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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 09:52
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Le Secours catholique souffre d'une forte baisse du montant des legs, qui représentent 20 à 25 % de son budget.

À un mois de Noël, les associations caritatives craignent des lendemains difficiles.

 Les associations caritatives et autres fondations en avaient pris l'heureuse habitude : c'est en fin d'année que les dons affluent le plus massivement. En cette période de crise économique, pourtant, le moral de certaines d'entre elles commence à battre un tantinet de l'aile
 Et, déjà, certaines élaborent de nouvelles stratégies pour inciter les Français à rester généreux en 2009. À un mois de Noël, les bonnes œuvres avouent être confrontées à une attitude particulièrement attentiste de la part des donateurs - petits et gros - alors même que l'été avait été marqué par une légère augmentation des versements. «Dès l'automne, note André Hochberg, président de France Générosités, les dons ont tardé à arriver, comme si les gens attendaient de voir ce qui allait se passer.
 On sait d'ores et déjà que les petits donateurs donneront moins cette année, certains d'entre eux comptant déjà parmi les nouveaux chômeurs de la crise.» Autre phénomène : en cas de contexte économique difficile, les Français ont de toute façon tendance à se rabattre sur des causes franco-françaises ou de proximité, et hésitent davantage à se tourner vers les ONG œuvrant à l'étranger. «Le fait que l'actualité se concentre essentiellement sur les difficultés rencontrées par les gens de la rue joue aussi énormément», relève Alexis Vandevivère, directeur de l'agence Adfinitas, spécialiste de la collecte de fonds.
 Conquérir un nouveau public Pour l'instant, l'Armée du salut comme la Croix-Rouge n'ont ainsi remarqué aucun recul dans les sommes récoltées. D'autres s'accordent à dire qu'il est encore trop tôt pour dresser quelque bilan, les membres les plus généreux attendant fin décembre-début janvier pour se plonger dans leurs comptes et envoyer leur chèque. Mais la crise financière a également eu quelque effet sur les subventions habituellement accordées aux organismes de solidarité.
 Le budget versé aux Cités du Secours catholique en 2008 a notamment pâti d'une «baisse de 400 000 euros par rapport à l'an passé», confie Jean-Marie Destrée, directeur du développement des ressources financières pour l'association. Certes, quelques-unes des plus importantes associations se sont mises à l'abri via les dons par legs collectés à l'avance. «Il s'agit de collectes plutôt pérennes qui garantissent un minimum de ressources et jouissent d'une certaine inertie.»
 Malheureusement, la chute du marché boursier est elle aussi passée par là et, aujourd'hui, le climat se veut beaucoup moins serein. «L'immobilier se vend moins bien et les portefeuilles d'actions ont fondu», se désole-t-on au Secours catholique, où les legs représentent 20 à 25 % du budget… Ailleurs, on espère beaucoup des dons par prélèvement automatique - qui protège plutôt bien de la crise - même si la formule séduit avant tout les petits donateurs. Mais, déjà, les acteurs du monde caritatif changent leur fusil d'épaule et s'apprêtent à conquérir un nouveau public pour 2009. À chacun sa méthode : mailings doublés, campagnes accélérées, opérations marketing…
Les responsables d'Enfants du Mékong, eux, préfèrent en revanche ne pas se détourner d'un procédé qui a, depuis toujours fait ses preuves. «Il arrive un moment où l'enveloppe et le petit morceau de bambou asiatique ne suffisent plus, note Christille de Soultrait. Nous préférons baser notre travail sur le contact humain et les rencontres en chair et en os.»
 L'association, qui aide à la scolarisation des enfants en Asie du Sud-Est, a récemment bénéficié de l'effet «50e anniversaire», qui lui a fait gagner 100 parrainages en une semaine. Hier, un collectif d'associations a toutefois tiré la sonnette d'alarme et prévenu que la crise faisait, déjà, émerger une nouvelle classe de gens dans le besoin. La Banque alimentaire, qui vient de lancer sa collecte annuelle, sert ainsi depuis la rentrée 100 000 repas de plus que l'an passé à des familles qui, jusqu'à présent, n'en avaient pas besoin. source  le"figaro"
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 09:44
 

Le président de l'hôpital d'Esquirol, situé près du bois de Vincennes, envisage de mettre une vingtaine de lits à la disposition des SDF qui "vivent dans des conditions inhumaines".

Environ 200 sans-domicile fixe vivraient dans le Bois de Vincennes (Sipa)

Environ 200 sans-domicile fixe vivraient dans le Bois de Vincennes (Sipa)

Le président de l'hôpital Esquirol de Saint-Maurice (Val-de-Marne), Christian Cambon, prévoit une solution d'hébergement pour les sans-abri du bois de Vincennes, situé en bordure de la commune. Il a demandé au directeur des Affaires Sanitaires et Sociales de la ville de Paris l'autorisation d'ouvrir rapidement une vingtaine de lits dans son hôpital.
Le président de l'hôpital également sénateur-maire UMP de Saint-Maurice, a "demandé au directeur des Affaires Sanitaires et Sociales de Paris de prendre ses dispositions pour que les personnels hospitaliers puissent être mis à disposition de l'hôpital", précise-t-il dans un communiqué.

Un appel aux maires riverains

"Situé au bord du bois de Vincennes, l'hôpital Esquirol pourra contribuer à offrir des conditions d'hébergement sécurisé à des sans-abri alors même qu'ils vivent actuellement dans des conditions inhumaines", a-t-il poursuivi.
A l'intention de ses homologues des communes voisines, il a lancé "un appel aux maires riverains du bois de Vincennes pour qu'ils puissent, à la mesure de leurs moyens, trouver des solutions qui accompagneront l'action de la Ville de Paris".
Six SDF sont morts ce dernier mois en région parisienne. Trois vivaient dans le bois de Vincennes.  source:"le nouvel observateur"
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 09:16
 Ils racontent…
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Encore sous le choc, vendredi matin, à l'aéroport de Roissy, les premiers français de retour de Bombay ont décrit des «scènes de guerre et de panique» dans la capitale économique indienne.

Ils étaient en train de prendre un verre, de dîner, ou s'attardaient dans leur chambre d'hôtel quand les premières rafales de mitraillettes ont été tirées.

: Leopold Café. «On était en train de manger quand notre attention a été attirée par plusieurs jeunes qui sont arrivés avec d'énormes sacs à dos sur les épaules», se souvient Johanna, 24 ans, une touriste française revenue vendredi à Paris.
 «Ils ont pris des armes dans leurs sacs, ont lancé trois grenades et ils ont tiré sur tout ce qui bouge avec leurs fusils mitrailleurs. Il y a eu tout de suite des morts», les tireurs «avaient le visage découvert», «paraissaient indiens» et «particulièrement jeunes». «Des gens sont sortis en courant, d'autres, comme nous, se sont cachés sous les tables.
 Ceux qui sont allés se réfugier dans les cuisines y sont passés.» Après «dix minutes sous le feu», Johanna sort avec son cousin, cherche un taxi, «mais il y avait trop de monde». Michael et Diane Murphey, un couple de retraités britanniques, sont moins chanceux. Ils sont depuis dix minutes au bar d'un Leopold Café bondé - «peut-être 100 personnes» - quand les premiers tirs claquent. Diane est touchée au pied, Michael prend une balle dans les côtes. «Nous avons dû attendre, ce qui nous a apparu des siècles, que la police arrive.
 Il y avait tant de blessés ! C'était un carnage !» Hôtel Taj Mahal. Andrew Beetina est au bar et boit une bière avec des collègues en attendant de décider où aller dîner. «On a entendu comme un plateau en métal tombant par terre. On a tous sursauté. Juste après, une fusillade éclate dans le lobby, à trois mètres. On plonge sous les tables et les chaises. Le personnel nous fait sortir. On se retrouve dans un restaurant, au premier.
 Puis dans un salon lambrissé avec du marbre. Pe ndant plusieurs heures, tout est calme. J'appelle ma femme, mon frère et des amis à Londres. Je réalise que la situation est grave. Autour de moi, environ 200 personnes utilisent leur portable. Au petit matin (vendredi) on a entendu différentes explosions. La tension est montée. On parle d'évacuation. Mais au moment de partir, plusieurs tirs retentissent. On se marche dessus, les uns sont projetés contre les murs, les autres heurtent le mobilier. On éteint les lumières. Trois énormes explosions résonnent, juste à côté.
 Le sol et le plafond tremblent. Mon cœur bat très fort. Je tends l'oreille mais ne perçois qu'un concert de toux, soupirs et sanglots. Je m'attends au pire : qu'un homme rentre et commence à tirer.» Ce sont les forces spéciales qui finalement arrivent. «Tout le monde debout. Mettez vos mains sur la tête, qu'on puisse vérifier que personne n'est armé. On se retrouve dehors, dans l'air du matin. On nous conduit à un bus. Mais des tirs surviennent. Une voie crie : “Démarre ! Démarre ! Démarre ! ” Le bus accélère. On se retrouve à un poste de police.» Hôtel Oberoi Trident. Alex Chamberlain, homme d'affaires britannique dîne avec un collègue quand les premiers tirs éclatent.
 «On a d'abord cru à un feu d'artifices. Un serveur a été blessé au bras. On s'est rué dans la cuisine. On est entre 30 à 40 et des hommes armés nous disent de monter les escaliers. Deux, trois étages plus haut, on nous dit de mettre les mains en l'air et un homme armé lance : Y a-t-il des Américains ou des Britanniques ici ? Montrez vos cartes d'identité, vos passeports ou vos cartes de crédits. “Ne joue pas au héros”, me chuchote mon ami, “ne leur dit pas que tu es britannique”, dis-leur que tu es italien.Au 18e étage, il arrive à s'échapper par une porte coupe-feu. “Il y a un homme armé quelques étages au-dessus ”, me dit-il.
 J'attends avec lui pendant vingt minutes derrière la porte coupe-feu, mais il y a trop de fumée. Je pense qu'on doit descendre les escaliers. J'appelle ma compagne, je lui dis que je l'aime. Je pense que c'est la dernière conversation de ma vie.» Alex Chamberlain et son collègue gagneront finalement le Lobby et parviendront à fuir l'hôtel. Alain Jones, homme d'affaires australien, arrive avec l'ascenseur au lobby du même hôtel. «Alors que la porte s'ouvre, on entend des détonations.
 Un Japonais, l'un des quatre occupants de l'ascenseur, est mortellement blessé. J'appuie frénétiquement sur le bouton pour fermer la porte, mais le pied de l'homme abattu empêche la fermeture…» Mark Abell, un avocat londonien, lui, se barricade dans sa chambre. Il raconte son calvaire sur son téléphone mobile à des journalistes qui l'interviewent : «Il y a des tirs et parfois des explosions. J'entends aussi fréquemment des gens courir dans les couloirs. Je n'ai pas assez de curiosité pour ouvrir la porte et regarder ce qui se passe. Je garde mon calme. J'ai parlé à ma femme et à mes enfants. Mes enfants ont apprécié d'avoir entendu leur père à la télévision.»
 

Descendu au Taj Mahal, l'homme d'affaires français Gilles Andrier dînait en compagnie d'une quinzaine d'analystes financiers dans le restaurant de l'Oberoi-Trident-Oberoi. «Heureusement, nous étions dans une zone de l'hôtel que les terroristes n'ont pas investie.

 

 

 On s'est demandé quelle était la bonne tactique, s'il fallait rester dans l'hôtel ou sortir. Finalement, on a réussi à s'échapper avant que les terroristes ne prennent le contrôle de l'hôtel. Il y avait des mouvements de panique dans la rue. Nous nous sommes réfugiés dans des bureaux où l'on a passé la nuit. D'autres personnes sont allées se cacher dans des parkings

source:"le figaro"

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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 05:49
 INTERVIEW - Le directeur du Super-U de Tarascon affiche en toute illégalité les photos des gens pris en flagrant délit de vol dans son magasin. Ses explications.
Le directeur du Super-U de Tarascon, Pierre Käppler, veille au grain. Comme le raconte La Provence jeudi  depuis deux ans, il affiche les photos des personnes (facilement reconnaissables) prises en flagrant délit de vol à la tire dans son magasin. Cela n'est pas autorisé, mais les images proviennent de ses caméras de surveillance.
 
 lefigaro.fr : Votre idée est-elle la seule solution que vous ayez trouvée pour lutter contre le vol à la tire ? Pierre Käppler : Je ne supportais plus que des gens viennent voler dans mon magasin. La mémé qui prend sa sucrette, le pépé qui embarque son café… Je n'en pouvais plus, alors j'ai décidé d'employer les grands moyens. Surtout que mon intégrité personnelle était en jeu : je passais mon temps à me battre pour qu'on arrête de me dépouiller. Alors, je ne dis pas que c'est la solution, mais aujourd'hui, je ne viens plus travailler avec la boule au ventre.
 
  Cela signifie-t-il que l'exposition des photos de voleurs fonctionne ? Cela fait deux ans que j'utilise cette méthode. Depuis, le nombre de vols a baissé de 20 à 30% dans mon magasin. Sur une perte annuelle de 50 à 60.000 euros à cause du vol, ça fait quand-même du bien
Vous savez que c'est illégal. Craignez-vous des sanctions ? Evidemment, j'ai peur du retour de bâton. Surtout depuis la récente médiatisation de mon histoire. Je sais bien que je ne suis pas à l'abri de la plainte d'une association quelconque, mais pour l'instant, cela n'a pas eu lieu.
 Les personnes qui sont montrées du doigt sur ces photos reviennent-elles dans votre magasin Jamais. Elles ont trop honte. D'autant que j'ai porté plainte de nombreuses fois en apportant mes cassettes à la police. C'est malheureux ce que je vais dire mais, allez voler ailleurs, pas chez moi !
Vous pensez que c'est votre rôle
Avec la crise financière, n'y-t-il pas eu une amplification des vols ces derniers temps ? C'est impressionnant. Ça mange, ça boit, ça vient se servir sous prétexte que ça ne peut pas dépenser d'argent… A tel point que je me serre la ceinture : depuis trois jours, j'ai pris un vigile. J'avais besoin d'avoir une certaine tranquillité d'esprit. Les gens se laissent aller totalement. C'est trop facile. Je suis obligé de virer trois employés parce que je ne m'en sors pas financièrement, et eux ils viennent se servir chez moi ! Je ne suis pas un libre-service.
Quand quelqu'un vient me demander une baguette parce qu'il a faim, je lui donne. Mais s'il vient la prendre, je ne suis pas d'accord. Et qu'on ne vienne pas me donner des leçons, j'ai fait trop de sacrifices pour cette entreprise source:"le figaro"
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 05:31
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L'arrivée à la Maison-Blanche du premier président noir a provoqué une vague de réactions racistes à travers tout le pays.

Trois semaines après avoir été sauvagement battu par des jeunes, Ali Kamara, vit dans la peur d'une nouvelle attaque. Le soir de l'élection, le jeune, originaire du Liberia, revenait de chez un ami, lorsque quatre hommes d'à peine 20 ans, l'ont tabassé à coups de batte de baseball sur la tête, le corps et les jambes, en criant «Obama». Deux d'entre eux ont été déferrés devant un tribunal et accusés de crime à connotation raciale, mais les deux autres courent toujours et Ali craint qu'ils ne cherchent à venger leurs copains.
 «Je sais qu'ils sont dans le coin et cela ne me rassure pas», confie l'adolescent de 17 ans, en montrant les blessures sur son crâne.>Ali, qui estime avoir échappé à la mort par miracle, préfère désormais rester dans son quartier à écouter du rap avec ses copains au pied de son immeuble plutôt que de s'aventurer trop loin. Pour lui, il ne fait aucun doute qu'il a été attaqué à cause de la couleur de sa peau.
 «Des jeunes qui n'ont rien dans la tête» Mais quand son beau-père parle de l'attaque, celui-ci préfère ne pas employer le terme de racisme de peur de provoquer la colère de la communauté noire, déjà remontée à bloc dans le quartier. «Ce sont des jeunes qui n'ont rien dans la tête, résume Ismaël Ladepo, en parlant des assaillants d'Ali. Ce qu'il faut retenir, c'est que l'Amérique, qui est en grande majorité blanche a élu un président noir, et ça, c'est un grand pas en avant», insiste-t-il.
 Beaucoup de Noirs à Staten Island parlent pourtant ouvertement de racisme latent dans ce borough qui se distingue autant politiquement qu'ethniquement du reste de la ville de New York. Dans un océan démocrate, Staten Island est le seul à avoir voté McCain le 4 novembre. Le quartier est composé à 77 % de Blancs, généralement des cols bleus issus de l'immigration allemande et italienne, avec des valeurs plutôt conservatrices.
 Par comparaison New York City est à 35 % blanche (27 % hispanique, 25 % noire, 12 % asiatique). Pour Mo Wilson, cela explique beaucoup de choses. C'est devant le salon de ce barbier sur Bay Street que les assaillants d'Ali ont commencé leur tournée des quartiers noirs en proférant des injures racistes. «Il y a des quartiers à Staten Island où t'es pas le bienvenu si tu es noir, il y a encore beaucoup de ségrégation ici.»
«Retourne en Afrique» À part un autre cas d'attaque violente, qui a coûté la vie à un homme d'origine équatorienne, les centaines d'autres attaques à connotation raciale répertoriées depuis le 4 novembre sont généralement verbales ou écrites, d'après le Southern Poverty Law Center, spécialisé dans les crimes raciaux.
 
  En Caroline du Nord, des étudiants ont écrit dans un tunnel «il faut tirer une balle dans la tête de ce négro», à Los Angeles, le message «Retourne en Afrique» a été peint sur des voitures et des maisons. Des jeunes ont chanté «Assassine Obama» dans un bus dans l'Idaho, et dans le Maine, un commerçant a même proposé de parier un dollar sur la date de l'assassinat d'Obama  source:"le figaro"
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29 novembre 2008 6 29 /11 /novembre /2008 05:24

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Bon samedi

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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 18:59

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Bonne nuit

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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 16:47

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Réformons

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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 16:40
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28 novembre 2008 5 28 /11 /novembre /2008 16:34

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C'est reposant

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