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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 14:12
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Nicolas Sarkozy devant les ouvriers de Daher, dans le Loir-et-Cher.
Nicolas Sarkozy devant les ouvriers de Daher, 

Nicolas Sarkozy a lancé jeudi le fonds voué à soutenir les entreprises stratégiques du pays face à la crise. Il sera doté de 20 milliards d'euros.

Troissemaines après avoir annoncé la naissance d'un «fonds souverain» à la française  Nicolas Sarkozy en a livré les détails jeudi matin, lors d'une viste dans le Loir-et-Cher. Avec une confirmation : ce fonds stratégique d'investissement sera bien doté de 20 milliards d'euros.

 

 Et une triple annonce : l'actuel directeur général de la Caisse des Dépôts (CDC), Augustin de Romanet, prendra la présidence du conseil d'administration du fonds, le conseil d'orientation sera présidé par Jean-François Dehecq (Sanofi-Aventis) alors que Patricia Barbizet (PPR) en sera la présidente du comité d'investissement. La France ne doit pas devenir «une réserve pour touristes», mais au contraire «continuer à être un pays où on construit des voitures, des bateaux, des trains et des avions», car «un pays qui n'a plus d'industrie, c'est un pays qui se prépare à laisser partir ses services», a lancé le chef de l'Etat dans un discours véhément prononcé à Montrichard, dans le Loir-et-Cher.

 

 Une «politique offensive et pragmatique»: voilà la formule utilisée par le chef de l'Etat pour résumer l'action du fonds. Ce fonds, qui sera opérationnel dès le mois prochain, investira dans des entreprises hexagonales jugées stratégiques. L'objectif numéro un : «stabiliser des entreprises qui pourraient être des proies pour les prédateurs» en temps de crise. Autrement dit, des groupes étrangers. Il aura aussi pour vocation de conforter des entreprises ne trouvant pas sur le marché l'argent nécessaire à leur développement.

 

 Des alliances avec des fonds souverains étrangers, «Nous souhaitons faire de la crise une opportunité pour le développement», a expliqué Nicolas Sarkozy lors d'une visite aux ouvriers de l'usine Daher, avant son discours. Daher, un sous-traitant industriel, est la première entreprise dans laquelle le fonds va investir, à hauteur de 85 millions d'euros. Et d'argumenter : «Puisque les banques sont frileuses et n'investissent pas, nous on financera».

 

 Face à la crise, il y a «deux stratégies» : soit on reste cloîtré chez soi, soit il y a du gros temps, et on y va de façon offensive», a martelé Nicolas Sarkozy. Le fonds stratégique d'investissement français sera doté initialement de 20 milliards d'euros, voire plus ensuite «si ça marche». Une somme qui le placera «parmi les vingt premiers investisseurs de long terme dans le monde», a affirmé le chef de l'Etat. A savoir 14 mds par des participations de la Caisse des dépôts et de l'Etat et pour 6 milliards par des «liquidités».

 

 Le chef de l'Etat a également précisé que le fonds sera une société anonyme filiale de la Caisse des dépôts (CDC), qui en sera l'actionnaire majoritaire, l'Etat détenant une participation minoritaire «mais importante». Ce fonds d'Etat sera aussi susceptible d'«avoir des alliances avec d'autres fonds souverains» étrangers, a assuré Nicolas Sarkozy.

 

 Avec une condition : que ceux-ci soient «transparents» et permettent un «effet de levier pour développer encore l'investissement». Les fonds existants ont été créés par des gouvernements de pays qui disposent d'un excès d'épargne, du fait d'importantes ressources pétrolières (comme au Moyen-Orient, en Russie ou en Norvège), d'excédents budgétaires (Singapour) ou de réserves de change des banques centrales (Chine),

source:"le figaro"

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 13:47
Un soldat retournant à la base militaire allemande de Kaboul.

La quantité d'alcool consommée chaque année par les soldats de la Bundeswehr déployés en Afghanistan suscite la polémique.

L'Allemagne s'inquiète des quantités d'alcool ingurgitées par ses soldats déployés en Afghanistan. En 2007, le contingent de la Bundeswehr, déployé dans le cadre de la force commandée par l'Otan (ISAF), aurait écoulé près d'un million de litres de bière et quelque 70 000 litres de vin selon les chiffres communiqués par l'armée.
 
 Certains élus et les médias soulignent les effets négatifs sur l'image de la mission allemande en Afghanistan. Le chiffre a été rendu public après qu'une députée a porté le problème devant le Bundestag, la semaine dernière. «L'alcool joue visiblement un rôle inquiétant dans les camps de la Bundeswehr en Afghanistan», s'est émue la députée libérale démocrate (FDP) Elke Hoff. Elle dit avoir entendu de sources afghanes et de délégations allemandes, que les soldats de la Bundeswehr déployés en Afghanistan ont un «solide lever de coude».
 
 Un élu social-démocrate a appelé le gouvernement à «offrir aux soldats une alternative à la consommation de bière en développant les activités sportives et culturelles». Le ministère allemand de la Défense dédramatise en expliquant que, répartie entre les 3 500 soldats du contingent, les soldats alliés qu'ils hébergent sur leurs bases et les délégations étrangères de passage, la consommation équivaut à 0,75 litre de bière par soldat. Alors que la ration autorisée en zone de conflit dans la Bundeswehr s'élève à deux canettes d'un demi-litre.
 
 Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères relativise, lui aussi, en avouant que son ministre, Frank-Walter Steinmeier, «partage volontiers une ou deux canettes avec les soldats» lorsqu'il échange ses impressions avec eux à l'issue de son programme officiel. Cependant, selon les médias allemands, les soldats de la Bundeswehr rechignent à accomplir leur mission sur les contreforts de l'Hindu Kuch et certains d'entre eux comptent ferme sur leur «ration de bière» pour soigner le mal du pays.
 
 La presse populaire a ironisé, titrant «Un verre pour la patrie» ou encore «Les joyeux buveurs de la Bundeswehr». Plus sérieusement, certains s'inquiètent que ces révélations n'entachent la réputation de professionnalisme de l'armée allemande. Fort courant pacifiste D'autant que les Allemands subissent régulièrement les pressions de leurs alliés au sein de la mission, notamment américains, pour agir au-delà de leurs bases situées dans le nord du pays, relativement tranquille, afin d'accomplir des missions plus dangereuses dans le sud.
 
 Le ministre allemand de la Défense, Franz Josef Jung, a déclaré que la Bundeswehr n'irait pas pour se «concentrer sur sa mission de stabilisation du nord». En raison du fort courant pacifiste en Allemagne né du traumatisme de la Seconde Guerre mondiale, les interventions en terrain extérieur restent un sujet sensible. Cela n'a pas empêché une délégation allemande de se faire apostropher par des élus canadiens en marge d'une réunion de l'Otan : «Certains boivent tranquillement des bières pendant que d'autres ramènent leurs morts à la maison.» source: "le figaro"
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 13:34
Le procès de l'affaire Clavier s'ouvre vendredi devant le tribunal correctionnel d'Ajaccio. Dans cette affaire, dix militants nationalistes comparaissent pour avoir occupé, fin août, le jardin de la villa du comédien Christian Clavier à Porto-Vecchio, lors d'une action contre "la spéculation immobilière" . Parmi eux figurent notamment le leader de Corsica Nazione Indipendente, l'avocat Jean-Guy Talamoni et les deux autres élus de sa formation, Rosa Prosperi et Véronique Sciaretti. Poursuivis pour "violation de domicile par manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte", ils encourent un an de prison et 15.000 euros d'amende. Plusieurs responsables du mouvement indépendantiste Rinnovu et du Comité antirépression (CAR) sont également cités à comparaître.

En signe de protestation face à un procès qu'ils jugent "dérisoire" et "emblématique de l'attitude de harcèlement répressif du pouvoir", les nationalistes ont appelé dès mardi à un rassemblement devant le tribunal d'Ajaccio. Du côté des forces de l'ordre, le mot d'ordre est la vigilance. Les services de police affirment que "le nécessaire sera fait pour assurer le bon déroulement de l'audience" et que le dispositif de surveillance autour du lotissement, "toujours en place, va être renforcé". L'avocat de Christian Clavier, Me Pierre Haïk, a, quant à lui, fait savoir que son client n'assisterait pas à l'audience, arguant du fait que le comédien n'avait de toute façon pas été témoin direct des faits incriminés. "Compte tenu de l'effervescence médiatique entretenue autour de cette affaire, cette décision me paraît de nature à favoriser la sérénité des débats", a-t-il estimé.

"Ni menaces ni manoeuvres" (Jean-Guy Talamoni)

Le 30 août dernier , après un rassemblement devant la mairie de Porto-Vecchio, des militants nationalistes avaient décidé d'envahir le terrain de l'acteur pour dénoncer le Plan d'aménagement et de développement durable pour la Corse (Padduc), qui doit être discuté prochainement à l'Assemblée de Corse et qui est l'objet d'un vif débat dans l'île. Ils entendaient également attirer l'attention sur la "spéculation foncière" à laquelle se livrent, selon eux, des élus de la majorité. Une spéculation dopée par l'installation de "people" en Corse. Ils accusent notamment le président de l'Assemblée de Corse Camille de Rocca Serra (UMP) de "pratiquer le mélange des genres entre la politique et l'immobilier, en étant à la fois élu, propriétaire et promoteur de Punta d'Oro", le lotissement où est édifiée la villa de Christian Clavier.

Les militants nationalistes affirment cependant que "leur action symbolique s'est déroulée dans le calme, pacifiquement, sans menaces ni brutalité" et que "les gardiens de la villa de Christian Clavier leur ont même offert à boire". Ainsi, dès l'annonce des poursuites, Jean-Guy Talamoni avait contesté les charges, estimant que le parquet se ridiculisait. "Il n'y a pas de violation de domicile, ni moralement ni juridiquement puisqu'il n'y a pas eu de voies de fait, de menaces ou de manoeuvres", avait-il dit. "Nous n'avons commis aucun acte délictueux, nous avons pris le chemin d'accès public à la mer, nous n'avons ouvert aucune porte, enjambé aucune clôture et personne n'est entré dans la maison", avait renchéri Paul-Felix Benedetti, un des responsables du mouvement Rinnovu.

Par ailleurs, rappelons que l'occupation du jardin de Christian Clavier, ami personnel du président Nicolas Sarkozy, a coûté son poste au patron des forces de sécurité intérieure Dominique Rossi, brutalement muté par le ministère de l'Intérieur pour n'avoir "pas pris les mesures nécessaires pour protéger ce lotissement et afin d'empêcher l'envahissement d'une propriété privée".source: le point
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 10:46

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Bon appétit

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 10:38
Ça se passe pendant la révolution française. Trois prisonniers un français, un belge, et un suisse ont été jugés coupables de crimes abominables. Ce qui leur vaut à tous les trois la peine de mort.
Le jour de l'exécution ils s'avancent chacun leur tour devant le gibet où ils seront décapités. Le français est le premier à s'avancer.
- Rien à déclarer ? demande le bourreau
- Non répond le français de toute sa hauteur Dieu fera un miracle pour me sauver car il sait que je suis innocent. Le Bourreau, qui en a entendu d'autres, lui passe la tête dans la guillotine abaisse le levier et Oh!! miracle le couperet s'arrête à deux centimètres du cou du condamné. Étant donné qu'il s'agit d'un événement extraordinaire ce dernier est gracié.
Vient le tour du belge. Même question du bourreau : - Rien à déclarer ?
- Non répond celui-ci car je sais que pour moi aussi Dieu fera un miracle.
Le bourreau, qui commence sérieusement à douter de son choix de carrière lui glisse la tête dans la guillotine, abaisse le levier et le même scénario se produit, le couperet stoppe net à deux centimètres du cou du condamné et a l'exemple du précédent, celui-ci est aussi gracié.
S'avance enfin le suisse. - Rien à déclarer ? lui demande le bourreau qui trouvait que sa journée allait vraiment mal.
- Et bien oui répond le Suisse. Je voulais juste vous dire qu'il y a un gros noeud dans la corde qui retient votre gros couperet.
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 10:29
Bernard Tapie, ici devant la commission des finances de l'Assemblée nationale. (Vincent Boisot / Le Figaro)

L'ex-ministre de la Ville entend utiliser ses millions d'euros d'indemnité perçus en réglement de son litige avec le Crédit Lyonnais pour créer un «fonds de placement pour entreprises à la peine».

Tapie, le come-back. Après le dénouement de la médiatique affaire du Crédit Lyonnais, l'ancien homme d'affaires ne sera pas resté longtemps silencieux. Dans un entretien au journal Marianne à paraître samedi, Bernard Tapie annonce en effet vouloir utiliser l'indemnité perçue en réglement de son litige avec le Crédit Lyonnais pour créer un «fonds de placement pour entreprises à la peine».
 Pour autant, il ne dirigera pas les entreprises dans lesquelles il investira, comme il le faisait dans les années 80. «J'entends aider des sociétés en difficulté, des PME notamment. La période actuelle ressemble à celle des années 80 en pire», poursuit l'ancien patron de la firme sportive Adidas. Bernard Tapie avait fait du rachat d'entreprises en difficulté sa spécialité.
 En quelques années, il en reprendra une cinquantaine, ce qui lui vaudra le surnom de «Zorro des entreprises». Son plus gros «coup» sera le rachat en 1990 d'Adidas, dont la revente par le Crédit Lyonnais à Robert-Louis Dreyfus, qu'il estime frauduleuse, a débouché sur la longue bataille judiciaire qui s'est conclue par un arbitrage en sa faveur en juillet dernier.
 Le tribunal arbitral a condamné le Consortium de réalisation, l'organisme public chargé de gérer le passif du Lyonnais, à verser 285 millions d'euros à Bernard Tapie, dont 45 millions au titre du préjudice moral. Cette décision a suscité une polémique, certains y voyant la main de l'Elysée. Des recours ont été déposés par plusieurs organismes. Interrogé sur son éventuel soutien à l'action du président Nicolas Sarkozy, l'ancien ministre répond d'ailleurs clairement :
 «Ne sous-entendez pas qu'il existe un accord entre lui et moi. C'est un fantasme de journaliste. Mais ce n'est pas parce que je ne reviens pas en politique que je ne vais pas l'aider. Je vais le soutenir autrement».
source:"le figaro"
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 10:19
Selon un responsable démocrate, Barack Obama a arrêté sa décision. Mais l'arrivée de l'ancienne First Lady au secrétariat d'Etat ne devrait être annoncée qu'après la fête de Thanksgiving, le 27 novembre.

Photo prise le 20 octobre 2008

 

 

Barack Obama est sur le point de nommer Hillary Clinton à la tête du département d'Etat, le ministère américain des Affaires étrangères, selon un responsable du Parti démocrate. Mais l'annonce n'interviendra pas avant la fête de Thanksgiving, le 27 novembre.
La possible nomination de celle qui fut l'adversaire du président élu lors de la primaire démocrate focalise l'attention des médias américains.
Son entrée dans la future administration s'est précisée après que son mari, l'ex-président Bill Clinton, a accepté que ses activités soient soumises à un contrôle éthique.

Conflit d'intérêt

L'équipe mise sur pied par Obama pour préparer son gouvernement redoutait que certaines des activités de Bill Clinton, notamment les conférences qu'il donne de par le monde contre rétributions, puissent représenter un conflit d'intérêt en cas de nomination d'Hillary Clinton au poste de secrétaire d'Etat.
Selon ce responsable démocrate, les questions liées aux sommes touchées par l'ex-président ont été réglées.
Obama prêtera serment le 20 janvier prochain.                                     source: "le nouvel observateur"
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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 10:07

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elle flingue

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 10:01

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 C'est dur d'être un sexe symbole

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 09:51
François Hollande quitte son poste sans remords ni regrets 
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François Hollande laisse un parti abîmé par les rivalités personnelles et incertain sur sa ligne. (AFP/CHARLET)

.Pour son départ, il n'avait rien demandé. Mais quelques-unes de ses collaboratrices lui ont quand même fait un petit cadeau. Ça change de l'ambiance générale au PS, où rien n'est pardonné à François Hollande.

 Mercredi matin, il a tenu son dernier discours en tant que premier secrétaire, devant les permanents du parti et les membres du secrétariat national. Il l'a prononcé dans la salle Marie-Thérèse-Eyquem, là où se déroule le Bureau national qu'il a présidé pendant onze ans, battant le record de longévité de François Mitterrand.

 Un moment émouvant, admet-il, mais qu'il a évité d'étaler au grand jour. «Je n'aime pas le spectacle…», confie-t-il.

Prudent, à la veille du vote pour désigner son successeur, il a veillé, dans ses propos, à enlever toute portée politique. Il a fait rire l'assistance en ironisant sur les «rites» socialistes. «L'humour, c'est son mode de gestion du stress», dit un de ses amis. François Hollande laisse un parti en mauvais état, divisé, abîmé par les rivalités personnelles, incertain sur sa ligne, électoralement fort au niveau local mais systématiquement vaincu au niveau national.
 Ses adversaires lui reprochent une gestion tacticienne du Parti socialiste. «On paie dix ans de direction par François», l'accable un partisan d'Aubry. Il réplique : «On dit que j'ai monté les uns contre les autres. Je n'ai pas eu besoin de le faire !» La division du PS, aujourd'hui, lui inspire une critique sans appel des acteurs du congrès de Reims. «Je suis sévère contre ceux qui se sont engagés dans la fragmentation du parti, dit-il. Cela réhabilite la culture de la synthèse. J'ai l'impression qu'elle va devenir un bon ­souvenir. Quand on tranche, on se coupe.»
Leader contesté Il décline toute responsabilité dans l'état du PS actuel. Des mois avant le congrès, il avait invité au «rassemblement». Mais, leader contesté, il n'a pas été en mesure de convaincre. Peu importe le résultat demain, ses adversaires s'installeront à la tête du PS. Que ce soit Vincent Peillon et Manuel Valls, lieutenants de Ségolène Royal, ou le tandem fabiusio-strauss-kahnien formé par Claude Bartolone et Jean-Christophe Cambadélis, dans le sillage de Martine Aubry, tous sont ses contempteurs. «Je serai plus positif qu'eux.
 Et on va voir…» L'ancien premier secrétaire n'est pas mécontent cependant de quitter ces lieux où il a connu de «beaux moments», dit-il, mais aussi de nombreux conflits. Maintenant, il aura du temps pour sa nouvelle vie : voyager, lire, rencontrer… Son départ n'est pas définitif, évidemment. Contrairement à ce qu'il disait il y a quelques mois, François Hollande compte siéger au bureau national.
«Je me suis dit que dans le contexte, cela peut être utile.» Mais il ne veut pas prendre des responsabilités : «Je ne serai pas un premier secrétaire bis.» Les «Hollandais» n'ont pas dit leur dernier mot. Ils veulent continuer de peser au sein de la motion qui a soutenu Bertrand Delanoë. Si François Hollande ne veut pas devenir un chef de chapelle , il n'a pas renoncé à réunir ses amis. La création d'une «association» est dans l'air
source"le figaro"
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