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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 09:56
La championne d'athlétisme s'était rebellée lors d'une interpellation en 2006 à Saint-Denis. Elle avait mordu des policiers, les accusant de l'avoir maltraitée. A la suite de cette affaire, elle avait saisi l'IGS, la police des polices, qui n'a établi à ce jour aucune violence illégitime des policiers.

Eunice barber

 

Au cours de cette rébellion, elle a mordu des policiers, qu'elle accuse de l'avoir maltraitée.
Quelques jours après son interpellation tumultueuse, le 18 mars 2006, près du Stade de France à Saint-Denis, la quintuple médaillée française (hepthatlon et saut en longueur aux championnats du monde entre 1999 et 2005), âgée aujourd'hui de 34 ans, avait saisi l'IGS (la police des polices).

Ethique policière en question


Connue pour son fort caractère, cette sportive avait alors publiquement dénoncé la violence des agents, les accusant de n'avoir "pas respecté l'éthique policière" et confié sa détermination à vouloir "témoigner pour des individus qui se font tabasser comme ça".
A ce jour dans cette affaire, seule Eunice Barber a été mise en examen et renvoyée devant la justice : aucune violence illégitime (de la part des policiers) n'a été établie par l'enquête IGS ou retenue par le juge d'instruction.
La spécialiste de l'heptathlon avait été interpellée alors qu'elle s'était engagée au volant de sa voiture dans une voie exceptionnellement interdite près du stade. La championne d'origine sierra-léonaise, qui transportait sa mère et un jeune neveu, affirme n'avoir pas compris l'injonction de l'agent de la circulation. source"le nouvel observateur"
 
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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 09:43
  • .AFP/DEMARTHON
  • La nouvelle chef du PS devra contenir les ambitions de sa rivale.

    Elle lui a réservé ses premiers mots de nouvelle chef du PS, et son deuxième rendez-vous. Comme elle l'avait proposé mardi soir à la Mutualité à Paris après la confirmation de son élection, Martine Aubry a reçu mercredi Ségo­lène Royal Rue de Solferino. Auparavant, la nouvelle patronne du parti s'était rendue au congrès des maires de France. Avec un message : le PS est de retour. «Nous, les maires, sommes le premier recours des Français face à la politique de Nicolas Sarkozy», a-t-elle lancé.
  • Son premier geste de première secrétaire, elle l'a réservé à l'association Droit au logement, condamnée lundi à 12 000 euros d'amende, et dont elle a demandé l'amnistie au premier ministre. Il en faudra sans doute plus pour remettre d'aplomb un Parti socialiste éreinté par la séquence fratricide du congrès de Reims. Après avoir été accueillie Rue de Solferino par François Hollande, qui a confié son soulagement d'avoir enfin trouvé «une successeure», Martine Aubry s'est entretenue avec Ségolène Royal dans son nouveau bureau de première secrétaire. «On a travaillé dans un très bon état d'esprit, très constructif», a assuré la présidente de Poitou-Charentes à sa sortie.
  •  Les deux femmes ont évoqué «l'organisation d'un grand parti politique de gauche que les Français attendent au combat et au travail», selon Ségolène Royal, qui attend désormais les propositions de Martine Aubry. «C'est très important qu'il y ait un accord politique de fond sur le changement en profondeur du PS et son ouverture vers les Français», a dit l'ex-candidate.
  •  Toutes deux doivent se revoir samedi. «Sans majorité, ni minorité» Aubry a laissé la porte ouverte aux royalistes dans sa nouvelle équipe de direction. «Nous ne faisons pas de la politique de la même manière, elle a défendu une autre ligne politique» mais elle est entourée de «gens compétents» qui ont leur place dans la future direction, a assuré Aubry.
  •  Reste que la constitution de son équipe s'avère compliquée. Chez les hollandais, Michel Sapin plaide pour une direction large «sans majorité, ni minorité». Du côté de Benoît Hamon, qui avait appelé à voter pour la maire de Lille après son élimination au premier tour du vote pour le premier secrétaire, on assure qu'il n'est pas automatique d'entrer dans l'équipe de direction. D'autant que, contrairement à ce qu'avait assuré Martine Aubry mardi soir, on soutient qu'aucun texte commun n'est à l'étude entre la nouvelle première secrétaire, Bertrand Delanoë et l'aile gauche du PS. Tout juste Benoît Hamon se risque-t-il à livrer un conseil pour diriger le parti : «Faire comme Nicolas Sarkozy ou Margaret Thatcher avec leur camp : revenir aux fondamentaux.
  •  Back to basics : les salaires, la construction européenne, les services publics.» Outre remettre le parti au travail, Aubry devra aussi gérer les ambitions présidentielles de Royal, qui représente la moitié du parti. Or, durant la campagne du congrès, les deux femmes se sont opposées sur de nombreux points comme la conception du parti ou le périmètre des alliances. Alors, Olivier Besancenot ou François Bayrou ? Ségolène Royal avait promis une convention nationale pour trancher la question si elle était élue.
  •  Martine Aubry s'est toujours opposée à des alliances nationales avec le MoDem. De son côté, Benoît Hamon se voit déjà dans le rôle d'interlocuteur de l'extrême gauche. «J'espère que tôt ou tard, avec Besancenot, nous nous reparlerons. Un de mes rôles au PS sera de faire en sorte que toute la gauche se parle», dit-il.
  •  Forte de ses presque 50 %, Royal est déterminée à peser sur les décisions de sa rivale. En clair : qu'Aubry aille dans le sens de Royal et cette dernière l'aidera, sinon, elle restera dans l'opposition interne et développera ses idées via son association, Désirs d'avenir.
  •  De quoi faire de l'ombre à l'action d'Aubry. Dans son entourage, on veut croire que non : «C'est Martine qui a désormais les cartes en main. C'est elle qui va donner le ton.» source:"le figaro"
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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 09:26
  • .En proposant ce projet, la ministre du Logement, Christine Boutin, a déclenché un tollé des associations.

 

Alors< que trois SDF viennent de mourir ces derniers jours dans la région parisienne, Nicolas Sarkozy a longuement commenté ces drames devant le Conseil des ministres mercredi, estimant notamment que le gouvernement avait «le devoir et la responsabilité» de «ne pas laisser mourir les sans-domicile-fixe de froid». Une déclaration qui fait directement écho aux engagements qu'il avait pris lors de sa campagne présidentielle.
 En décembre 2006 notamment à Charleville-Mézières, le président de la République avait fait la promesse que «d'ici à deux ans, plus personne ne serait obligé de dormir sur le trottoir et d'y mourir de froid». Selon le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, Nicolas Sarkozy a donc rappelé mercredi qu'il fallait faire en sorte que les SDF «puissent aller dans ces centres d'hébergement, recevoir un repas, être logés». «Ensuite, ils peuvent prendre la liberté de quitter ce centre d'hébergement», a poursuivi le porte-parole en indiquant : «C'est à Christine Boutin de voir comment les associations peuvent travailler avec nous sur ce sujet.»
 
 Devant ses collègues en Conseil des ministres, cette dernière a tout d'abord précisé qu'il existait «une offre d'hébergement» qui n'était «pas complètement utilisée». «Ces derniers jours, il y avait chaque nuit des places d'hébergement qui étaient disponibles», a indiqué la ministre du Logement qui a par ailleurs précisé que non loin du bois de Vincennes, où vivent nombre de SDF, il était resté 40 places libres en hébergement d'urgence, le week-end dernier, dans le XIIe arrondissement.
 
 Puis s'exprimant un peu plus tard sur le même sujet, Christine Boutin a annoncé à l'Assemblée nationale qu'elle s'engageait «à lancer une étude de façon à ce qu'on examine l'hébergement obligatoire des sans-abri lorsqu'on sera en dessous de - 6 °C». Ces déclarations ont aussitôt déclenché un tollé des associations de soutien aux sans-domicile-fixe. «Ce serait une grave régression», a ainsi jugé Xavier Emmanuelli, le fondateur du Samu social. Patrick Doutreligne, secrétaire général de la Fondation Abbé-Pierre, a jugé que «Mme Boutin a dit une grosse bêtise».
 «Nous sommes furieux», a-t-il déclaré. «On ne peut rester inactif» De son côté, Jean-Baptiste Legrand - le frère d'Augustin -, des Enfants de Don Quichotte, est revenu sur le sort des SDF dans les centres d'hébergement : «C'est compliqué de comprendre pourquoi les gens ne veulent pas aller dans les gymnases ? Allez au centre Yves-Garrel, dans le XIe, vous comprendrez…», a-t-il lancé tout en fustigeant les objectifs des pouvoirs publics.
 
 «Le gouvernement est prêt à payer des flics pour patrouiller dans le bois de Vincennes mais pas des travailleurs sociaux pour accompagner les gens et les sortir de la misère.  » Jointe par Le Figaro, Christine Boutin a réagi à propos de ce tollé. «La question est de savoir jusqu'à quel moment on doit respecter la liberté des gens qui mettent leur vie en danger. Poser la question n'est attentatoire à personne», a-t-elle indiqué en ajoutant : «on ne peut rester inactif quand surviennent trois morts. J'ai seulement parlé de l'annonce d'une étude. Il faut savoir garder raison.» source:"le figaro"
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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 08:53

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Un peu de lumière sur ce blog

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 08:48
Dailymotion sous la coupe du CSA ?

Décidément, la loi sur la réforme de l'audiovisuel regorge d'amendements-surprise. Le dernier en date est sorti du chapeau par Frédéric Lefèbvre, député des Hauts-de-Seine.

Cet amendement n° 844 prévoit deux mesures principales :

- Tous les sites qui produisent des contenus audiovisuels quels qu'ils soient, même du contenu généré par les internautes, seraient soumis à la taxe pour le financement de la production audiovisuelle. française. En bref, les sites comme Dailymotion ou Wat par exemple, paieraient cette taxe réservée jusque là aux chaînes de télévision

- Ces mêmes sites seraient par ailleurs soumis à la compétence du Conseil supérieur de l'audiovisuel afin qu'il "veille à la protection de l'enfance et de l'adolescence et au respect de la dignité de la personne dans les programmes mis à disposition du public". Pour cela, explique-t-il dans l'exposé des motifs, il s'agirait de prolonger "à l'égard des contenus audiovisuels mis en ligne sur les sites Internet le dispositif d'encadrement des programmes en télévision notamment structuré autour du dispositif de la signalétique".

Concrètement, on peut imaginer une mention "tout public" ou "interdit aux moins de 16 ans" sur chaque vidéo dailymotion postée... Pas vraiment convaincant.

D'ailleurs, l'Association des Services Internet Communautaires (ASIC), qui regroupe les grands acteurs français de l'internet (dont AOL, Dailymotion, Google, PriceMinister ou Yahoo!), est aussitôt montée au créneau pour dénoncer un amendement qui "témoigne d'une vision rétrograde d'Internet et met en péril le développement d'un modèle de gratuité pour l'utilisateur, modèle dont la publicité est le seul carburant". Cet amendement serait "un frein brutal au développement des acteurs de l'économie numérique française".source Arrêt sur image
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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 06:27
Adopté mercredi en commission à l'Assemblée nationale, l'amendement "permettrait de dégager 50 millions d'euros de rentrées fiscales dans le
budget de l'Etat", explique son auteur. ; Un amendement propose de soumettre les propriétaires d'ordinateurs récents à la redevance TV. (c) Reuters Un amendement propose de soumettre les propriétaires d'ordinateurs récents à la redevance TV. (c) Reuters
"Cet amendement permettrait de dégager 50 millions d'euros de rentrées fiscales dans le budget de l'Etat", explique son auteur, le député Jean Dionis du Séjour (Nouveau centre) après son adoption mercredi en commission à l'Assemblée nationale.

"Il est anormal que des personnes privées qui ont accès aux programmes des services nationaux de télévision grâce à leur ordinateur ou un autre dispositif ne soient pas assujetties à la redevance audiovisuelle", argumente le député-maire d'Agen.
Cet amendement ne concerne pas les propriétaires d'un ordinateur trop vieux pour recevoir la télévision.

50 millions attendus

"La redevance audiovisuelle constitue l'impôt le plus légitime pour compenser la perte de recette de France Télévisions. Or la période économique que nous traversons ne permet que difficilement d'en augmenter le montant, pour des raisons évidentes de pouvoir d'achat", ajoute le député.

Les 50 millions attendus permettraient "de baisser le montant des taxes prévues" dans le projet de loi, dont l'examen va reprendre mercredi après-midi.

Jean Dionis du Séjour (partenaire de l'UMP) s'oppose à ces deux taxes.
Le projet de loi prévoit une taxe modulable sur les recettes publicitaires des chaînes privées pouvant varier entre 1,5% entre 3%.
Il prévoit aussi de moduler la taxe de 0,9% sur le chiffre d'affaires des opérateurs télécoms   source:"le nouvel observateur"
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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 05:47
.Imad Lahoud.
Alors qu'il niait tout en bloc, l'informaticien déclare dans une interview au Point avoir lui-même falsifié les fameux listings mettant en cause des personnalités. Et implique également l'ancien patron des RG, Yves Bertrand.

 

 Est-ce l'aveu d'un homme «épuisé» comme il se présente ou une énième tentative de noyer le poisson ? Toujours est-il qu'Imad Lahoud, l'un des protagonistes de l'affaire Clearstream, a reconnu pour la première fois avoir lui-même ajouté le nom de Nicolas Sarkozy dans les fameux faux listings.

 Et ceci dans le bureau même d'Yves Bertrand, alors patron des RG, révèle-t-il au Point à paraître jeudi. Faux, répond Yves Bertrand, qui a immédiatemment annoncé son intention de porter plainte contre l'hebdomadaire. L'affaire Clearstream de «dénonciation calomnieuse» tient en haleine le monde politique depuis 2004. Après quatre ans d'enquête les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons ont mis un point fina à leur instruction le 17 novembre dernier en renvoyant Imad Lahoud, en compagnie notamment de Jean-Louis Gergorin, devant le tribunal correctionnel de Paris pour «dénonciation calomnieuse» et «faux et usage de faux».

 Les juges soupçonnent Jean-Louis Gergorin, ex-vice-président d'EADS et l'informaticien Imad Lahoud qu'il aurait lui-même recruté en 2003, d'avoir falsifié des listings de la chambre de compensation luxembourgeoise Cleastream. Ces documents accusaient à tort des personnalités politiques d'avoir touché des rétrocommissions dans l'affaire des frégates de Taïwan, au premier rang desquelles Nicolas Sarkozy.

 L'ancien premier ministre, Dominique de Villepin, également renvoyé en correctionnelle, est suspecté d'avoir organisé une manipulation pour déstabiliser celui qui était alors ministre de l'Intérieur. La révélation d'Imad Lahoud est un revirement à 180 degrés dans sa défense . L'informaticien s'est toujours défendu bec et ongles devant les enquêteurs d'avoir fabriqué les faux listings. Mais il s'accuse aujourd'hui de falsification, mouillant au passage l'ancien directeur des Renseignements généraux Yves Bertrand qu'il dit avoir rencontré «six fois».

 Aux journalistes du Point, il soutient : «La dernière fois que j'ai vu Bertrand, c'était dans son bureau, pour ajouter le nom de Sarkozy sur les faux listings. C'est le seul nom que j'ai ajouté. C'était en présence d'une troisième personne, dont je préfère pour l'instant taire l'identité». Pour étayer cet aveu soudain, Lahoud jure que «tous ces rendez-vous figurent» dans ses «agendas électroniques, qui ont été saisis dans l'affaire Clearstream». Et regrette : «Malheureusement, les juges n'ont jamais pris la peine de regarder si le patron des RG y apparaissait».

 Et pour justifier cette surprenante volte-face, Lahoud confie qu'il est un homme «fatigué, épuisé». Il dit s'être «enferré dans une défense sans issue où je niais tout en bloc». Yves Bertrand éclaboussé Dans l'enquête Clearstream, Lahoud a beaucoup évolué dans ses déclarations expliquant avoir rencontré à deux reprises Nicolas Sarkozy. Au vu de ces nouvelles révélations, le parquet a la possibilité de demander la réouverture de l'enquête.

 Mais une source judiciaire indique : «Ce dossier se règlera devant le tribunal, les déclarations d'Imad Lahoud ne changent rien en l'état puisqu'il est déjà renvoyé devant le tribunal». Eclaboussé par la révélation d'Imad Lahoud, l'ancien directeur central des RG Yves Betrand a démenti tout contact avec lui, dans un entretien téléphonique avec Associated Press. «Imad Lahoud dit m'avoir vu six fois. C'est 100% faux», s'est indigné Yves Bertrand dont 23 carnets, saisis dans le cadre de l'affaire Clearstream, ont été versés ces derniers jours aux avocats du procès de l'Angolagate.

 «Je n'ai rien à voir avec Clearstream», a-t-il ajouté. «Non seulement je ne l'ai jamais vu dans mon bureau mais je ne lui ai donné aucune instruction», a-t-il martelé estimant qu'Imad Lahoud serait bien en peine de décrire son bureau. C'est pourquoi il a annoncé qu'il allait porter plainte en diffamation contre Le Point. Mais dans les carnets d'Yves Bertrand, que Le Figaro a pu consulter, le nom d'Imad Lahoud est mentionné en mai 2001. Il est présenté comme un riche Libanais, qui s'est converti au judaïsme pour se marier. A la fin du passage le concernant, Yves Bertrand écrit «pourrait wer c LJ», ce qui a été interprété comme «pourrait travailler contre Lionel Jospin».

 La mise en cause d'Yves Bertrand par Imad Lahoud intervient également alors que celui-ci fait l'objet d'une plainte de Nicolas Sarkozy. Partie civile dans l'affaire Clearstream, le chef de l'Etat accuse l'ancien patron des RG de dénonciation calomnieuse pour avoir consigné dans ses carnets et utilisé des informations privées et non vérifiées.source:"le figaro"

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 05:30

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Bon jeudi

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 19:01

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Bonne soirée

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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 16:31
 Ségolène Royal a assuré aujourd'hui, à l'issue d'un entretien d'une heure avec sa rivale victorieuse Martine Aubry au siège du PS qui s'est déroulé selon elle dans une "très bonne ambiance", qu'elle attendait "les propositions" de la nouvelle première secrétaire.
Les deux responsables doivent se revoir samedi, a indiqué Mme Royal à la presse.

Il faut se mettre "très rapidement au travail", a encore déclaré l'ex-candidate à la présidentielle en quittant la rue de Solférino.

"On a travaillé dans un très bon état d'esprit, très constructif", a poursuivi Mme Royal. "J'ai rappelé à Martine que 50% des militants avaient exprimé une volonté très, très forte de transformation du parti"

A été évoquée, toujours selon Mme Royal, "l'organisation d'un grand parti politique de gauche que les Français attendent au combat et au travail", ce que la nouvelle patronne du PS "a accueilli de façon positive".

"J'attends ses propositions pour savoir sur quelle base nous allons travailler au service des Français", a observé Mme Royal. "C'est très important qu'il y ait un accord politique de fond sur le changement en profondeur du PS et son ouverture vers les Français".

"Sur cette base-là, nous déciderons la meilleure façon d'aider le PS à bien travailler", selon la présidente de Poitou-Charentes source:"le figaro"
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