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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 09:11

 

EFG

Humour: Sarkozy, le chantier et les figurants

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 08:34

 

La communication politique, orchestrée par les pontes de la com, arrive à ses limites.

 

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La communication politique, orchestrée par les pontes de la com, arrive à ses limites. LIONEL BONAVENTURE / POOL / AFP

La communication politique, orchestrée par les pontes de la com, arrive à ses limites.
  

Le président de la république aurait-il embauché dans son équipe de campagne un certain Potemkine ? On est tenté de le croire quand on s’aperçoit qu’une partie des spectateurs présents lors de son dernier déplacement, au chantier de Mennecy dans l’Essonne, loin d’avoir participé spontanément à cette visite médiatisée, ont été acheminés pour les besoins de la cause, de manière à étoffer artificiellement les rangs du public.

 

 

Grigori Potemkine était le favori de l’impératrice de Russie Catherine II. Il n’a pas seulement attaché son nom à un cuirassé immortalisé par Eisenstein. La légende – contestée – veut que ce ministre du début du 18e siècle faisait construire dans les villages traversés par la tzarine des façades de bois pimpantes qui cachaient les baraques délabrées dans lesquelles habitaient les misérables paysans russes. Ainsi Catherine II avait-elle le sentiment que la Sainte Russie était une nation prospère qui faisait le bien du peuple.

Figurants

Cette tactique de communication n’est pas nouvelle en sarkozie. Plusieurs fois, les journalistes s’étaient aperçus qu’une partie des foules enthousiastes qui accueillaient le président lors de ses déplacements étaient en fait composées pour partie de militants de l’UMP convoqués pour faire masse.

 

En 2009, lors d’une autre visite d’usine, la télévision belge avait constaté que les ouvriers et les ouvrières avaient été sélectionnés sur leur taille, de manière à ne pas apparaître trop grands par rapport au président. Au chantier de Mennecy, la ruse a été éventée : le "buzz" subséquent porte, non sur les propos présidentiels, mais sur cet artifice un peu ridicule.

 

L’anecdote illustre un phénomène plus profond. Il est probable que nous assistons en direct, pendant cette étrange campagne, à l’effondrement d’un mode de communication politique. Il y a bientôt quatre ans, à la suite d’erreurs grossières, la cote de popularité de Nicolas Sarkozy a soudain chuté au plus bas.

Eléments de langage

Pour la remonter, le président a appliqué cette méthode dont tant de commentateurs nous ont expliqué qu’elle était redoutable, absolument moderne et hyper-professionnelle : saturation des écrans de télévision par une activité incessante ; définition systématique de l’agenda médiatique par le lancement à jet continu d’idées nouvelles, de polémiques inattendues, de décisions spectaculaires et surprenantes ; éléments de langage répétés partout par des ministres ou des députés changés en autant de perroquets cathodiques ; tirs groupés de "snipers" désignés à l’avance et maniant sans vergogne l’outrance la plus impudente, dont Nadine Morano est la plus caricaturale ; formules à l’emporte-pièce qu’on répète inlassablement de discours en discours, comme si le public n’avait aucune mémoire des paroles prononcées et comme si les journalistes ne gardaient aucune trace des discours précédents.

Fin d'une période

Que s’est-il passé pendant ces quatre années ? Rien. Quel a été l’effet de ce déferlement communicationnel ? Nul. La cote de popularité du président n’a jamais bougé. Pire, à force de mises en scène trop visibles et d’exagérations polémiques, la parole présidentielle est aujourd’hui totalement dévaluée. Comme dans un théâtre dont on verrait les coulisses et les cintres, le spectateur ne marche plus. Il va toujours au spectacle mais il sait que c’est chiqué. Trop de com tue la com.

 

Du coup, la communication artisanale de l’équipe Hollande, fondée sur des visites classiques, une parole discrète et parfois hésitante, un mélange d’humour et de simplicité, des meetings traditionnels avec militants chaleureux et lyrisme à l’ancienne, un programme prudent travaillé au cordeau et écrit dans un langage sobre, l’absence de ces gourous mirobolants dont on croyait ne jamais pouvoir se passer, cette communication, donc, ringarde aux yeux des professionnels, maintient le champion du PS au zénith des sondages depuis bientôt six mois.

 

 L’absence de com est la meilleure com.

Qu’on soit favorable à l’un ou à l’autre des deux champions, on accueillera cette nouvelle avec un soulagement certain. La politique spectacle arrive à sa limite. Le public préfère une certaine maladresse si elle est gage de sincérité. Les agences de com y perdront du chiffre d’affaires. Mais la démocratie y gagnera peut-être en qualité

source le nouvelobs

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 05:31
 

Les sept représentantes de l’entreprise de Haute-Loire ont été reçues à l’Elysée, hier, par Nicolas Sarkozy

Paris. Les ouvrières d’Yssingeaux ont averti le chef de l’État : « A l’avenir, il faudra se préoccuper plus de l’emploi en France. »

 

« On n’est pas venu faire du tourisme à Paris, ni visiter l’Élysée, même si c’est un très beau bâtiment. On est là pour défendre l’emploi en France » rappelle Bernadette Pessemesse, déléguée syndicale de Lejaby à Yssingeaux (CGT).

 

Hier matin, en assemblée générale, le mot d’ordre avait été voté à l’unanimité : « Si M. Sarkozy nous fait venir pour qu’on le remercie, il fait erreur. Fallait pas qu’il se dérange ! Cette victoire c’est le résultat de notre lutte à nous ».

 

Les sept représentantes de l’entreprise de Haute-Loire, conviées, l’après-midi, rue du Faubourg-Saint-Honoré, n’ont pas été impressionnées par le protocole. Durant une heure, chaperonnée par le préfet de Haute-Loire, Denis Conus, la délégation s’est entretenue avec le chef de l’État, entouré de Vincent Rabérin, le PDG de Sofama qui s’apprête à reprendre une activité de maroquinerie de luxe avec l’ensemble du personnel d’Yssingeaux, des ministres Xavier Bertrand (Travail), Laurent Wauquiez (Enseignement supérieur) et Eric Besson (Industrie).

 

« Le chef de l’État a été à l’écoute. Mais il campe sur ses positions notamment concernant les plans FNE qui permettaient de partir en préretraite à 55 ans pour laisser la place aux jeunes, regrette Huguette Fayolle. On ne réfléchit pas de la même façon ».

Juste le temps d’apprendre

Lors de cette réunion de travail, les « Lejaby » ont aussi demandé « des engagements durables sur le projet de reprise. Gandrange et les emplois qui n’ont finalement pas été sauvés, sont dans toutes les mémoires ». Elles se sont voulues aussi les porte-parole des 450 emplois supprimés en dix-huit mois chez Lejaby. « Le combat pour l’emploi ne s’arrête pas au sauvetage de notre usine. Il reste encore 350 postes à sauver à Rillieux-la-Pape, Bellegarde-sur-Valserine et au Teil.

 

 On n’oublie pas non plus toutes les entreprises en difficultés partout en France. Le président a dit bien connaître les dossiers ».

Nicolas Sarkozy pourrait venir à Yssingeaux après le 1er mars, date du début de la formation des ouvrières au travail du cuir. Une formation qui sera prise en charge par le gouvernement de même que les salaires jusqu’aux premières productions.

 

Les sept femmes ont ensuite été conduites dans des bureaux parisiens où les attendait Bernard Arnault, le patron de LVMH, principal donneur d’ordre de Sofama. La visite d’une boutique Louis Vuitton a été particulièrement appréciée. Les ouvrières ont été impressionnées par le prestige de la maison. Huguette Fayolle en témoigne : « C’était une chance de rencontrer le PDG de chez Vuitton. On a bien en tête le travail qu’on va nous demander. Il faut juste nous laisser le temps d’apprendre »

source le progrés

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4 février 2012 6 04 /02 /février /2012 05:20

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Gif Bon Samedi

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 17:25

bonne soiree

Gif Bonne Soirée

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 17:14

Nicolas Sarkozy sera mardi dans le Tarn pour évoquer la "politique familiale", un des thèmes qui l'opposent à François Hollande. Coïncidence?

Le président Nicolas Sarkozy en déplacement jeudi à Longjumeau (Essonne)
Le président Nicolas Sarkozy en déplacement jeudi à Longjumeau (Essonne) AFP/Lionel Bonaventure

Officiellement, donc, Nicolas Sarkozy n'est pas candidat, pas encore. Pourtant, dans cette « période d'approche » présidentielle, selon sa propre expression, il suit de très près chaque mouvement ou proposition de François Hollande, et semble caler les thèmes de ses déplacements en province en fonction.

 

Mardi prochain, Nicolas Sarkozy sera ainsi dans le Tarn pour évoquer la politique familiale. Un sujet sur lequel il s'oppose justement au candidat socialiste à la présidentielle. Lorsque François Hollande avait évoqué une réforme du quotient familial (déduction fiscale dont bénéficient les familles en fonction du nombre d'enfants, NDLR), Sarkozy avait aussitôt vivement réagi en dénonçant une « folie » qui menacerait les classes moyennes.

 

 Un discours qu'il devrait donc à nouveau développer mardi à Lavaur, où il doit visiter une crèche, rencontrer des parents et évoquer le plan 2008-2012 de développement des solutions de garde pour la petite enfance.

Cliquez ici !
Sans jamais citer Hollande

Déjà, Nicolas Sarkozy s'était rendu jeudi dans l'Essonne pour faire le service après-vente des mesures sur l'immobilier annoncées dimanche à la télévision et, là aussi, critiquer son probable adversaire de la présidentielle. François Hollande propose d'encadrer les loyers sur les marchés les plus tendus? « Si on bloque les loyers, on bloque la construction et on bloque la location », a lancé Nicolas Sarkozy, sans jamais citer nommément François Hollande.

 

 La candidature, Sarkozy n'en parle jamais, en tout cas pas devant les caméras, mais visiblement, il y pense beaucoup.

source france soir 

 

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 16:49


GIF animé drôle sur Nicolas Sarkozy. Vous voyez les enfants, si lui est arrivé à réussir avec sa tête, il y a de l'espoir ! Mais, c'est encore + facile quand on sait mentir et trahir avec beaucoup de talents. GIFS Humourger 2011 (300

 

 

Humour: GIF animé drôle sur Nicolas Sarkozy.

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 15:38
Fillon monte au front, avec une cote de confiance en chute

Seules 35 % des personnes sondées par CSA font encore confiance au Premier ministre, qui a défendu hier soir sur France 2 le bilan gouvernemental face à la première secrétaire du PS, Martine Aubry.

 

La chute est rude. François Fillon est désormais tout aussi impopulaire que Nicolas Sarkozy selon le dernier baromètre CSA pour « Les Echos ». Pas moins de 61 % des sondés ne font « pas confiance » au Premier ministre « pour aborder efficacement les principaux problèmes qui se posent au pays », soit 7 points de plus que le mois dernier. Le contingent de ceux qui lui font confiance (35 % à égalité avec le chef de l'Etat) a diminué de 6 points. La baisse est particulièrement sensible chez les ouvriers et employés, ainsi que chez les travailleurs indépendants.

 

Les premiers sont sensibles au chômage record, les seconds sont « traumatisés par la TVA sociale », selon Jérôme Sainte-Marie, le directeur du département opinion de CSA. Pour celui-ci, cette chute est aussi le signe que la différence de style entre les deux têtes de l'exécutif, qui a longtemps profité au Premier ministre, ne joue plus : « François Fillon s'est banalisé, car il est entraîné dans la campagne. Il était le numéro deux de l'exécutif ; maintenant il est le numéro deux de la campagne de Nicolas Sarkozy. »

Ce rôle-là ne déplairait sans doute pas au chef de gouvernement, mais il reste disputé en coulisses, notamment par Alain Juppé et Jean-François Copé. Sa prestation d'hier soir à l'émission « Des paroles et des actes » sur France 2 faisait, de ce point de vue, figure de test. François Fillon avait pour mission de faire mieux, face à Martine Aubry, que le ministre des Affaires étrangères face à François Hollande la semaine dernière.

 

Etant l'invité principal de l'émission, il tenait à « faire un sort » à l'image de « président des riches » qui colle à la peau de Nicolas Sarkozy. « C'est une grande mystification ! » a-t-il affirmé, soulignant que « la fiscalité sur le capital a au-gmenté de 10 points depuis le début des années 2000 ». Désireux de faire de la pédagogie sur la TVA sociale, contestée même à droite, François Fillon a commencé par confesser un « regret » : ne pas avoir fait dès 2007 cette « réforme qui conduit à baisser les charges sociales ». « Il y a eu une hésitation, il ne faut jamais hésiter. »

Une impopularité record

Le Premier ministre a banalisé l'impopularité record de l'exécutif, la jugeant « normale » après « deux crises financières majeures ». Il en a néanmoins tenu compte en admettant n'avoir « pas tout réussi », mais, a-t-il insisté, « personne ne pourra nous reprocher d'avoir fait preuve de lâcheté ». L'occasion de réaffirmer le credo de l'Elysée : « Ma conviction c'est que, dans cette crise, les Français choisiront le plus solide. »

 

Depuis la rentrée de janvier, François Fillon a rendossé son costume de « cogneur » face à la gauche. Il a noté la constance avec laquelle le chef de l'Etat se félicite publiquement de leur collaboration et il participe au comité stratégique hebdomadaire à l'Elysée. « Plus notre couple dure, meilleur il est », s'est félicité François Fillon hier soir. Le Premier ministre qui a mis en avant sa « ténacité » s'est cependant fait quelques ennemis de taille, tels Jean-François Copé et Jean-Louis Borloo. Sans parler de Rachida Dati qui lui reproche son manque de franchise et de courage. François Fillon a taclé cette dernière hier soir : « Chercher les caméras et la lumière n'est pas ma conception de la politique. »

ELSA FREYSSENET, Les Echos
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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 15:35

L’Elysée aurait demandé au chantier de Mennecy d’augmenter les effectifs le jour de la visite du chef de l’Etat, jeudi 02 février. En 2009, la télévision belge avait déjà révélé une histoire similaire.



Septembre 2009, Nicolas Sarkozy visite l’usine d’équipement automobile Faurecia en Normandie. La télévision belge RTBF diffuse un reportage sur les coulisses du déplacement et révèle que des employés d’autres sites sont venus spécialement pour le passage du président. Plus étonnant encore, les travailleurs qui figurent sur les prises de vue auraient été sélectionnés selon un critère de taille, excluant les "grands".

Selon un délégué syndicaliste du groupe, il s’agissait d’une demande de l’Elysée, qui aurait orchestré toute la visite, en concertation avec la Préfecture de l’Orme et les Renseignements Généraux. L’Elysée dément mais une ouvrière confirme dans le reportage que pour être sur la photo, il ne fallait pas être plus grand que le président. La direction de Faurecia publie, elle, un communiqué pour démentir "les rumeurs faisant état d’"exigences particulières de l’Elysée".

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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 10:50

Humour:Les Anonymous sont partout

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