen étaient autant contrôlés, on serait sûrement surpris des résultats. Mais il y a trop d'argent… Personnellement, la notoriété m'est tombée dessus après ma chute en finale des JO d'Athènes en 2004. A ce moment-là, j'ai refusé toutes les sollicitations. J'avais l'impression de voler la place d'un médaillé. Avec mon titre de champion du monde l'année suivante, j'ai accepté de servir l'athlétisme. Je ne voulais pas le faire pour ma gueule. »

Songez-vous déjà à votre reconversion ?
« Je commence à y penser. Figurant sur la liste des athlètes de haut niveau, je possède un contrat d'insertion professionnelle au Conseil général de l'Essonne. J'espère passer des concours internes en même temps que mon BE2. Etant passionné par le sport, j'aimerais faire ma carrière dans ce milieu. »

(*) Grâce à l'opération Kid stadium organisée à Charleville-Mézières en partenariat avec le principal sponsor de la Fédération, les enfants ont partagé une journée avec les athlètes de l'Insep à Paris.
Les enfants de Charleville ont passé quelques instants en compagnie du champion du monde   source:"l'ardennais"
 
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 14:31
Martine Aubry et Bertrand Delanoë, ce week-end à Reims devant les délégués enthousiastes du congrès. (Denis Charlet / AFP)

MINUTE PAR MINUTE. Coup de théâtre : après avoir refusé pendant le congrès de Reims de soutenir un candidat au poste de premier secrétaire, le maire de Paris se range finalement derrière son homologue de Lille. Ségolène Royal se retrouve isolée.

14h58 : Le patron des sénateurs PS se veut neutre. Jean-Pierre Bel, soutien de Bertrand Delanoë, «ne donnera pas de consigne de vote», contrairement au maire de Paris. «Je travaillerai demain avec le premier ou la première secrétaire quel qu'il ou quelle qu'elle soit et je suis fidèle à l'engagement pris devant les militants de ne pas donner de consigne de vote. De plus, ma position de responsable de groupe m'impose des devoirs et le respect de tous ceux qui vont faire des choix différents». 13h57 :
 Cambadélis se réjouit de l'appel de Delanoë. Le député de Paris Jean-Christophe Cambadélis, soutien de la maire de Lille, a salué l'appel de Bertrand Delanoë à voter Martine Aubry à la direction du PS, qui est, selon lui, «déterminant pour l'unité du Parti socialiste». De son côté, François Lamy, bras droit de Martine Aubry, a «remercié» le maire de Paris pour ce «geste politique fort». «Le fait que le premier signataire de la motion A lance cet appel» à voter pour la maire de Lille, «cela renforce la crédibilité de la candidature et de l'élection de Martine Aubry, ajoute-t-il. Cela
crédibilise aussi le fait que nous allons travailler ensemble».
13h41
:Un député pro-Delanoë votera Royal. Le député PS du Bas-Rhin, Armand Jung, qui soutenait la motion de Bertrand Delanoë, a annoncé qu'il voterait pour Ségolène Royal. «L'alternative est la suivante : d'un côté le mouvement et la rénovation du PS et de l'autre l'immobilisme et le maintien de pratiques dépassées qui ont mené la gauche à l'échec», ajoute celui qui avait soutenu Royal pendant les primaires socialistes poprésidentielle de 200713h24
Rebsamen dénonce «une stratégie d'empêchement». Le sénateur-maire de Dijon, partisan de l'ex-candidate à la présidentielle, a estimé sur BFM radio que cet appel est «une surprise puisque Bertrand Delanoë n'avait pas donné de consigne de vote». «Je vois bien qu'il y a là une stratégie d'empêchement pour empêcher les socialistes de donner une majorité à celle qui est avec son équipe en capacité de porter un rassemblement dans le Parti socialiste». Selon Rebsamen, face à cette stratégie d'obstruction, Royal «ne doit pas dévier de sa route». Martine Aubry avec Laurent Fabius «c'est presque le vieux parti», a-t-il jugé, notant que ceux qui sont «rassemblés autour» de la maire de Lille «sont ceux déjà qui étaient les acteurs du congrès de Rennes».
 12h40 :
Delanoë appelle à voter pour Martine Aubry. C'est un coup de tonnerre : dans une lettre aux militants rendue publique lundi, le maire de Paris annonce qu'il se range derrière son homologue de Lille dans la course au poste de premier secrétaire du PS. «Notre responsabilité est immense», souligne-t-il dans cette lettre ouverte. «Jeudi soir, chaque militant est en effet appelé à s'exprimer, par son vote, sur ce qui est l'enjeu décisif de ce scrutin, comme l'ont démontré les principaux discours prononcés à Reims : l'identité même du Parti socialiste. Au nom de mes convictions politiques, j'ai donc décidé de soutenir la candidature de Martine Aubry et j'appelle à voter massivement en sa faveur», ajoute-t-il. Ce choix constitue une surprise car Bertrand Delanoë avait indiqué au congrès de Reims qu'il ne donnerait pas de consigne de vote. A eux deux, Aubry et Delanoë pèsent un peu plus de 49% du parti, contre 29% pour l'ex-candidate à l'Elysée. Un front anti-Royal explicite commence à se constituer. 11h44 : Hamon rêve d'un duel face à Royal. Le candidat à la direction du PS représentant la gauche du parti a affirmé lundi sur France Inter qu'il pensait «être au 2e tour» de l'élection du nouveau premier secrétaire du parti, vendredi, et a appelé à sortir le parti du «poison présidentiel». Interrogé sur le meilleur cas de figure pour lui, il a dit sa préférence pour un duel avec Ségolène Royal plutôt qu'avec Martine Aubry, pour proposer «un vrai choix» aux militants. Hamon avoue certes avoir «des proximités évidentes» avec la maire de Lille, «mais ça ne suffit plus, je pense que celles et ceux qui ont été acteurs des querelles depuis 20 ans ne sont plus les mieux placés pour permettre au PS de se reconstruire».
10h52 :
 Valls fustige un congrès «fait écarter» Royal. Le député de l'Essonne a souligné lundi sur RTL «la grande surprise» qu'a constitué l'arrivée de Ségolène Royal en tête du vote des militants socialistes alors que «ce congrès était fait pour écarter Ségolène Royal». Et «patatras, personne ne l'avait prévu, les militants la placent en tête». «Et bien, il faut jeudi prochain que les militants, les adhérents du parti socialiste viennent voter massivement pour (l)'élire dès le premier tour, pour mettre fin à cette crise de leadership et pour accomplir cette transformation du PS dont nous avons besoin», a ajouté celui pense que Reims était «sans doute un congrès de la dernière chance, il faut un sursaut». Questionné sur le style de l'ex-candidate à la présidentielle et sa rhétorique avec le recours à des termes comme «amour» «pardon», «guérison», il a reconnu qu'elle «change les codes» et qu'à ce titre «elle dérange, elle nous dérange» et même «quelquefois elle a pu me déranger».
10h28 :
Peillon pour une élection de Royal dès le 1er tour. L'eurodéputé a appelé lundi les militants du PS à élire la présidente de Poitou-Charentes à la tête du parti «dès le premier tour», prenant «l'engagement du rassemblement et du changement» si tel était le cas. «Il faut absolument donner au parti la possibilité de cesser de faire ricaner la droite», a-t-il encore déclaré sur France 2. Il a estimé que le congrès de Reims avait été «un échec» et dénoncé ceux qui «depuis des années» se livrent au «jeu obsessionnel des personnes». Il a cité Laurent Fabius, qui s'est «glissé derrière Martine Aubry» ou Henri Emmanuelli, derrière Benoît Hamon. Ce sont des gens qui «ont comme principale obsession de se contredire, de s'empêcher, prenant en otage d'ailleurs pas seulement le PS qui collectivement n'a pas été à la hauteur ce week-end, mais toute la gauche française».
9h35 :
Moscovici ne donne pas de consigne de vote. Le partisan de la motion de Bertrand Delanoë, qui s'est retiré de la course à la direction du PS, refuse à choisir entre Ségolène Royal et Martine Aubry pour l'élection au poste de premier secrétaire. «Je ne prends pas position, je ne donne pas de consigne de vote, chacun fera un peu ce qu'il veut», a déclaré le député du Doubs sur LCI.  source"le figaro"
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 10:47
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Bon appétit
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 10:39
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IL y a 1 euro de trop
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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 10:29
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Cascade

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 10:15

Au cours de l'enregistrement de l'équipe de Julien Courbet à Givet avec Anne-Sophie.
Anne-Sophie, jeune Givetoise, a obtenu son diplôme d'esthéticienne en Belgique. Problème : son diplôme n'est pas reconnu en France. Elle porte l'affaire chez Julien Courbet sur France 2.ELLE s'appelle Anne-Sophie Dupont et habite Givet. Agée de 23 ans, ce joli brin de fille consacre ses loisirs notamment au piano. Durant de nombreuses années, elle a été d'ailleurs élève à l'école de musique de Colette Cottel

Son rêve, devenir esthéticienne et pourquoi pas ouvrir un salon à Givet ? Elle surfe sur le net et tombe sur le collège international d'esthétique situé à Namur, à une heure de route de Givet, un établissement réputé pour son taux de réussite.

Bonne aubaine. Anne-Sophie prend contact avec l'établissement. Un rendez-vous avec le directeur, présentation de la discipline, deux années d'enseignement avec à la clé le diplôme d'esthéticienne, un diplôme reconnu, selon le directeur, en France, Anne-Sophie est emballée.
Certes, un tel enseignement représente un sérieux investissement… plus de 8.000 € !

Les deux années se sont écoulées et Anne-Sophie, diplôme en poche, affiche ses ambitions… ouvrir un salon à Givet. Rue Flayelle, un pas-de-porte est vacant. Anne-Sophie est emballée. Elle s'y voit déjà… si bien qu'elle réserve le local.

Belgique, France, avant d'aborder l'activité professionnelle, Anne-Sophie pense à faire valider son diplôme.
Il ne devrait pas y avoir de problème. « Une simple formalité. C'est même inscrit en toutes lettres sur le site de l'établissement. Diplôme reconnu en France ». Renseignements pris auprès des différents organismes, le diplôme d'esthéticienne obtenu dans ce collège n'est pas reconnu en France !

Intervention auprès de la direction du collège, c'est le flou. Pire encore. La notation sur le net, Diplôme reconnu en France, n'apparaît plus à l'écran !
Anne-Sophie est désorientée. Elle remet en cause la bonne foi de la direction de l'établissement…, une direction qui se fait très discrète ! « J'ai l'impression que l'on m'a menti. J'appelle ça de l'arnaque », tempête-t-elle.
D'autres élèves semblent également concernés par ce problème. Faudra-t-il repasser le diplôme en juin prochain à Charleville-Mézières ou à Reims ? C'est fort probable. Anne-Sophie est désœuvrée. Le local pour son futur salon est réservé. Il va falloir payer…

Que faire ? Anne-Sophie s'est tournée vers Julien Courbet qui anime « Service maximum », un magazine de consommation diffusé sur France tous les jours de la semaine à 18 h 50.

Anne-Sophie a transmis un mail… sans trop y croire. Voici quelques jours, la production a contacté la jeune Givetoise. Et jeudi, Christina Maurier, journaliste, et Antoine Robert, cameraman, de la société de production Concepteria, sont passés par Givet.

Rencontre avec Anne-Sophie, prises de vue à Givet, l'enregistrement s'est poursuivi à Namur… dans le bureau du directeur du collège.
Le reportage est en boîte.. et, en début de semaine, depuis les studios de Paris, Julien Courbet tentera de trouver une solution.

Jean-Pierre Charrieau
« Service maximum » animé par Julien Courbet, lundi 17, à 19 heures, sur France 2.
Sur France 2 lundi ou mardi  source:"l'ardennais
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