Humour: Dieu doit adorer les cons il en a créé tellement
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Humour: égalité des sexes vu par un macho
Humour: image. ne pas confondre les écrans
La première dame des États-Unis s'est présentée cheveux au vent devant le nouveau roi Salmane, bouleversant les moeurs d'un royaume aux lois moyenâgeuses.
La présence de Barack Obama à Riyad, au lendemain des funérailles du roi Abdallah, devait sceller les liens entre les États-Unis et l'Arabie saoudite, jusqu'ici unis par le lucratif compromis pétrole contre sécurité.
Mais à l'image d'une relation chancelante, la visite du président américain n'a pas été de tout repos pour la gérontocratie saoudienne. Si le pensionnaire de la Maison-Blanche s'est abstenu d'évoquer devant ses hôtes le terrible bilan du royaume saoud en matière de droits de l'homme, c'est par sa femme, Michelle, que le scandale est arrivé.
Présent mardi sur le tarmac de l'aéroport international de Riyad, le nouveau roi Salmane, 79 ans, a eu la surprise d'apercevoir sur la passerelle d'Air Force One une rayonnante première dame arborant un haut bleu fluide, un pantalon noir ample, ainsi qu'une longue veste bleue à motifs.
Pas de quoi fouetter un monarque saoudien, si ce n'est ce long cou dénudé, dévoilant une somptueuse parure de diamants. Et, crime de lèse-majesté, cette chevelure brune au vent, émoustillant sans peine chacun des dirigeants arabes présents. Une prise de liberté qui tranche avec le morne quotidien des Saoudiennes, tenues de porter en public le voile islamique si ce n'est le niqab.
Fronde sur Twitter Ainsi, s'ils ont chaleureusement serré la main d'un Barack Obama répétant à l'envi "C'est bon de vous voir", plusieurs dirigeants saoudiens se sont contentés d'un simple signe de la tête face à la première dame non voilée. "À mon sens, Michelle Obama a envoyé un message politique au royaume", juge un spécialiste du pays qui préfère garder l'anonymat. "Dans un pays où les femmes sont opprimées, les femmes étrangères, qui plus est les femmes de dignitaires, ne sont pas obligées de se voiler.
Or, elles le font souvent par courtoisie à l'égard des partenaires saoudiens avec lesquels leur pays entretient des intérêts économiques". Preuve en est, à l'occasion d'un déplacement en Indonésie en 2010, Michelle Obama avait revêtu un voile lors d'une visite à la mosquée Istiqlal de Jakarta. Usage diplomatique et alliance stratégique obligent, les dirigeants saoudiens n'ont pipé mot en public sur l'écart de conduite de la "First Lady". La chaîne de télévision nationale n'a même pas censuré les images de la "frondeuse".
En revanche, sur Twitter, les critiques ont fusé. Selon le Washington Post, plus de 1 500 tweets contenant le hashtag #ميشيل_أوباما_سفور (#Michelle_Obama_dévoilée, NDLR) ont été envoyés mardi, la pétromonarchie comptant l'un des taux d'utilisateurs les plus élevés au monde (5 millions de twittos sur 28 millions d'habitants).
Si certains internautes ont déploré que la première dame n'ait pas respecté les lois du pays, auxquelles elle n'est pourtant pas soumise en tant qu'étrangère, d'autres ont fustigé ce qu'il ont interprété comme un manque de respect à l'égard du défunt roi. Adepte du wahhabisme, une interprétation ultra-rigoriste de l'islam, l'Arabie saoudite replonge ses citoyennes au temps du Moyen Âge.
Le pays est le seul au monde à interdire aux femmes de prendre le volant. Celles-ci sont également forcées de demander l'autorisation de leur tuteur (père, mari ou frère) pour espérer travailler, voyager, se marier ou même ouvrir un compte bancaire. واشناراه وادويشاه #ميشيل_أوباما_سفور في بلد التوحيد وفي أندونيسيا بحجابها الله أكبر والعزةلله @mshanarm @s_a_aldweesh pic.twitter.com/KvGTO2hgG9 نورة العتيبي (@Riyadh_K_S_A) 27 Janvier 2015 Mêmes peines que l'"État islamique" Comparaison des peines appliquées par l'organisation EI et l'Arabie Saoudite © Middle East Eye Pratiquant une version très stricte de la charia (la loi islamique), le royaume applique toujours la peine de mort pour le viol, le meurtre, les braquages armés, mais aussi le trafic de drogue et l'apostasie.
Ainsi, le 12 janvier dernier, une ressortissante birmane s'est vu trancher la tête à l'épée en pleine rue à La Mecque après avoir été condamnée pour le viol et le meurtre de la fille de son mari. Les images insoutenables de l'exécution ont valu à leur auteur d'être arrêté par les autorités.
Un châtiment qui rappelle à s'y méprendre les multiples exactions de l'organisation État islamique (EI), qui s'inspire d'ailleurs elle aussi du wahhabisme saoudien. Le site Middle East Eye s'est amusé à comparer les peines pratiquées par l'EI et par l'Arabie saoudite au nom de la charia. Le tableau qui en découle fait froid dans le dos. Toutefois, l'Arabie saoudite est secouée depuis 2011 par une vague de contestation féminine.
Des Saoudiennes prennent régulièrement le volant et se filment en bravant l'interdit pour mieux alerter le monde sur leur situation. "Ce sont des épiphénomènes qui ne correspondent pas à un mouvement de masse", tempère néanmoins le spécialiste du royaume. "Le régime saoudien a réussi à fragmenter et donc dominer la société." Fort de ses milliards de pétrodollars, qui lui ont permis d'acheter la paix sociale pendant le Printemps arabe, le roi défunt Abdallah avait pourtant consenti à un geste en direction des femmes, en leur accordant en 2011 le droit de vote et de candidature aux élections municipales.
REGARDEZ la militante saoudienne Manal al-Chérif osant se filmer au volant : "Il ne s'agissait que de marketing politique en direction de l'étranger", pointe aujourd'hui notre expert. "Ces élections sont insignifiantes. Elles n'ont enregistré qu'une participation insignifiante chez les femmes. Et les conseils municipaux n'ont aucun pouvoir en Arabie saoudite."
De quoi s'interroger sur les louanges de Christine Lagarde à l'égard du roi Abdallah. À sa mort, la présidente du FMI et ancienne ministre de l'Économie a salué un "grand défenseur des femmes".>>
Dans son numéro du 16 mars, et à l'occasion des soixante ans de mariage de Jacques et Bernadette Chirac, L'Express publie un portrait incisif de l'épouse de l'ancien président de la République. On ne peut pas dire que la gentillesse et l'amabilité fassent partie des traits de caractères principaux de l'ex-première dame de France. À bientôt 83 ans, Bernadette Chirac est réputée pour ses piques et répliques cassantes, notamment à l'égard de son mari.
Pourtant, malgré les écarts présumés de Jacques Chirac et son état de santé actuel, celle qui a été désignée comme la première dame préférée des Français par les lecteurs de L'Express est toujours là. Pour célébrer les noces de diamant du couple Chirac, l'hebdomadaire a donc décidé de revenir sur la rencontre entre les deux époux et de dresser le portrait de la marraine des Pièces Jaunes. Le magazine s'est pour cela appuyé sur des témoignages de proches.
Et une chose est sûre, ils n'y vont pas avec le dos de la cuillère pour décrire la présidente de la Fondation des Hôpitaux de Paris. Ainsi, un intime des époux Chirac livre ses impressions avec la plus grande transparence : « Le fond de sa personnalité se résume à deux mots : elle est snob et elle est méchante ». Il faut dire que l'ancienne étudiante de Science-Po n'a jamais pratiqué la langue de bois. Mesquineries et petits humiliations ont longtemps fait partie de ses pratiques.
Un ancien employé de la ville de Paris raconte, de son côté, les exigences de l'ex-première dame à l'époque où elle résidait à l'Hôtel de Ville. « Elle a interdit l’utilisation d’engins motorisés parce que le bruit la dérangeait. Résultat : les agents ont dû enlever des tonnes de terre à la pelle, à la pioche et à la brouette ! », se souvient-il. Roselyne Bachelot, ancienne ministre l'Écologie sous Jacques Chirac, revient, quant à elle, sur le « plaisir sadique » de Bernadette à mettre son mari dans l'embarras.
Lors de l'anniversaire de la Fondation Claude Pompidou et alors que Jacques Chirac était déjà très affaibli et avait du mal à se déplacer, elle l'avait congédié du dîner officiel qui se tenait après les discours de circonstance. Le président avait demandé : « Je reste pour le dîner ? », ce à quoi elle lui avait répondu : « Ah non ! Vous partez maintenant. Vous allez arrêter de m'embêter ! », confie la chroniqueuse de D8. « Hautaine, acariâtre, vindicative, indigne, glaciale », les adjectifs qualifiant la conseillère de Corrèze parlent d'eux-mêmes.
Et pourtant, il semblerait, selon certaines personnes de son entourage, que, sous ses mauvais airs, Bernadette Chirac tente en réalité de garder la tête haute face à son époux, très diminué. Valérie Terranova, spécialiste de l'Extrême-Orient et proche du couple, explique : « Bernadette Chirac est une femme très préoccupée par la santé de son mari, très déconcertée par le déclin d’un homme longtemps doté d’une extrême énergie, très malheureuse de son état ».
Pour les amis des Chirac, comme l'historien Jean-Luc Barré, « il y a une part de second degré, de comédie dans tout cela »... qui dure tout de même depuis soixante ans !
source:http://www.femmeactuelle.fr/actu/news-actu/revelations-sur-bernadette-chirac-snob-et-mechante-28469
Selon une enquête de L'Obs, l'épouse de Manuel Valls, violoniste et directrice de l'Alma Chamber Orchestra, se servirait des réseaux de son mari pour financer sa formation musicale... Mme Valls, alias Anne Gravoin, n'a pas souhaité témoigner dans le dernier numéro de L'Obs. Estimant le papier qui lui est consacré « à charge », la femme du Premier ministre a préféré faire profil bas.
Il faut dire que les révélations de l'hebdomadaire laissent planer le doute quant aux relations entre le chef du gouvernement, son épouse, à la tête de l'Alma Chamber Orchestra depuis 2013, et certains personnages "au carrefour de la politique, des affaires et de la diplomatie parallèle
." Pour rappel, l'Alma Chamber Orchestra est une formation qui "a pour mission de se produire partout où la musique peut apaiser les esprits et les cœurs et permettre le dialogue entre les peuples", expliquent nos confrères de L'Obs.
Une action à première vue honorable... sauf quand derrière se cachent des mécènes qui le sont un peu moins. Tous réunis pour soutenir un même projet et surtout "par amour de la musique", on retrouve ainsi parmi les généreux donateurs "un marchand d'armes, un vieux routier de la Françafrique, un raider boursier reconverti dans la vente de tenues militaires et, enfin, un businessman naviguant entre la France et le Koweït." Vous avez dit bizarre ?
C'est vrai que l'on peut se poser des questions aux vus de ce réseau, composé entre autres du plus important groupe d'armement présent en Afrique, qui soutient l'orchestre d'Anne Gravoin. Parmi les personnalités dévoilées par le magazine, Zouhir Boudemagh, riche homme d'affaire d'origine algérienne, Jean-Yves Ollivier, "figure de la Françafrique", décoré de la Légion d'honneur par Manuel Valls en 2015, ou encore Ivor Ichikowitz, "richissime marchand d'armes sud-africain", qui aurait notamment organisé la tournée de l'Alma Chamber Orchestra en Afrique du Sud.
À noter que ces derniers seraient des proches du président du Congo-Brazzaville Denis Sassou-Nguesso, très contesté dans le monde politique. Si Mme Valls se défend de n'être qu'un simple "prestataire" dans cette affaire, pas sûr que son époux et actuel Premier ministre ressorte indemne de ces révélations. Dur dur à un an de la présidentielle...
Valls, violoniste de profession, n'hésite pas à utiliser "les réseaux politiques de son mari" pour assurer le succès de son orchestre. Si Manuel Valls sait qu'il peut compter sur le carnet d'adresses (long comme le bras) de sa femme, l'inverse est aussi vrai.
Depuis que son époux a été nommé Premier ministre, Anne Gravoin , violoniste de talent à la tête de son propre orchestre, l'Alma Chamber Orchestra, n'hésite pas à "solliciter les réseaux politiques de son mari" pour faire fructifier son business, apprend-t-on dans L'Obs, qui consacre cette semaine un article au "Drôle d'orchestre de Mme Valls".
"Combien de ministres ont eu la surprise ont eu la surprise de recevoir un SMS d'invitation au concert donné salle Pleyel par l'Alma Chamber, le 17 avril 2014 ?", s'interroge ainsi l'hebdomadaire.
Ce soir-là, "la moitié du gouvernement, que de passionnés de classique" avait en effet fait le déplacement pour venir applaudir Anne Gravoin, ironisait à l'époque une journaliste de France Inter sur les réseaux sociaux.
Trois semaines plus tôt, Manuel Valls n'était pas encore premier ministre... et son épouse faisait chou blanc ! "Les réservations étaient à moitié vides et, après le remaniement, c'était complet !", lance un ancien membre du gouvernement.
Effet de curiosité ou réelle intervention du premier ministre, chacun a son avis sur la question. Ce qui est sûr, c'est que le phénomène dépasse nos frontières : à l'étranger aussi, Mme Valls provoque désormais l'engouement lorsqu'elle se produit en concert. "Anne a un côté naïf" Anne Gravoin, elle, est persuadée qu'elle ne doit son succès qu'à son talent.
"Les gens croient que les choses sont plus faciles quand on est la femme du Premier ministre, alors que c'est souvent l'inverse", a-t-elle ainsi coutume de se plaindre. Mais pour l'une de ses anciennes amies, elle se fait des illusions... "Anne a un côté naïf. Elle croit toujours qu'on vient la démarcher uniquement pour ce qu'elle est", abonde-t-elle
source:http://www.closermag.fr/people/politique/anne-gravoin-doit-elle-son-succes-a-manuel-valls-604138
Jeannette Bougrab a-t-elle fait une fleur à Anne Gravoin, l’épouse de Manuel Valls ?
Nommée conseillère culturelle à l’ambassade de France en Finlande l’année dernière, Jeannette Bougrab en aurait profité pour inviter l’épouse de Manuel Valls, tous frais payés. Le Canard Enchaîné révèle cette semaine que Jeannette Bougrab a récemment fait venir Anne Gravoin en Finlande et ce, aux frais de l’ambassade de France à Helsinki.
Une invitation qui serait liée à l’obtention de son poste. En effet, et toujours d’après les informations du journal, très affectée par le décès de son compagnon, Charb, dans l’attentat de Charlie Hebdo, l’ex-secrétaire d’Etat sous Nicolas Sarkozy s’en serait personnellement pris à François Hollande, avant de s’effondrer devant lui.
" A force de pleurer, Hollande lui a donné un truc", a raconté un ancien conseiller ministériel à l’hebdomadaire satirique, précisant même que Manuel Valls avait été chargé de lui trouver ce "truc" aux allures de lot de consolation. Quelques mois plus tard, Jeannette Bougrab décrochait un poste dans la capitale finlandaise. A lire aussi – Jeannette Bougrab : comment François Hollande a consolé l’ex de Charb Publicité Au total, 10 000 euros ont été dépensés
Mais Le Canard Enchainé va plus loin et rapporte que rapidement après son transfert, "l’exilée a su se montrer reconnaissante : elle n’a pas mis mois à inviter la femme de Valls, la violoniste Anne Gravoin à venir jouer à Helsinki, tous frais payés".
Toujours d’après le journal, le 11 mars dernier, "le Travelling Quartet dans lequel officie Anne Gravoin, était invité avec un accordéoniste, Pascal Contet. Billets d’avion, cachets, location de la salle, l’opération a été entièrement financée par l’Institut". Au total, "10 000 euros" auraient ainsi été dépensés. Une somme que Jeannette Bougrab n’a pas démentie mais simplement tenu à préciser : "4 000 euros net, une fois déduites les recettes de billetterie".
Humour Emmanuel Macron et la finance
Le nouveau président de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, se voulait exemplaire en renonçant à ses fonctions de député et de maire pour respecter le principe de non cumul des mandats. Pour compenser, il s’est octroyé une augmentation de 4000 euros.
Le non cumul des mandats oui, la perte de revenus non. Xavier Bertrand avait voulu montrer l’exemple et marquer une rupture avec les petits arrangements de la classe politique qui dégoûtent tant les électeurs, mais c’est raté. Juste après son élection à la tête de la région Hauts-de-France (qui s’appelait encore Nord-Pas-de-Calais), l’élu de droite avait déclaré qu’il abandonnait ses mandats de député et de maire pour mieux se consacrer à sa nouvelle fonction.
Mais en parallèle, selon La voix du Nord, il a fait voter une augmentation de 4000 euros brut en tant que président d’agglomération alors qu’auparavant il ne touchait rien pour cette fonction (sinon il aurait dépassé le plafond autorisé).
Cette hausse, qui au final s’élève à 2400 euros après prélèvement, compense la perte liée à l’abandon de ses revenus de député et de maire. De 8 300 euros brut par mois, sans compter les 5 770 euros brut d’indemnité représentative des frais de mandat (IRFM) et les nombreux avantages comme le train gratuit, ou douze vols par an en France, Xavier Bertrand ne touchait en effet plus que 5239 euros brut en étant simple président de région.
Pas assez visiblement pour celui qui se défend en affirmant qu’il reste «5% en dessous du maximum» et que s’il était resté député, sa situation «aurait été plus confortable» car il toucherait «les mêmes indemnités, mais l’IRFM en plus». La décision de Xavier Bertrand passe mal et risque d’écorner son image alors qu’il fait tout pour la lisser.
Et lorsqu’on la met en parallèle avec une anecdote révélée par Anna Cabana dans son livre Quelques minutes de vérité, qui sort le 6 avril chez Grasset, on en rigolerait presque. La journaliste politique raconte en effet comment Xavier Bertrand a voulu donner une leçon à Nathalie Kosciusko-Morizet. Pour bien lui expliquer la différence entre elle, à qui on reproche souvent son côté bourgeois, et lui, proche du peuple, il disait: «Je suis comme les gens. Contrairement à toi, je suis un plouc, moi. J’ai des goûts de plouc, des pompes de plouc, regarde!».
sourcehttp://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/xavier_bertrand_s_augmente_de_4000_euros_et_tacle_nkm_362397