23 janvier 2012
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Après la mort de quatre soldats français tués par un militaire afghan, Nicolas Sarkozy a déclaré le 20 janvier: "l'armée française est au côté de ses alliés, mais nous ne pouvons pas accepter qu'un seul de nos soldats soit tué ou blessé par nos alliés (...) Si les conditions de sécurité ne sont pas réunies, alors se posera la question d'un retour anticipé de l'armée française en France".
source arrêt sur images