5 novembre 2008
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13:16
Quandje pense que nous avons payé le carburant aussi cher . Il y a de l'abus. On se demande quand les bénéfices de Total seront un peu plus taxé.
source Libération
Total ne connaît pas la crise
Le groupe pétrolier annonce avoir dégagé un bénéfice net de 4,1 milliards d'euros au troisième trimestre, en hausse de 35%. Les automobilistes apprécieront la performance.
, avec un baril à près de 150 dollars, ce sont les automobilistes qui font grise mine. Quatre mois plus tard, ce sont les pétroliers de l'Opep qui râlent contre un baril à 50 dollars. Total, lui, a toujours gardé le sourire.
Ce matin, le groupe pétrolier annonce dans un communiqué avoir dégagé un bénéfice net de 4,1 milliards d'euros (3,86 milliards d'euros étaient attendus), en hausse de 35% au troisième trimestre, dopé par les prix record du pétrole brut et par une forte amélioration de la rentabilité du raffinage
L'activité de production et d'exploration a profité de l'envolée des prix du brut, qui ont atteint un record à plus de 147 dollars en juillet. Sur le trimestre, le prix moyen du baril de Brent s'est élevé à 115,1 dollars en moyenne, soit 54% de plus qu'à la même époque de 2007. Le prix moyen de vente du gaz a lui progressé de 67% sur le trimestre.
Cette hausse des prix des hydrocarbures a largement compensé la baisse de production de 5% sur le troisième trimestre, à 2,231 millions de barils. Ce recul s'explique par des incidents techniques en Libye et en mer du Nord, des problèmes de sécurité au Nigeria et par le déclin naturel des champs pétroliers, indique Total. Les bénéfices du groupe ont en outre été dopés par la hausse des marges de raffinage (+88% sur un an), du fait de la fermeture de nombreuses raffineries américaines pendant la saison des ouragans dans le golfe du Mexique.
Le quatrième groupe pétrolier mondial, qui compte l'essentiel de ses raffineries en Europe de l'Ouest, a profité de cette situation en écoulant ses produits à meilleur prix aux Etats-Unis.
Le quatrième groupe pétrolier mondial, qui compte l'essentiel de ses raffineries en Europe de l'Ouest, a profité de cette situation en écoulant ses produits à meilleur prix aux Etats-Unis.
source Libération
Total ne connaît pas la crise
Le groupe pétrolier annonce avoir dégagé un bénéfice net de 4,1 milliards d'euros au troisième trimestre, en hausse de 35%. Les automobilistes apprécieront la performance.
, avec un baril à près de 150 dollars, ce sont les automobilistes qui font grise mine. Quatre mois plus tard, ce sont les pétroliers de l'Opep qui râlent contre un baril à 50 dollars. Total, lui, a toujours gardé le sourire.
Ce matin, le groupe pétrolier annonce dans un communiqué avoir dégagé un bénéfice net de 4,1 milliards d'euros (3,86 milliards d'euros étaient attendus), en hausse de 35% au troisième trimestre, dopé par les prix record du pétrole brut et par une forte amélioration de la rentabilité du raffinage
Sur les neuf premiers mois de 2008, Total affiche un bénéfice net ajusté en hausse de 21%, à 11 milliards d'euros. S'il termine l'année sur cette lancée, le groupe pourrait battre son record de 2006, de 12,58 milliards d'euros de bénéfice net, le plus gros profit jamais enregistré par une entreprise française.Le chiffre d'affaires a gagné 24% à 48,8 milliards d'euros au troisième trimestre.
L'activité de production et d'exploration a profité de l'envolée des prix du brut, qui ont atteint un record à plus de 147 dollars en juillet. Sur le trimestre, le prix moyen du baril de Brent s'est élevé à 115,1 dollars en moyenne, soit 54% de plus qu'à la même époque de 2007. Le prix moyen de vente du gaz a lui progressé de 67% sur le trimestre.
Cette hausse des prix des hydrocarbures a largement compensé la baisse de production de 5% sur le troisième trimestre, à 2,231 millions de barils. Ce recul s'explique par des incidents techniques en Libye et en mer du Nord, des problèmes de sécurité au Nigeria et par le déclin naturel des champs pétroliers, indique Total. Les bénéfices du groupe ont en outre été dopés par la hausse des marges de raffinage (+88% sur un an), du fait de la fermeture de nombreuses raffineries américaines pendant la saison des ouragans dans le golfe du Mexique.
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