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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 09:13
Clearstream 
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Dominique de Villepin se rendant à un interrogatoire en octobre 2007.
Dominique de Villepin se rendant à un interrogatoire en octobre 2007.

L'ancien premier ministre devra répondre de complicité de dénonciation calomnieuse face à 40 parties civiles dont Nicolas Sarkozy.

La fin d'un feuilleton haletant de quatre années et la promesse d'un procès hors normes, vraisemblablement à la fin 2009 : Les deux juges de l'affaire Clearstream, Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, ont mis un point final mardi à leur instruction en signant l'ordonnance qui renvoie l'affaire devant le tribunal correctionnel.

 Selon Paris Match, le duo des magistrats a dé­cidé de retenir contre Dominique de Villepin le délit de complicité de dénonciation calomnieuse et, dans le détail des charges, les deux magistrats se montreraient plus sévères à l'égard de l'ancien premier ministre que ne l'avait été le procureur de la République de Paris, qui avait requis le renvoi de Dominique de Villepin pour «complicité par abstention».

 Les acteurs du dossier doivent recevoir mercredi la notification officielle de la décision. Le débat, lors de l'instruction judiciaire comme lors du procès à venir, portera sur les envois anonymes adressés en 2004 au juge Van Ruymbeke. Les listings envoyés étaient supposés contenir les noms de personnalités ayant touché des rétrocommissions dans l'affaire des frégates de Taïwan. Il s'agissait en réalité de documents falsifiés contenant des noms de personnalités du monde industriel, politique et, pour les derniers envois, de tous horizons.

 L'instruction d'envoyer les listings au juge aurait, selon l'ac­cusation, été délivrée par Dominique de Villepin lors d'une réunion, le 9 janvier 2004, dans son bureau du ministère des Affaires étrangères, avec le général Rondot et Jean-Louis Gergorin. Le premier est aujourd'hui simple témoin, le second serait renvoyé lui aussi en correctionnelle. «Vérité détournée» Jusqu'au bout, l'affaire aura été émaillée de surprises et de rebondissements.

 Dernier acte d'une instruction hors du commun : les juges d'Huy et Pons ont ainsi signé au début de cette semaine une ordonnance refusant de livrer à tous les avocats du dossier Clearstream les 2 000 pages des carnets d'Yves Bertrand. Plusieurs avocats avaient en effet formulé cette demande, soulignant qu'ils n'avaient pas accès à l'intégralité des carnets, alors que les parties du procès de l'Angolagate, elles, les ont en main depuis la semaine dernière.

Dans un mémoire aux fins de non-lieu, l'avocat de Jean-Louis Gergorin avait par ailleurs souligné que l'instruction s'était longuement attardée sur le rôle de la DST et de la DGSE mais pas sur le rôle des renseignements généraux qui étaient dirigés jusqu'en 2004 par… Yves Bertrand. Après une instruction menée en grande partie avec comme socle les notes du général Rondot, ce sont donc les carnets Bertrand qui pourraient faire les grandes heures du procès de l'affaire Clearstream. Avec dans les deux cas, le soupçon de manipulations ordonnées au plus haut niveau de l'État. Mardi soir, Dominique de Villepin a indiqué que «rien ne jus­tifiait» son renvoi en correctionnelle. Dans un communiqué adressé à l'AFP, il affirme que « tout au long de l'instruction, la vérité des faits et du droit a été détournée au profit d'une seule partie civile qui est en même temps aujourd'hui président de la République ». source: "le figaro"

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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 07:01
«Le ministère de la Justice n'avait pas été réformé de cette façon depuis près d'un demi-siècle. Il est normal que les réformes suscitentdes réactions», confie Rachida Dati.

INTERVIEW - La garde des Sceaux justifie sa gestion des affaires, qui suscite les critiques des magistrats.

LE FIGARO. - Dans une motion qui vous a été adressée mardi, 534 magistrats dénoncent votre politique et vous demandent «des excuses» pour l'affaire de Metz - qui a vu des magistrats sommés de s'expliquer après le suicide d'un mineur en prison. Pourquoi avez-vous demandé une inspection après ce drame ?
 
Rachida DATI. - Un suicide est toujours un événement dramatique au sein d'un établissement pénitentiaire. Il est de politique constante que, dans une telle affaire, et en particulier s'agissant d'un mineur, une inspection soit ordonnée dans les meilleurs délais par l'Administration pénitentiaire. Est-il choquant que le garde des Sceaux, sans rechercher de quelconque responsabilité sur un plan disciplinaire, ordonne également une inspection afin de connaître les conditions dans lesquelles le mineur a été poursuivi, interpellé, incarcéré ?

Fallait-il interroger les acteurs jusque tard dans la nuit ?

Aucun magistrat ne peut être choqué par une telle démarche qui a pour seul objectif de comprendre, et éventuellement d'éviter par la suite, de tels événements. Au demeurant, le principe d'une telle inspection n'a jamais été mis en cause par quiconque.

 Ces nouvelles protestations ne sont-elles pas le signe d'une rupture entre la Chancellerie et les magistrats ?
Pensez-vous sérieusement que lorsque j'ordonne, ou qu'un ministre ordonne une inspection, il indique au responsable d'une telle opération les modalités dans lesquelles elle doit se dérouler ? J'avoue ne pas comprendre la teneur de cette motion dont les termes erronés pourraient devenir outranciers alors même que les plus hautes autorités judiciaires locales ont démenti qu'une quelconque inspection disciplinaire ait été engagée et ont déclaré publiquement que je n'avais jamais évoqué, à quelque mo­ment que ce soit, la décision de justice. Je constate enfin que, dans le tract rendu public, il est tout de même relevé que je soutiens les magistrats.

 Comment qualifieriez-vous vos relations avec le corps judiciaire ?
La multiplication des réformes en cours, je le reconnais, crée au sein du corps des interrogations compréhensibles. Pour autant, si je comprends les difficultés des magistrats, je ne peux accepter les mises en cause. En tant que garde des Sceaux, je mets en œuvre une politique pénale ferme, souhaitée par les Français, votée par le Parlement, qui a essentiellement pour objet la protection des citoyens et la lutte contre la récidive en réinsérant les personnes détenues. Dans nos institutions, le Parlement vote la loi et les magistrats l'appliquent avec un pouvoir d'appréciation. Le ministère de la Justice n'avait pas été réformé de cette façon depuis près d'un demi-siècle. Il est normal que les réformes suscitent des réactions. Mes prédécesseurs ont aussi eu à faire face à des mouvements de magistrats. Mais la politique que nous menons a été demandée par les Français.  source:"le figaro"
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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 06:16
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 19:10
Je vous souhaite  une trés bonneHebergeur d'images nuit, malgré mes 80 ans, je suis en pleine formeHebergeur d'imagesMinnie aussi. Et maintenant,Hebergeur d'images un peu de musique pour vous endormir.
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 19:04
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Douce nuit
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 14:13
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Ségolène attaquée par le dragon à 2 têtes, aubry et delanoé
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 14:08
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sarko et la grande duduche, qu'elle dise à son mari d'arrêter de saigner les pauvres
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 14:02
aujourd'hui c'est mon anniversaire Hebergeur d'images j'ai 80 ans.Je n'oublie pas Minnie qui est toujours aussi jeune. je vais donc vous accompagner sur ce blogueHebergeur d'images
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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 13:51


Mickey et Minnie ont 80 ans !Une légende raconte que Walt Disney avait choisi une souris parce que son studio en était infesté... Mickey Mouse, la célébrissime souris croquée en trois coups de crayons par Ub Iwerks en 1928 souffle ce 18 novembre ses 80 bougies tout comme sa compagne, l'adorable Minnie ! Véhiculant des valeurs morales, Mickey est devenu à ce point emblématique que les trois cercles qui forment le dessin de sa tête sont désormais indissociables de la marque Disney.

En fait, il s'agissait de sa 3e apparition mais les deux premières, sans son, n'avaient pas inspiré le public. Pourtant, "The Gallopin' Gaucho" (sorti d'abord sans son), parodie du film "The Gaucho" avec Douglas Fairbanks, est une pure merveille avec notamment une incroyable scène de tango entre Mickey et Minnie. Pat Hibulaire fait également partie des débuts de l'aventure.

Dessiné d'abord par Ub Iwerks, Mickey n'a pas eu tout de suite les signes distinctifs qui ne le quitteront plus : les gants blanc, la culotte rouge et une voix de fausset. En 1930, il envahit de nouveaux supports : le comic strip, les jouets avec une poupée à son effigie et le livre. Et.. perd son dessinateur. Iwerks part en effet créer l'Iwerks Studio. Walt Disney le remplace pour la bande dessinée par Floyd Gottfredson, et pour les courts métrages, par David Hand qui travaille sur les Mickey Mouse jusqu'à la fin de l'année 1932.

En 1932, Mickey part à la conquête du monde. "Le Journal de Mickey" paraîtra pour la première fois en 1934 en France. Mais à mesure que grandit sa popularité, son influence évolue et à la demande des parents, il est contraint d'abandonner toutes mauvaises actions pour s'imposer comme un modèle de bonne conduite. Un rôle qui le contraint à céder la place à des personnages plus "humains" comme Donald, Picsou, Pluto, Dingo...
Une page se tourne dans la deuxième moitié des 70's, avec le départ à la retraite de Gottfredson. Mickey obtient une étoile sur le Hollywood Walk of Fame le 18 novembre 1978, en l'honneur de son 50e anniversaire ainsi qu'une plaque dans le Broadway Theatre (ex-Colony Theater) où eut lieu la première de Steamboat Willie en 1928. C'est le premier personnage animé à recevoir cette distinction. Et puis surtout, il revient au premier plan pour ne plus le quitter. Des parcs d'animations à son nom, des long-métrages, des produits dérivés par milliers... Mickey Mouse est plus que jamais la marque de fabrique de Disney.

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18 novembre 2008 2 18 /11 /novembre /2008 13:35
Il y a deux catégories d'informations. Il y a celles qu'on attend, qu'on désire, qu'on sollicite. On leur déroule le tapis rouge. Un essaim de bonnes fées s'est penché sur leur berceau. Exemples ? Ils sont quotidiens. Les socialistes se déchirent à Reims. Sarkozy sauve le monde à Washington. Etc etc.

Vous voyez de quoi je veux parler. Et puis, il y a les autres. Les vilaines petites informations, comme il y a des vilains petits canards. Comme celle-ci. La scène se déroule dans le bureau du chef de cabinet du ministre du travail Xavier Bertrand. Le chef de cab reçoit un journaliste du Monde, qui travaille à une future biographie de Bertrand avec une consoeur, Muriel Pleynet
.
 Et soudain, le chef de cab, Michel Bettan, lâche au journaliste, Christophe Jakubyszyn, une citation de Villepin tenue à lui, Jakubyszyn, à propos de Bertrand ("un traître sans couilles"). "Comment sais-tu ça ? Et avec cette précision ?" demande le journaliste au chef de cab. "On sait beaucoup de choses", réplique, mystérieux, celui-ci. "Par exemple sur toi, Christophe, on pourrait écrire un livre". Nul ne le dit, mais il est vraisemblable que la conversation Villepin-Jakubyszyn a été écoutée (ce qui est plausible, Villepin étant sous le coup d'un contrôle judiciaire qui lui interdit notamment tout contact avec Chirac), et que le compte-rendu de ces écoutes judiciaires s'est retrouvé entre les mains du cabinet du "chouchou" du président (ce qui est beaucoup moins normal).

Jakubyszyn raconte la scène dans son livre, publié la semaine dernière. L'anecdote est mise en avant par le site Bakchich le 12 novembre. Et puis ? Et puis rien.

Dans un pays idéal, dans un système d'information idéal, quinze journalistes auraient déjà appelé ledit Bettan, pour qu'il confirme ou infirme l'allégation insensée selon laquelle des ministres et leurs entourages, n'ayant rien à voir avec la Justice (mais peut-être y a-t-il une prédisposition auditive des Bertrand), pourraient se retrouver dépositaires de compte-rendus d'écoutes judiciaires.

 Mais non. Rien pendant six jours. Jusqu'à ce que Thomas Legrand, l'éditorialiste politique de France Inter, glisse l'anecdote au sein de sa chronique de ce matin.

Ainsi propulsée par France Inter, il y a quelques chances que la vilaine petite information intègre finalement le circuit officiel. S'il reste un dirigeant socialiste de permanence pendant la tragédie, peut-être s'en saisira-t-il. A moins que Bayrou...

Ensuite, un responsable politique ayant introduit la vilaine petite information dans le majestueux carrousel des grandes, l'AFP se sentira autorisée à faire une dépêche, et à appeler Michel Bettan, qui répondra avec dignité qu'il ne fait aucun commentaire. Et il est vraisemblable que l'affaire s'arrêtera là. A moins que...
source arrêts sur images

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