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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 15:15

 Revoir des cartes postales d'hier de nos chers Poilus sur la chanson de La Madelon.
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 15:03
Plus de 75 ans d'histoire militaire au Fort de Condé


Une centaines de bénévoles d'associations historiques françaises et étrangères participent à la reconstitution historique du Fort de Condé ce week-end. Ce week-end, le Fort de Condé à Chivres-Val est transformé en une vaste frise chronologique, qui s'étend de 1870 à 1945. Un voyage dans le temps, au cœur de l'histoire militaire.

1915. Les troupes du 67e régiment de Soissons ont dressé leur campement rudimentaire, à proximité de Vailly-sur-Aisne. Au loin, des tirs éclatent. Les soldats français sont assis en rond, autour du feu de camp encore fumant. Chacun vaque à ses occupations, toujours sur ses gardes. Les armes ne sont jamais très loin.

Les uns profitent de ce petit moment de répit — en retrait du front — pour relire du courrier de la famille. D'autres vérifient leur paquetage tout en avalant le contenu de leur gamelle… Une parenthèse d'histoire-réalité vécue hier, dans les travées du Fort de Condé, à Chivres-Val.

Une scène simple, banale de la vie de Poilus, qui permet de mieux se rendre compte de leur quotidien.
Un regard intimiste qui dévoile un aspect trop laissé sous silence dans les livres d'histoire.
Pour la 6e année consécutive, le fort de Condé se transforme, le temps d'un week-end, en un livre d'histoire ouvert sur près de 75 ans d'histoire militaire « de 1870 à 1945 ».
Zouaves, infanterie de ligne du Second Empire (XIXe siècle) Poilus, division écossaise, soldats allemands de la Première Guerre mondiale, soldats français de la Seconde Guerre mondiale…

Au total, plus d'une centaine de figurants — membres d'associations historiques locales (Éperon 132 de Crouy, Mémoire de la Grande Guerre de Soissons, Thiérache histoire vivante d'Hirson, Bleu horizon de Reims…), nationales (Fifty-first HD Mémorial, division écossaise ; Unif-Europ 19…) mais aussi allemandes et belges — participe à cette vaste reconstitution historique.
Des hommes et des femmes passionnées, dont l'idée fixe est « de restituer la vie de ses combattants, de ses infirmières… au détail près ».

Les costumes, les ustensiles, les véhicules, les armes, les paquetages… Rien n'est laissé au hasard.

Membre de l'association Thiérache Histoire vivante, Claude Mainon se transforme volontiers et, dès qu'il en a l'occasion, en lieutenant du 62e régiment d'infanterie de l'armée française : « Dès qu'on enfile l'uniforme, on se glisse dans la peau du personnage », note-t-il. Le vocabulaire change.
Les attitudes et la démarche aussi. Le voilà replongé près de 68 ans en arrière.

En déambulant dans les travées du fort, le spectateurs passe en revue un pan de l'histoire militaire. A chaque cour, une époque, une ambiance… Une visite qui prend une autre dimension, si l'on discute avec ces bénévoles passionnés, qui ponctuent leurs interventions d'anecdotes.
Alexandre Allard
 

 

De Soissons, de Hambourg ou d'ailleurs, les bénévoles d'associations historiques se glissent dans la peau des soldats français, allemands... ou britanniques.

Le Belge Dirck Schoeters s'est glissé dans la peau d'un soldat allemand de la 7e armée    .source: "l'Ardennais"
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 08:58



 
Bernard Blier est un acteur français, né à Buenos Aires le 11 janvier 1916 et mort à Paris le 29 mars 1989. Son père étant biologiste à l'Institut Pasteur et les aléas de son métier ont fait que le petit Bernard a vu le jour en Argentine

. De retour en France, la famille Blier s'installe à Paris où Bernard mène des études sans enthousiasme au lycée Condorcet. Abandonnant lentement ses études, il commence à prendre des cours de théâtre en 1931.

Il se produit pour la première fois sur scène en 1934 à La Ciotat devant une salle à moitié pleine pour un cachet de 50 francs. Ensuite, il s'inscrit au Conservatoire où il intègre la classe de Louis Jouvet. Après trois échecs, il est enfin reçu en 1937.

 C'est au conservatoire qu'il fait la rencontre de deux grandes personnalités qui resteront ses amis : François Périer et Gérard Oury. Il fait quelques apparitions au théâtre puis au cinéma jusqu'à Hôtel du Nord réalisé par Marcel Carné en 1938, avec Arletty et Louis Jouvet.

 Un bonheur ne venant jamais seul, au mois d'avril 1938, il épouse Gisèle qui lui donnera, le 14 mars 1939, le petit Bertrand. Il tourne ensuite Le jour se lève, en 1939, avec Jean Gabin.

 C'est le début d'une longue amitié entre les deux hommes. En juillet 1939, c'est le concours de sortie du Conservatoire. De l'avis général, Bernard réussit la meilleure prestation. Au même moment, la Seconde Guerre mondiale éclate.
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 08:27

kouchner en visite en avignon.
Toujours beau parleur,il aime bien ce genre de réunion où l'on discute beaucoup,pour ne pas dire grand- chose L'endroit où il doit se trouver le moins à l'aise, c'est quand il passe devant les caisses de l'état qui sont "VIDES"
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 08:16
Les activités ont repris
à l'Atelier


Elles ont fait leur rentrée avec plaisir.

 La rentrée à l'Atelier 25, rue du Petit Bois, a eu lieu mercredi.
Constitué en association, que préside Danièle Brossard, il comptait plus d'une cinquantaine d'adhérents adultes la saison dernière.

Son objectif est de promouvoir les arts plastiques dans les Ardennes.
Exception faite de l'activité peinture, l'association ne propose pas de cours, mais organise des animations ponctuelles par des artistes-intervenants.

Les adhérents partagent leurs compétences, créent en toute liberté dans une ambiance conviviale.

A l'Atelier, on pratique la gravure, la céramique, le dessin, la sculpture et la peinture.

La gravure, le jeudi de 9 h 30 à 12 heures et le mercredi de 14 à 17 heures.
La céramique, le jeudi de 16 heures à 19 heures.
Le dessin, le vendredi de 18 h 30 à 20 h 30.
La sculpture, le mercredi et le jeudi de 16 à 19 heures.
La peinture, animée par Monique Lorent-Lejeune, le mercredi de 13 h 30 à 17 h 30. La cotisation annuelle est de 60 €.

L'association organisera un stage d'utilisation des pigments animé par le peintre Philippe Marie les samedis 4 et 11 octobre.
L'Atelier ouvre ses portes du 16 au 18 octobre de 14 heures à 18 heures.
Par ailleurs, l'assemblée générale aura lieu le vendredi 3 octobre à 18 heures. Les nouveaux venus sont les bienvenus.

Renseignements et inscriptions sur place, 25 rue du Petit Bois ou htt ://latelier08.free.   source: "l'Ardennais"
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 05:54
caricature:sarkozy et l'affaire clavier
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 05:47

AFGHANISTAN. Des photos de soldats français tués lors de l'embuscade le mois dernier en Afghanistan, ont été trouvées sur un extrémiste présumé qui a été arrêté par la police afghane. Les photos numériques étaient stockées sur une clé USB qu'il portait sur lui lors de son arrestation. L'homme a été interpellé à Saroubi, la ville la plus proche du lieu de l'embuscade.
«Nous avons trouvé une clé USB sur lui. Elle contenait des photos de soldats français morts et de civils exécutés ou décapités par les talibans,» a déclaré le gouverneur du district de Saroubi Sayed Sulaiman.
Les soldats pouvaient être identifiés en tant que Français «d'après leurs uniformes», a-t-il ajouté.


D'autres photos trouvées montraient l'homme arrêté, identifié comme étant de nationalité pakistanaise, tirant une roquette et «entraînant des candidats à l'attentat-suicide».
Selon le gouverneur du district, «des documents et des indices indiquaient que cet homme envisageait un attentat-suicide». 

Une polémique est née ces derniers jours sur les circonstances précises de la mort de soldats, des journaux ou des témoignages de familles faisant état de plusieurs soldats égorgés. Le 18 août dernier, dix soldats sont morts et 21 autres blessés lors d'une embuscade tendue par les talibans à l'est de Kaboul. Le magazine français Paris Match a publié cette semaine des photos de talibans portant des uniformes de soldats français tombés au combat.  L'état-major des armées a indiqué qu'un seul des soldats était décédé d'une blessure à l'arme blanche.

Quant aux «examens médicaux des huit autres militaires tombés dans la vallée d'Uzbeen, ils montrent qu'ils ont été tués par balles ou éclats», a-t-il spécifié, rappelant que «le dixième soldat est mort le lendemain alors que son véhicule blindé, qui tentait de rejoindre les lieux des combats, s'est retourné dans l'effondrement d'une piste».

Leparisien.fr avec AFP

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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 04:55

Petite visite chez les artisans de Reims


Claudine Cocusse restaure des poupées comme on le faisait anciennement.

 Commençons notre circuit pédestre des artisans à travers Reims, avenue Jean-Jaurès. Au n° 57, une vitrine attire l'œil avec ses boîtes en bois et ses lapins de paille. Blandine Thevien est artiste peintre sur toile, mais également sur bois : « Je décape des meubles, je les peins et je crée des motifs à la demande des clients », explique-t-elle. Dans son atelier, on trouve une bibliothèque de livres d'art que le public peut venir consulter.

Puis en empruntant la rue Ruinard de Brimont, on se dirige chez le luthier François-Joseph Pommet, au 96 boulevard Saint-Marceaux, spécialisé dans la restauration de violons. « C'est un métier manuel à 90 %, indique-t-il. Je travaille avec des outils qui se rapprochent de ceux de l'ébéniste. »

Dans la boutique, un panneau explique la restauration d'un violon de Claude Aubert et le violon Quinton de Jean-Baptiste Dehays, datant du milieu du XVIIIe, est exposé.

La balade se poursuit en descendant le boulevard Saint-Marceaux et la rue Gerbert, pour arriver 92 rue des Augustins. Ici, la visite de l'atelier du maître verrier Bruno Pigeon n'est possible que pour les groupes. La création d'un vitrail commence par le dessin d'une maquette coloriée.

Le numéro de couleur de chaque pièce de verre y est indiqué. Le maître verrier coupe les verres à la roulette et pour assembler les pièces, il les sertit avec du plomb.

Reprenons la rue Gerbert, puis la rue du Barbâtre, celles de Contrai et du Jard. Au n° 7 rue de la rue Marlot, on découvre l'atelier de Claudine Cocusse. Là, céramiques, vaisselles, poupées ou ours en peluche attendent leur restauration. « Je travaille comme on le faisait anciennement. Il faut beaucoup de patience et de soin. » Pour réparer les objets souvent cassés, Claudine Cocusse utilise un mélange de colle et de porcelaine, puis ponce l'objet pendant plusieurs heures. Ensuite, elle peint plusieurs couches successives pour que l'objet retrouve son aspect d'autrefois
.
Au 32 rue Colbert, on rencontre un coutelier qui crée des couteaux sur mesure. La fabrication peut durer de cinq heures à une semaine. A l'origine, ce n'est qu'une barre laminée d'un mètre, elle est ensuite découpée au plus près de la forme du gabarit du couteau, puis mise en forme avec le backstand qui enlève la matière pour faire le tranchant.

La lame est trempée et chauffée à haute température puis refroidie subitement. Reste le polissage de la lame, le montage et façonnage du manche.
Direction ensuite le 69 rue Émile-Zola (remonter la rue de Mars et l'avenue de Laon).

Yves Laporte, 3e génération d'une famille de relieurs, « travaille pour des particuliers qui aiment des livres. » Toute la restauration se fait à la main : débrochage, amincissement au couteau de toile ou cuivre pour recouvrir le livre, couture des pages, reliure ou dorure  .source: "l'Ardennais
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 04:45
À Villers-Cotterêts, le traumatisme de la famille NoëlTémoignage


« Je pense qu'il vaut mieux que nous comptions sur notre assurance

 » Ils ne possèdent ni tableaux de maîtres, ni meubles de valeur. Ce sont de modestes retraités qui vivent dans une coquette maison à l'entrée de Villers-Cotterêts.

 Une courte et inhabituelle absence, quelques jours début juillet, a suffi pour que Roger et Marie-France Noël rejoignent la cohorte des victimes de cambriolage. Entre le 20 juin et la fin juillet, dix maisons du quartier ont été visitées.

« Nous nous apprêtions à passer à table avec nos amis quand notre fils nous a appelés. Il venait de découvrir les dégâts. Je pense qu'il était en pleurs. Nous n'avons pas pu manger. Nous sommes rentrés dès le lendemain matin », se souvient, avec émotion, Marie-France Noël.

Un volet forcé à l'arrière de la maison, à l'abri des regards. Une vitre cassée et les cambrioleurs sont passés à l'action.
« Ils ont tout vidé. Il était difficile de se frayer un chemin. Il a fallu des jours pour tout trier, tout ranger », raconte Roger Noël. Même la laine de verre, qui isolait une cheminée, a été retirée.

Le butin n'est pas extraordinaire : un écran d'ordinateur, un ordinateur portable, un téléphone, des bouteilles d'alcool… Il a fallu remplacer deux portes défoncées, le volet et le double vitrage.

Le montant des dégâts s'élève à 380 €. Sans parler de l'appareil auditif cassé et surtout des nuits à cogiter. « Le pire, ce n'est pas ce qu'on vous a pris. C'est de savoir qu'on a fouillé partout, dans les endroits les plus intimes », souligne l'artisan à la retraite.

Par chance, la brigade de recherche de la gendarmerie a interpellé les quatre auteurs présumés dès le 28 juillet.

Deux majeurs, deux mineurs, tous du coin. Ils sont en liberté sous contrôle judiciaire. Leur procès doit se tenir en septembre au tribunal de Soissons. L'un d'eux habite à deux pas.

Marie-France Noël, aurait apprécié de recevoir un petit mot d'excuse des parents.
Elle plaint la caissière de la supérette, elle aussi victime des virées nocturnes de la petite bande locale : « Elle doit rester stoïque en servant ceux qui l'ont dévalisée il y a quelques semaines. »

Marie-France Noël feuillette l'album photos qui atteste du passage des jeunes vandales et de la maison mise à sac. Elle a dû mal à réprimer sa colère. « Évidemment que ces gamins ne doivent pas aller en prison mais qu'on les emploie à travailler pour la collectivité », commente la retraitée qui refuse de banaliser cette affaire.

 « Je voudrais qu'ils se rendent compte du préjudice moral qu'ils provoquent chez leurs victimes mais aussi chez leurs proches. Un petit garçon de 3 ans ne veut plus dormir dans sa chambre qu'il a vue dévastée. », insiste Marie-France Noël.

Le couple appréhende désormais l'échéance du procès en correctionnel. Le face-à-face avec ces gamins le tourmente depuis qu'il a reçu la convocation.
Il ignore s'il doit faire appel à un avocat, se porter partie civile.

 Roger Noël ne se berce pas d'illusions : « De toute façon, comment voulez-vous qu'ils remboursent les dégâts qu'ils ont faits dans dix maisons ? Je pense qu'il vaut mieux que nous comptions sur notre assurance. »« Il a fallu des jours pour tout ranger »« Qu'ils travaillent pour la collectivité » source: "l'Ardennais"
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7 septembre 2008 7 07 /09 /septembre /2008 04:36
clavier et sarko
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