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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 10:02

EFG

Humour:Ce qu'il faut retenir du sommet social

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 09:56

Kezako

Humour:Sarko décoré de la Toison d'Or par le Roi d'Espagne...

 

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 09:17

«Je ne sais pas pourquoi ils me laissent tout seul. Alors que c'est ici que cela se passe.»

 

Ce matin, juste avant la présentation des vœux aux forces économiques à Lyon, Nicolas Sarkozy est à l'usine Seb de Pont-Evêque en Isère. Et le président de la République s'étonne. Il s'étonne que ses concurrents à la présidentielle le «laissent tout seul» aller dans les usines

.

Etrange. Car mercredi, Marine Le Pen était à Sochaux avec les ouvriers de PSA. La veille c'était le couple Hollande-Aubry qui était de visite à Gandrange. Tous au nom du produire en France. Mais le chef de l'Etat feint de ne pas le savoir.

 

 Il aimerait qu'on lui reconnaisse une antériorité. Voir une expertise. «On ne connaît pas les usines», lâche-t-il. Comprendre: ils (ses concurrents) ne connaissent pas les usines. «Ça fait depuis très longtemps que je les arpente.»



Devant les salariés de cette usine Seb de 900 personnes (qui exporte les trois quarts de sa production), le chef de l'Etat a vanté la solidarité ouvrière où «chacun est sur un pied d'égalité»,«l'on se serre les coudes car c'est dur pour tout le monde». Surtout, il a entamé son travail de pédagogie sur son projet de TVA sociale, mais sans jamais prononcer l'expression.

  

«Si on reste comme on est, les délocalisations vont continuer, ça c'est la vérité.» «Il faut que les importations participent au financement de notre protection sociale», a répété Sarkozy, précisant que «le salaire ne sera pas touché». «C'est la clé, pour garroter la perte du sang industriel de la France.» En quittant l'usine, le chef de l'Etat échange quelques mots avec un salarié et lui confie dans le creux de l'oreille que «lui préférerait travailler ici que dans une banque ». «Car ici, c'est concret». Politique aussi

.source libération

 

Nicolas Sarkozy chez Seb, à Pont-Evêque, dans l'Isère, le 19 janvier 2011
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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 06:54

dernier-emprunt

 

 

Humour:la France ( en faillite ) a encore emprunté 9 milliards aujourd'hui !
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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 06:46
 Le gouvernement connaît un "coup de mou" et la déprime guette certains ministres. Aucun n'est prêt à le dire publiquement, mais selon les informations du Buzz politique d'Europe 1, plusieurs membres du gouvernement s'inquiètent du mauvais impact sur l'opinion que semble provoquer l'avalanche de mauvaises nouvelles économiques.

Et la rafale de mesures et de réformes annoncées par Nicolas Sarkozy ne semble pas rassurer les Français. "Les gens ne nous écoutent plus. L'hyperactivité du président, à moins de cent jours de la fin du quinquennat, semble angoisser l'opinion, plus qu'elle ne rassure", a confié un ministre, jeudi à Europe 1.

 

Les ministres se fondent à la fois sur ce que leur font remonter les parlementaires mais aussi sur les réactions de leurs propres électeurs, qu'ils comparent aux enquêtes d'opinion, publiques ou confidentielles. L'une de ces études, non publiées, sondait hier les réactions spontanées au sommet social : les deux mots qui reviennent le plus souvent sont "agitation" et "gesticulation". Le gouvernement reste toutefois combattif. "L'opinion nous saura gré d'avoir tout tenté et d'avoir gouverné jusqu'au bout", assure Xavier Bertrand.

 

A droite, on compte sur les meetings que vont mener plusieurs ténors de la majorité, comme Alain Juppé le 25 janvier à Nice, et l'on parie aussi sur une mauvaise prestation de François Hollande, dimanche au Bourget, pour que la situation se retourne.

 

Et pour renverser la vapeur, Jean-François Copé, le secrétaire général de l'UMP, va lancer mardi prochain une offensive de défense du bilan de Nicolas Sarkozy. 6 millions de tracts de l'UMP vont être distribués pour vanter les dix grandes réformes du quinquennat. Leur slogan : "rétablissons la vérité sur notre bilan".

source europe1

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 06:04

Sommet social.jpg

Humour:Sarkozy convoque un sommet social pour discuter

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 05:53

 

Tunis Connection" lève le voile sur les réseaux franco-tunisiens Corruption, réseaux politiques, "Tunis connection" révèle les dessous des relations franco-tunisiennes. Rencontre avec les auteurs.

Nicolas Sarkozy en compagnie de l'ancien président tunisien Ben Ali, en juillet 2008.

Nicolas Sarkozy en compagnie de l'ancien président tunisien Ben Ali, en juillet 2008

 

C'est le livre événement en Tunisie. Sorti le 5 janvier, Tunis Connection : enquête sur les réseaux franco-tunisiens sous Ben Ali (1) était, dix jours plus tard, en rupture de stock dans deux librairies du centre de Tunis. Compromissions, corruption, affairisme ou encore réseaux politiques, les auteurs, Lénaïg Bredoux et Mathieu Magnaudeix, journalistes à Mediapart, ont mené une enquête d'envergure qui lève le voile sur les complicités de la France avec le régime de Ben Ali.

 

Depuis le soulèvement populaire qui a conduit à la fuite de l'ancien président, il y a un an, les langues se sont déliées. Plus d'une centaine d'entretiens ont été conduits pendant plus de six mois, pour révéler un système "où tout se mêle et s'entremêle". Un système où diplomates, entreprises, mais aussi médias ont caressé dans le sens du poil le régime de Ben Ali, au nom, notamment, de la lutte contre le terrorisme.

 

Rencontrés à Tunis à l'occasion de leur visite du 11 au 15 janvier, Lénaïg Bredoux et Mathieu Magnaudeix reviennent sur ces "connections".

À la lecture de votre livre, on se rend compte que la France était beaucoup plus impliquée qu'on ne pouvait le croire dans le système Ben Ali. Hommes politiques, diplomatie, entreprises, médias... Comment est-ce possible ?

 

Lénaïg Bredoux : Effectivement, on a découvert dans cette enquête qu'il y avait des ramifications dans tous les domaines : chez les intellectuels, au niveau de la presse avec le système d'invitation de certains journalistes, mais aussi dans le domaine économique, politique ou encore au sein de la diplomatie avec la décadence de l'ambassade de France à Tunis. Tout se mêle et s'entremêle lors de la visite de Nicolas Sarkozy, en 2008. Il était venu proposer de gros contrats, mais il a aussi prononcé cette phrase - que Henri Guaino reconnaît pour la première fois qu'elle était une erreur - : "Les libertés progressent."

 

Mathieu Magnaudeix : Sur le plan économique, les entreprises ont joué le jeu. Par exemple, Havas. En octobre 2010, Jacques Séguéla [vice-président de Havas, NDLR] assurait avoir trouvé un partenaire formidable en la personne de Slim Zarrouk [un gendre de Ben Ali, NDLR]. Ce qu'avoue Séguéla maintenant, c'est qu'en gros il ne le connaît pas et qu'on lui a mis dans les pattes. Autre exemple : Orange. Pour s'implanter, l'opérateur a réalisé un montage financier qui n'était pas illégal, mais, disons, baroque. On acceptait de survaloriser une des parties prenantes. Là, ce n'est pas n'importe quelle partie prenante : il s'agit d'un autre gendre, Marouane Mabrouk. Aujourd'hui, ces deux entreprises sont toujours en Tunisie et Havas a racheté la partie qui appartenait à Slim Zarrouk. En l'occurrence, le départ de Ben Ali leur a vraiment permis de s'installer, mais en même temps, il est difficile de les déloger parce qu'il y a beaucoup d'emplois à la clé.

 

Quel a été le rôle des médias ?

L. B. : Ils sont le reflet de ces relations. Mais il y avait une vraie stratégie de la Tunisie à leur égard. Les autorités tunisiennes avaient compris qu'il fallait se mettre la presse dans la poche. Un jour, Hervé de Charette [député de Maine-et-Loire, NDLR] nous a raconté que Ben Ali, lors de sa visite officielle à Paris, était obsédé par le traitement journalistique en France.

 

 D'où la création de l'ATCE [Agence tunisienne de la communication extérieure, NDLR], d'où ce système mis en place avec Image 7 [un cabinet de relations publiques créé par Anne Méaux, NDLR]. Ben Ali savait très bien qu'une partie de sa survie se jouait sur son image à l'étranger. Et, d'un côté, les journalistes avaient toutes les peines du monde à venir travailler en Tunisie. Il y en a qui l'ont fait et qui l'ont très bien fait, assez courageusement d'ailleurs. Et d'autres pour qui c'était plus ambigu. Il y a une journaliste d'un titre du groupe Lagardère qui, un jour, a proposé un sujet sur la Tunisie, et on lui a dit : "Mais tu sais où tu travailles ?"

 

On nous a raconté aussi que certains articles ont été censurés parce que ce n'était pas la ligne éditoriale. Sans compter tous les reportages sur mesure sur les droits des femmes, sur le miracle économique, préparés par Image 7. On ne sortait pas des sentiers battus. Cela a participé à cette image de carte postale. Et puis il y a eu des prises de position éditoriale très claires, comme lorsqu'un hebdomadaire a écrit "plutôt Ben Ali que les barbus". C'est un choix qui se défend, mais à cela, il fallait ajouter aussi ce petit milieu où ce sont toujours les mêmes qui intervenaient sur la Tunisie, comme Éric Raoult, Pierre Lellouche ou encore Bertrand Delanoë.

 

Dans le chapitre 8, vous confirmez que les autorités tunisiennes opéraient sur le sol français. Vous avez eu accès aux archives de Botzaris, que révèlent-elles ?

M. M. : Les archives de Botzaris révèlent l'intention d'un maillage important. Les autorités tunisiennes espionnaient sur le sol français les islamistes, mais aussi les militants et les membres de l'opposition, comme lorsque Hamma Hammami est venu en 2003. Ensuite, elles établissaient des rapports.

 

L. B. : À n'importe quel rassemblement de l'opposition tunisienne à Paris, il y avait des flics du consulat. Et les ministres français le savaient pertinemment et laissaient faire tant qu'il n'y avait pas de perturbations. Tout ce que la France voulait éviter, c'était une affaire Ben Barka bis [opposant du régime marocain disparu en 1965, NDLR]. Il y avait une coopération policière entre les deux pays. La déclaration de Michèle Alliot-Marie n'est pas tombée du ciel.

 

 Pourquoi a-t-elle proposé, le 11 janvier, le savoir-faire français en matière de maintien de l'ordre ? Parce qu'il y a toujours eu une coopération policière entre les deux pays, sous la droite comme sous la gauche. Jean-Pierre Chevènement, quand il était ministre de l'Intérieur, parlait, lui aussi, de lutte contre l'islamisme grâce une coopération policière. Des listes de présumés terroristes étaient établies par les autorités tunisiennes et transmises à la France. Et elle les acceptait sans rechigner.

 

Vous terminez votre livre en parlant d'une "nouvelle indépendance", que voulez-vous dire ? Quels types de relations peuvent être désormais construites ?

M. M. : On a du mal à voir ce qui peut se mettre en place. "On n'a pas fait assez", a avoué Henri Guaino. Pour le moment, on est dans l'accompagnement verbal de la révolution. C'est le moins que l'on puisse faire. Maintenant, des gestes restent à faire, surtout qu'il y a des signaux contradictoires entre les propos d'Alain Juppé et ceux de Claude Guéant. Sur l'affaire des migrants de Lampedusa, on a réduit le montant de l'aide au retour [de 2 000 à 300 euros, NDLR] pour éviter de créer un appel d'air. Cela été mal perçu en Tunisie, surtout que ce petit pays a accueilli des milliers de réfugiés libyens.

 

L. B. : La France est restée un partenaire privilégié de la Tunisie, mais les rapports n'étaient pas égalitaires. La Tunisie est un pays en développement et qui dépend beaucoup des relations internationales. Avec le passé postcolonial, la France a développé l'image de carte postale un peu cliché. On a rencontré des gens qui nous disaient "la Tunisie et la France, c'est une histoire d'amour qui se finit mal". Il faudrait peut-être développer des relations moins affectives, moins chargées de complaisance et plus égalitaires. Les Tunisiens connaissent bien la France, mais la France ne connaît pas la Tunisie.

source le point 

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 05:24

Et une nouvelle épine dans le pied de Nicolas Sarkozy.

 

 Dans un livre à paraître jeudi, "L'espion du président" deux collaborateurs du Point et un journaliste du Canard enchaîné (Olivia Recasens, Didier Hassoux et Christophe Labbé) mettent en cause la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) et notamment son patron, Bernard Squarcini, un très proche de Nicolas Sarkozy.

 

 A la suite d'une longue enquête, ils lui reprochent d'avoir créé à la DCRI un groupe "d'opérations spéciales", véritable police politique oeuvrant en toute illégalité, au seul service du Château.

"L'espion du président. Au coeur de la police politique de Sarkozy" met en cause (vidéo 1) ce FBI à la Française voulu par le Chef de l'Etat en affirmant que celui-ci a été dévoyé au profit d'un clan.

 

 Si les faits sont avérés, on serait en présence d'un scandale qui dépasserait largement les écoutes illégales menées sous Mitterrand. Les auteurs qui se basent sur des témoignages anonymes évoquent une "quinzaine d'hommes rompus aux ouvertures indolores de portes, à la sonorisation d'appartements" ou la "pose de balises sous les voitures".

Dans un communiqué diffusé mercredi soir, Bernard Squarcini conteste les accusations et affirme n'être "l'espion de personne". Le patron du contre-espionnage indique qu'il "n'accepte pas que (son) service soit attaqué au travers des responsabilités" qu'il exerce. Bernard Squarcini a pourtant été mis en examen en octobre 2011 pour "atteinte au secret des correspondances" dans l'affaire des fadettes du journal Le Monde.

Invité ce matin de France Inter (vidéo2), Claude Guéant, mis en cause par ricochet, juge que les accusations des journalistes, "c'est absolument gratuit".

 

 "Je démens que la DCRI soit un instrument politique au service du pouvoir", a déclaré le ministre de l'Intérieur avant d'ajouter qu'il était "absolument faux" de dire que la DCRI espionnait des hommes politiques.

Le livre ouvre également une porte qui pourrait être très compromettante pour Nicolas Sarkozy. Les journalistes s'attardent sur les relations de Bernard Squarcini avec Alexandre Djouhri , un intermédiaire sulfureux dans les ventes d'armes, distributeur patenté de commissions souvent illégales. "La république irréprochable" figure en bonne place dans le cimetière des promesses non tenues du candidat Sarkozy de 2007.


Olivia Recasens par franceinter
source agora vox

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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 05:15

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Gif Bon Vendredi

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19 janvier 2012 4 19 /01 /janvier /2012 16:29

bonne soiree

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