Humour:Massage entre Orteils
Humour:Massage entre Orteils
Accusations de pédophilie de Luc Ferry : ouverture d'une enquête
Le clown : « D'ici 2012, il y a certains « présidentiables » ou autres « ministrables » (gauche et droite confondues) qui vont avoir peur jusqu'au bout. Il est grand temps de faire le ménage ! »
odettemadeleine : « J'ai entendu dire…, tout le monde sait… Les faits sont peut-être exacts, mais pourquoi cette déclaration en ce moment et pas à l'époque où tout le monde a su ? Fallait-il le scandale DSK pour délier les langues ? Je crains que cela devienne un concours : une révélation sur la gauche, une sur la droite, une sur la gauche… On n'a pas fini de prendre des noms en pleine figure : la délation risque de devenir un sport national sous des prétextes d'assainissement moral. Ceci dit, il serait temps que les hommes de pouvoir cessent d'agir comme s'ils avaient tous les droits en prenant les autres pour des choses. »
sprinkleur : « Nous avons un ministre en place qui s'est vanté d'avoir fait du tourisme sexuel en Thaïllande et exerce toujours. Quant à Rachida, Madame la Morale, a-t-elle dénoncé ses frères ? »
ACHILLE 08 : « Les politiques ne sont pas respectables, nous le savons. Qu'ils soient impunis pour leurs exactions, nous le savons, quant à Ferry en tant que ministre, il le savait. Pourquoi ce réveil tardif ? Allez les jeunes, au boulot : virez-nous ces vieux pervers et ces dégonflés qui disent Amen au chef. Prenez leur place et redorez notre blason. »
Hawk51 : « Dès lors que sa main, je veux parler bien sûr de celle de cet ancien ministre, est prise dans l'engrenage, il sera difficile de s'en sortir. C'est bien entendu aussi valable pour cette personne politique qui est mise en cause.
C'est toujours compliqué de s'arrêter de consommer quand on est pris d'addiction pour ce mode de vie, la pédophilie, a priori pratiquée, et dans ce cas-là, dans ce pays du Maghreb, si attractif et si complaisant sans doute pour ce genre de mœurs.
Donc, et si c'est vraiment avéré, il faudrait, en plus de ce politique qui doit faire partie de ceux qui ont dû faire récemment leur coming out via les médias, aussi faire payer tous les responsables de près comme de loin qui ont profité de ce drôle de commerce. »
Un mousquetaire de DSK attaque l'union/l'Ardennais
dudule 1° : « Il a peut-être besoin d'argent net d'impôt pour finir de payer la Porsche ! S'il n'a que ça à faire… »
source l'ardennais
Humour: Angéla Merkel
Chaque sortie sur l'axe Vermont, une mauvaise piste qui longe la rivière Tagab sur 60 km du nord au sud, constitue un défi. « Puisqu'ils n'osent pas nous affronter de face, les talibans placent des mines et des engins explosifs pour détruire nos véhicules ou tuer nos soldats », résume le capitaine Christophe, qui commande les sapeurs angevins déployés dans le district de Surobi, au sein du bataillon Richelieu.
Quitter la FOB Hutnik (une base avancée au sud de la vallée) pour rejoindre les avant-postes, tenus le long de la route Vermont par des sections du 2e Rima du Mans, ou pour patrouiller dans la « zone verte », la zone agricole densément peuplée qui longe la rivière, exige un « maximum » de précautions.
« On a un char AMX 10 RC en panne à huit kilomètres, annonce l'adjudant Loïc, du RICM de Poitiers. La QRF (une force de réaction rapide) va assurer le transport des mécanos et de la pièce de rechange ». Ce qui pourrait n'être qu'une sortie de routine prend des allures d'opération majeure. Le convoi rassemble huit blindés, des VAB éprouvés par les mauvaises routes et un rythme d'enfer mais solides, dont trois sont armés de canons de 20 mm. Quatre kilomètres sans histoire sur l'axe Vermont puis le convoi s'arrête à hauteur du CP 47, un poste de combat isolé qui domine la zone verte et la route.
« On attend. La route devant semble piégée. Une équipe de déminage américaine est en route », explique l'adjudant. Une heure et demie d'attente, à l'ombre des VAB où les servants des canons et des mitrailleuses cuisent doucement. « Il y en avait deux », lâchera l'adjudant avant de donner l'ordre de reprendre la route. Deux IED, des engins explosifs artisanaux mais meurtriers installés quelques heures auparavant, entre deux passages de convois français.
Les attaques des talibans
Deux jours plus tôt, au tout début de l'opération Colmar, un autre IED avait tué un sapeur du 13e RG. Le détachement d'ouverture d'itinéraire piégé (DOIP) avait repéré une buse suspecte que le 1re classe Loïc Roperh est allé inspecter. La charge, capable de détruire l'un des lourds blindés Aravis du DOIP, a pulvérisé le jeune soldat. Deux semaines plus tôt, c'était un VAB du 2e Rima qui avait été détruit par un IED : un mort et neuf blessés chez les Français.
En mars, un AMX 10 RC a été éventré par une charge : « Les trois gars de l'équipage s'en sont sortis, raconte Guillaume, entre deux cahots. Brûlés au visage mais vivants ». Et son camarade Anthony, le servant du canon de 20 mm, d'ajouter : « Les talibans savent qu'ils n'auraient aucune chance contre nous s'ils nous affrontaient à la loyale.
C'est pourtant ce qu'ils devraient faire. On a des comptes à régler avec eux ».
La guerre des mines dans la vallée de Tagab va au-delà du simple harcèlement. Il s'agit pour les talibans de couper l'axe Vermont, appelé à devenir une « Main Supply Road », une route d'approvisionnement stratégique entre le Pakistan et la base de Bagram (lire ci-dessous).
La poursuite des travaux de réhabilitation de la piste au fond de la vallée et les attaques talibanes quotidiennes sur cet axe expliquent pourquoi le district de Surobi n'a pas été confié aux Afghans, alors que le reste de la province de Kaboul va l'être au 1er juillet. « La transition viendra en son temps », temporise le général Townsend, de la 101e division aéroportée à laquelle est rattachée la brigade française.
En attendant, le battle group (bataillon) Richelieu, auquel va succéder le battle group 15-2 (constitué par le 152e régiment d'infanterie de Colmar), compense son « sous-effectif par une sur-activité », de l'aveu même du colonel Heluin, qui commande les marsouins de Richelieu.
« Mes hommes tiennent des postes avancés, montent la garde..., alors que tous les moyens devraient être mis sur les opérations dans la vallée et sur la sécurisation de l'axe Vermont ».
Malgré tout, les marsouins marquent des points : « Face à vous, leur a dit le colonel, le 8 mai, jour de la Victoire, l'ennemi a partout reculé ».
source ouest france
Les déclarations de Luc Ferry, accusant de pédophilie un ancien ministre, sans le nommer, ont suscité des réactions indignées dans la classe politique, qui met en garde contre une « chasse aux sorcières ».
« Attention à ne pas nous lancer dans une chasse aux sorcières »
« Attention à ne pas nous lancer dans une chasse aux sorcières incontrôlée. » Dominique de Villepin a mis en garde les acteurs politiques, après les accusations de Luc Ferry accusant de pédophilie un « ancien ministre », sans le nommer.
« Face à la loi du scandale, il serait bon que la droite et la gauche puissent s’entendre sur une règle commune, de façon à respecter la présomption d’innocence, tout en tenant compte des conséquences que ces affaires peuvent avoir dans l’opinion publique », insiste l’ancien Premier ministre.
« Ne pas faire croire que l’univers politique ne regroupe que des dépravés sexuels »
Les accusations du philosophe ont suscité des remous dans toute la classe politique. Si elle se félicite que l’affaire DSK a permis de libérer la parole, Cécile Duflot redoute le pire.
« Il ne faudrait pas tomber dans l’excès inverse en croyant que l’univers politique ne regroupe que des dépravés sexuels », explique la patronne d’Europe Ecologie-Les Verts.
« Des affaires crapoteuses et nauséabondes »
« On est tombé dans le caniveau, on est en train de dériver à l’anglaise. Je ne veux pas que la politique française se résume à ce genre d’affaires crapoteuses et nauséabondes », regrette aussi André Vallini, député PS.
Henri Guaino, conseiller spécial du chef de l’État, a dénoncé un climat « détestable », redoutant « un grand déballage » qui finisse « par sombrer dans l’ordre moral ».
Luc Ferry entendu par la police ce vendredi
Luc Ferry était entendu ce vendredi par la police comme témoin après l’ouverture par le parquet de Paris, mercredi, d’une enquête préliminaire. Le philosophe a déjà prévenu, sur LCI, qu’il ne « lâcherait » aucun nom.
Le ministre de la Justice, Michel Mercier, a affirmé hier qu’il n’avait donné aucune instruction. « Je ne suis pas du tout à l’origine de cette enquête », a-t-il assuré, expliquant que le procureur de Paris avait pris seul cette décision.
source ouest france
Humour:les prostituées manifestent et Ferry se manifeste
Réunis à Pigalle (XVIIIe arrondissement), les manifestants, dont certains étaient masqués, se sont dirigés peu après 15 heures vers la place de la République (Xe). Marchant derrière une banderole qui proclamait "Clients pénalisés, prostituées en danger", ils scandaient : «On paie des impôts, c'est donc bien un vrai boulot»" ou «Je suis majeur, j'ai toutes mes dents, touche pas à mon client».
source le parisien
La scène du crime, le soir du drame, à Ajaccio, le 6 février 1998. Lundi, la reconstitution aura lieu à huis clos. la cour d'assises constitue une victoire pour la défense, qui le demandait depuis 2007.
Une reconstitution de l'assassinat du préfet Érignac aura lieu lundi prochain à Ajaccio. Le médecin légiste qui avait procédé à l'autopsie de la victime, ainsi que deux experts balisticiens, seront présents à cet acte de procédure qui sera effectué à huis clos. Pierre Alessandri, condamné à la perpétuité en 2003 pour sa participation au crime, devrait apporter son concours - il a donné son accord de principe, contrairement au chef supposé du commando, Alain Ferrandi.
Les avocats d'Yvan Colonna réclamaient cette reconstitution depuis le premier procès de 2007: la décision de la cour constitue donc pour eux une victoire, qui clôt une séquence échevelée. Depuis vendredi, et la divulgation d'une photocopie présentée comme une lettre menaçante de M. Colonna à M. Alessandri, la défense est apparue fébrile et désordonnée, puis pugnace et ressoudée autour de Mes Dupond-Moretti et Dehapiot.
Elle a engrangé des éléments intéressants. Un spécialiste en téléphonie, certes poliment contredit par un confrère, met en doute le scénario retenu par l'accusation: selon M. Agnel, expert réputé qui a étudié, mandaté par la défense, les bornes activées par le portable du guetteur Didier Maranelli le soir de l'attentat, il est «impossible» que ce dernier soit arrivé sur place par l'itinéraire qu'il a présenté aux enquêteurs.
Un ancien fonctionnaire des Renseignements généraux d'Ajaccio a, d'autre part, contredit le dogme âprement défendu par les hauts responsables policiers, selon lequel l'apparition du nom d'Yvan Colonna en mai 1999 comme tireur avait stupéfait les limiers de l'antiterrorisme. D'après M. Colombani, le berger de Cargèse était soupçonné d'avoir pressé la détente dès décembre 1998, il avait d'ailleurs été espionné pendant plusieurs mois, début 1999 - lui-même s'étant chargé d'écoutes téléphoniques apparemment favorables à l'accusé mais ne figurant pas au dossier.
Mercredi, la cour a entendu deux témoins attestant la présence d'Yvan Colonna dans son village, tard dans la nuit du 5 septembre 1997. Or, l'attaque de la gendarmerie de Pietrosella, prélude à l'assassinat du préfet, a été conduite le 6 entre minuit et 1 h du matin, horaire peu compatible avec une soirée à Cargèse…
Paul Donzella y tient un restaurant. En 2005, M. Colonna se souvient que, ce fameux 5 septembre 1997, il avait dégusté, avec son fils, une pizza dans l'établissement. Le tenancier confirme: il se remémore ce client parce que c'était «le seul nationaliste présent ce soir-là». À la barre, il maintient mordicus. Insolent comme un page, M. Donzella affirme avoir été rudoyé par le commandant Lebbos, policier controversé, qui aurait orienté la teneur de sa déposition. Comme le président s'étonne de ce qu'il ne s'en soit pas plaint plus tôt, il s'entend répondre: «Je vends des entrecôtes, je fais pas des procès-verbaux.»
Témoin de la dernière heure, Paul Donzella? Sans doute. Mais témoin embarrassant pour le ministère public, qui n'a pas grand-chose à se mettre sous la dent pour prouver la présence de l'accusé à Pietrosella, hormis les déclarations - discordantes pour ces faits - des membres du commando. L'avocat général Plantevin entreprend de déstabiliser M. Donzella, pointant des appels entre sa ligne téléphonique et celle du domicile de Stéphane Colonna, frère d'Yvan, mais le pizzaïolo a le verbe plus vif que la mémoire et il met les rieurs de son côté. L'échange est pour lui.
Le verdict approche. Lors des deux précédents procès, le kilo de plomb des dénonciations fournies en garde à vue par les conjurés et leurs compagnes a pesé plus lourd que le kilo de plumes glané par la défense dans les coulisses glauques de la procédure. Reprise de l'audience publique mercredi prochain.
source lefigaro
Nicolas Sarkozy ne croit pas à la «campagne non-violente» que lui a promise Jean-Louis Borloo.
Même pas peur ! Les députés Nouveau Centre reçus mercredi soir par Nicolas Sarkozy pour un avertissement en bonne et due forme affirment que les menaces du chef de l'État ne les dissuaderont pas de soutenir la candidature de Jean-Louis Borloo en 2012.
Pendant près d'une heure et demie, ils ont pourtant eu droit à «du grand Sarkozy», pour reprendre l'expression de l'un d'entre eux. Le président a joué sur tous les registres. Complice : «Vous voulez faire une confédération ? Je ne peux pas vous en empêcher. Mais est-ce que ça impose un candidat ?
(…) Les généraux vous emmènent au combat, mais c'est vous qui payez dans vos circonscriptions !» Didactique, en réponse au député du Lot-et-Garonne Jean-Dionis du Séjour, qui mettait en doute la pertinence de sa stratégie du candidat unique : «Le RPR et l'UDF, c'est terminé, c'est la mécanique pour perdre.» Vertueux : «Je ne dirai pas de mal de Jean-Louis Borloo, je ne dirai pas, comme certains le font, qu'il ne bosse pas. Il bosse beaucoup !»
Nicolas Sarkozy ne croit pas à la «campagne non-violente» que lui a promise l'ex-ministre de l'Écologie. Jean-Louis Borloo sera «obligé» de cogner, il en est sûr, et il en tient la preuve : «Ça commence à peine que déjà Jean-Louis me conseille de ne pas me présenter !» «Vous pensez vraiment que vous allez être devant moi ?», a-t-il demandé aux supporteurs du président du Parti radical.
Avec Hervé Morin, le patron du Nouveau Centre, le président a pris moins de précautions. L'ex-ministre de la Défense n'étant pas là, ses troupes se sont vu apostropher : «Et Morin, ça fait un chef ? Il n'a même pas le courage de venir avec vous !» Le président ne lui pardonne pas son livre, «dont chaque page est un tissu d'injures à (son) encontre».
Au-delà de la violence des mots, c'est surtout sur la précision des menaces que Nicolas Sarkozy comptait pour refroidir les ardeurs présidentielles des centristes.
Il a été clair : tous ceux qui participeraient à une «primaire» contre lui en mai 2012 auront une «primaire» contre eux aux législatives, en juin. «On sera une cinquantaine de députés sortants, réplique l'un d'eux. Pas sûr que l'UMP trouve des volontaires pour se présenter contre nous, au risque de faire gagner le Front national.»
source le figaro